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| Au fil de nos lectures | |
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Auteur | Message |
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bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Au fil de nos lectures Lun 8 Déc 2008 - 1:44 | |
| La maison était au bout du village, un peu à l'écart. C'était une de ces habituelles maisons grecques peintes en blanc, à un seul étage. Devant, il y avait un petit jardin abandonné, les plantes brulées par le soleil. Derrière, un tas de boites de conserve et de bidons défoncés d'origine anglaise, allemande et italienne, dont certains avaient été dispersés à coups de pied ; sur les murs, gravées à la pointe du couteau, des silhouettes, obscènes dans des positions aberrantes et des graffiti rendant hommage à la beauté de Ketty. L'un d'eux, gigantesque, tracé au charbon, disait : KETTY S'AGAPO, ce qui veut dire " Ketty, je t'aime ". Renzo BIASION - S'agapo. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Mar 9 Déc 2008 - 21:46 | |
| - Citation :
- A une certaine époque, le colonel Gerineldo Marquez aurait été le seul en vérité, même depuis don fauteuil de paralytique, à pouvoir tirer les fils rouillés de la rébellion. Après l'armistice de Neerlandia, tandis que le colonel Aureliano Buendia se réfugiait dans l'exil de ses petits poissons en or, il resta en contact avec les officiers rebelles qui lui étaient demeurés fidèles jusqu'à la débâcle. Il connut avec eux la guerre morose de l'humiliation quotidienne, des suppliques et des mémorandums, du reppassez-demain, du presque-tout-de-suite, du nous-sommes-en-train-d'étudier-votre-cas-avec-toute-l'attention-voulue ; cette guerre irrémédiablement perdue contre ces gens très aimables qui assuraient de leur profond dévouement et qui devaient accorder mais n'accordèrent jamais les pensions à vie. L'autre guerre, celle qui fit couler le sang pendant vingt ans, leur avait causé moins de tracas que cette guerre corrosive des éternels atermoiements. Le colonel Gerineldo Marquez, qui avait échappé à trois attentats, survécu à cinq blessures et était finalement sorti indemne d'innombrables batailles, succomba lui-même à cet atroce blocus de l'attente et sombra dans la misérable débâcle de la vieillesse, songeant à Amaranta entre les losanges de lumière d'une maison prêtée. Quant aux derniers vétérans dont in eût des nouvelles, on découvrit leur photographie dans un journal, redressant dignement la tête, à côté d'un anonyme président de la République qui leur fit cadeau de quelques boutons à son effigie pour qu'ils les missent à leurs revers, et leur restitua un drapeau souillé de poudre et de sang pour qu'ils en recouvrissent leur cercueil. Les autres, les plus fiers, attendaient encore une lettre dans la pénombre de la charité publique, crevant de faim, survivant par la colère, moisissant de vieillesse dans l'ewquis merdier de la gloire. Aussi bien, quand le colonel Aureliano Buendia l'invita à déclencher une explosion mortelle qui raserait tout vestige d'un régime de corruption et de scandales soutenu par l'envahisseur étranger, le colonel Gerineldo Marquez ne put réprimer un tremblotement de pitié :
- Eh bien, Aureliano, fit-il en soupirant. Je savais que tu étais vieux, mais je me rends compte à présent que tu es beaucoup plus vieux que tu n'en as l'air. Cent ans de solitude. Gabriel Garcia marquez | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Au fil de nos lectures Mar 16 Déc 2008 - 20:04 | |
| Enfin la nuit s'acheva. Les derniers feux s'éteignirent, déjà palis par le lever du jour. Le promontoire et la montagne qui lui faisait face commençèrent à se dessiner distinctement, à prendre forme et couleur. Comme des objets évanescents, qui, peu à peu, deviennent solides. Durant une courte pause du vent, on entendit le cri animal désormais familier, tout de suite recouvert et emporté par une rafale. Le ciel se teinta à l'orient d'une couleur jaune changeante qui, plus haut, s'assombrissait pour passer au gris. Les montagnes plus éloignées se précisèrent, ainsi que le trait blanc du village, surmonté par l'autre trait blanc lointain et flou couronnant les sommets qui fermaient l'horizon, très semblable à de la neige. Cette ligne blanche que tous au moins une fois,avaient revé de pouvoir rejoindre et qu'ils regardaient maintenant avec une infinie nostalgie. Renzo Biason - S' Agapo. P. 195-196 | |
| | | monilet Sage de la littérature
Messages : 2658 Inscription le : 11/02/2007 Age : 75 Localisation : Essonne- France
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Mer 17 Déc 2008 - 21:55 | |
| Je sors brisé de ce rêve et ne puis me rendormir. Brisé par l'échec de la naissance des mots et par le rire de tante Babeth et de toute la tablée qui signifiait que c'est peut-être touchant mais surtout ridicule d'aimer d'amour quand on est un enfant. Que cela indique peut-être qu'on n'est pas un vrai garçon. Qu'on est un enfant trop sensible toujours soumis au rire insultant de ceux qui sont dans le vrai monde. Je n'ai pas eu accès aux mots de ce monde-là, car après des années d'efforts vains c'est le monde imaginaire qui a soulevé et mis en mouvement ma vie.
Henry Bauchau le boulevard périphérique - page 113. | |
| | | monilet Sage de la littérature
Messages : 2658 Inscription le : 11/02/2007 Age : 75 Localisation : Essonne- France
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Mer 17 Déc 2008 - 22:05 | |
| ( à l'origine je voulais citer cet extrait ici :)
" Tu te rends compte qu'à part ton chat personne n'a de doute sur le fait que tu es ta femme ou que ta femme est toi. Tu te sens parfois si maladroit quand tu te demandes comment les autres peuvent avaler ça mais la plupart des gens semblent considérer qu'une enveloppe corporelle est sûre à cent pour cent. Toi-même tu ne t'étais jamais demandé qui pouvait bien se cacher derrière les seins de la boulangère, ou à qui tu avais réellement affaire quand tu saluais ton voisin..." Régis de Sa Moreira Mari et femme. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Au fil de nos lectures Dim 21 Déc 2008 - 21:59 | |
| - Bien. Vous ètes très forte et courageuse , madame... Vous savez que vous racontez très bien... Quel role avez vous choisi pour l'examen final ? Vous vous souvenez ? Essayez de vous souvenir ?
- Toujours la vieille folle de La peche d'Eugene O'Neill. Tout le monde était si enthousiaste de la façon dont je savais faire la folle. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai toujours compris les fous... Ou plutot, j'ai compris en regardant une folle que j'ai connue. D'habitude les acteurs roulent des yeux, s'agitent... Cette folle restait immobile, le regard toujours fixé sur un point, mettons comme ça sur votre front ou sur vos mains... et elle bougeait la tete, elle la balançait comme pour suivre un rythme interne. Il suffit que que ce mouvement d'oscillation soit toujours égal, mécanique comme... comment s'appelle cet appareil qu'on met sur le piano pour battre la mesure...
Oui, ils étaient enthousiastes, mais ce n'était pas difficile, je vous l'ai dit. Il suffisait de balancer la tete d'un coté et de l'autre, comme ça. Ils n'en revenaient pas. Mais moi j'avais vu une folle et je l'avais beaucoup étudiée. Non je ne me souviens pas où je l'ai vue. Mais j'ai eu très peur : il me semble que je n'ai pas dormi pendant des mois. Je la voyais toujours..
- Madame, calmez vous, n'y pensez plus. Ne pleurez pas ainsi. Peu importe où vous l'avez vue. C'était un reve aussi bien. Surement un reve. ne pleurez moi... Parlez moi plutot de...
Goliarda SAPIENZA - Le Fil d'une vie. P. 180-182. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Mer 24 Déc 2008 - 0:59 | |
| « Si l’on observe longtemps un être, on peut traverser son apparence et découvrir d’autres silhouettes encloses en lui, et ses parts d’ombre et de lumière. Chez certaines vieilles personnes il arrive que ce soit le corps le plus ancien qui réaffleure le plus sensiblement ; allégées du souci de leur bel air, ces vieilles gens retrouvent une certaine insouciance, une franchise presque naïve dans l’expression de leurs émotions et de leurs sentiments. Et pourtant bien d’autres corps sont venus recouvrir ce grain d’enfance première qui se met à reluire : - le corps amant, le corps époux, le corps parent, et aussi celui des multiples labeurs, et encore celui des veilles, des douleurs, des fatigues, des peines, des maladies, des deuils. Il y a des êtres chez lesquels ce chaos se durcit, se fait noires et grasses concrétions ; il y en a quelques uns chez lesquels cet amoncellement se fait souplesse , jeu de lueurs et de transparences. La petite vieille au miroir était ce ceux-là. »
Sylvie Germain (Immensités) | |
| | | sonitaline Posteur en quête
Messages : 77 Inscription le : 23/10/2008 Age : 38
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Jeu 25 Déc 2008 - 22:45 | |
| voici un passage des merveilleux nuages de Françoise Sagan que je trouve émouvant je tiens absolument à le partager avec vous " C'est idiot Josée, tu sais. Qui a demandé à vivre? C'est comme si on nous avait invités à passer le week-end dans une maison de campagne, pleine de trappes et de parquets glissants, une maison où nous chercherions en vain le maître de maison, Dieu ou n'importe quoi d'autre. Mais il n'y a personne. Un week-end, oui, pas plus. Comment veux tu qu'on ait le temps de se comprendre, de s'aimer, de se connaître? Quelle est cette sinistre blague? Rien, tu te rends compte. Un jour, il n'y aura plus rien. Le noir. L'absence. La mort. _ Pour quoi me dis-tu ça? Elle tremblait de froid et d'une horreur instinctive devant sa voie rêveuse. Parce que je ne pense qu'à ça .Mais quand tu es près de moi, la nuit, que nous avons chaud ensemble, alors je m'en fiche. C'est le seul moment. Je me fiche de mourir; je n'ai qu'une peur, c'est que toi tu meures. Bien plus important que n'importe quoi, que n'importe quelle idée, ton souffle sur moi. Comme un animal, je veille. Dès que tu te réveilles, je m'enfouis dans toi, dans ta conscience. Je me jette sur toi. Je vis de toi. Ah!quand je pense que tu as pris l'avion sans moi, qu'il aurait pu tomber, tu es folle! Tu n'avais pas le droit. Tu imagines: la vie sans toi? Il se reprit aussitôt: Je veux dire sans toi existant. Je comprends que tu ne veuilles plus de moi je comprends que... Il aspira une bouffée de cigarette puis se détacha brusquement du mur Non. D'ailleurs je ne comprends rien. Quand je me suis assis près de toi et que tu ne m’as pas vu, quelques minutes, j'ai cru être drogué ou ivre mort. Pourtant, je n'ai rien bu. Depuis longtemps. C'est vrai, non? Il la prit par le bras. Il y a quelque chose de vrai, non, entre nous? Oui, dit Josée. Elle parlait doucement, elle avait envie de s'appuyer à lui et de le fuir. Oui il y a quelque chose de vrai Je m'en vais, dit Alan. Je rentre. Si je vais jusque chez toi, je monterai. Il attendit un instant mais elle ne dit rien. Tu viens me chercher à l'hôtel demain, reprit-il à voix basse. Très tôt. Tu jures? _Oui Elle aurait dis oui à tout, et les larmes lui vinrent aux yeux. Déjà, il se penchait vers elle. Ne me touche pas, dit elle. Elle le regarda s'éloigner, il courait et, bien qu'elle fût tout près de chez elle, elle héla un taxi. Elle se coucha aussitôt. Elle tremblait de froid, de nervosité, de tristesse. Il avait dit exactement ce qu'il devait dire, il avait généralisé leur problème, il l'avait remise devant une grande évidence nue: le temps, la mort, il lui avait montré le seul moyen de la tromper, hormis la foi, l'alcool ou la bêtise. C'est-à-dire l'amour. "Je t'aime, tu n'es plus sure de plus m'aimer, j'ai besoin de toi alors qu'as tu à perdre?" Oui, bien sur il avait raison. Mais cet animal furieux d'être repris, désespéré de s'être laissé émouvoir. C’était bien elle aussi...."
"Tout était devenu lointain, sans poids, sans intérêt, dès qu'elle avait aperçu, près d'elle la main d'Alan. Il la coupait du monde. Non parce qu'elle l'aimait trop, mais parce qu'il n'aimait pas le monde et l'entraînait à sa suite, dans son vertige personnel, égocentrique... Lui. lui seul, elle ne devait voir que lui parce qu'il ne voyait qu'elle. Elle s'endormit d'un coup exténuée la tête contre le mur." | |
| | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Jeu 25 Déc 2008 - 23:12 | |
| Merci! A mon tour: Inferno de StrindbergContexte, Strindberg, après une suite d'évenements l'ayant convaincu que l'on cherchait à attenter (électriquement!) à sa vie, se réfugie chez un ami médecin où il n'est pas épargné par la "persecution": Installé dans mon petit appartement, je remarque aussitôt le lit de fer américain avec ses quatre piliers surmontés de boules de laiton, et qui ressemblent aux conducteurs d'une machine électrique. Ajoutez-y le sommier élastique, composé de ressorts à boudins en cuivre, analogues aux spirales de la bobine de Rumkhorff, et jugez de ma fureur devant ce hasard diabolique. Impossible de demander un changement de lit, sous peine d'être soupçonné de manie. Pour m'assurer que rien n'est caché au-dessous de mon lit, je monte au grenier. Par comble de malchance, il n'y a là-haut qu'un seul objet, et c'est une énorme maille de fil de fer, entortillée et placée juste au-dessus de mon lit. Voilà, me dis-je, un accumulateur. En cas d'orage, ce qui est très fréquent ici, le réseau de fer attirera la foudre et je reposerai sur le conducteur sans oser dire un mot. En même temps, le bruit d'une machine m'inquiète. Un bourdonnement d'oreilles me persécute depuis mon départ de l'hôtel Orfila, quelque chose comme le trépignement d'une roue hydraulique. Doutant de la réalité de ce bruit, je demande ce que c'est. - La presse de 'imprimerie est à côté. Tout s'expliqe à merveille, et néanmoins cette simplicité de moyens pour me rendre fou mépouvante. Et, voici la nuit effroyable. Le ciel est couvert, l'air est lourd; on attend un orgae. Je n'ose me coucher, et passe deux heures à écrire des lettres. Ecrasé de fatigue, je me déshabille et me glisse entre les draps. Un silence horrible règne dans la maison lorsque j'éteins la lampe. Je sens que quelqu'un dans l'ombre me guette, m'effleure, me tâte le coeur, et suce. Sans attendre, je saute du lit, ouvre la fenêtre et me précipite dans la cour ; mais els rosiers sont là, et ma chemise ne me protège pas du tout contre la flagellation des épines. Déchiré, ensanglanté, je traverse la cour, pieds nus,é corché sur les cailloux, égratigné par les chardons et les orties, tout en glissant sur des objets inconnus... Livre stupéfiant. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Au fil de nos lectures Lun 29 Déc 2008 - 19:28 | |
| Chaque personne a son secret, chaque personne a sa mort dans la solitude... mort par le fer, mort par la douceur, mort par le feu, mort par l' eau, mort par satiété unique et sans pareille.
Chaque personne a droit à son propre secret et à sa propre mort. Et comment puis-je vivre ou mourir si je ne rentre pas en possession de ce droit qui est le mien ?
C'est pour cela que j'ai écrit, pour vous demander de me rendre ce droit... et quand, une fois fini ce travail de deuil et sous la charge de vetements de robes de chaussures et de bas noirs, une chair fragile et forte, chaude et vulnérable au gel, qui assurémént va repousser et réclamera, affamée, de l' air, de la lumière, des caresses et du pain... réclamera des chemins pour marcher... des voix à écouter... des visages à regarder, du vent de la pluie et du soleil et de la fraicheur - et si j'ai envie de courir et si je meurs épuisée par une course heureuse sous le soleil, contre le vent... si je meurs de la surprise de quelque nouveau visage-rencontre caché derrière un arbre en attente, si je meurs foudroyée par l' éclair de la joie, étouffée par une étreinte trop forte, noyée dans une tempete d' émotions... si je meurs poignardée par la lame effilée d'un regard cruel, je vous demande seulement ceci :
ne cherchez pas à vous expliquer ma mort, ne la disséquez pas, ne la cataloguez pas pour votre tranquillité, par peur de votre propre mort, mais tout au plus pensez - ne le dites pas fort, les mots trahissent - ne le dites pas fort, mais pensez en vous-meme : elle est morte parce qu' elle a vécu.
Goliarda SAPIENZA - Le Fil d' une vie, PP. 343-344
Dernière édition par bix229 le Lun 29 Déc 2008 - 21:55, édité 2 fois | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Lun 29 Déc 2008 - 21:28 | |
| - bix229 a écrit:
- Chaque personne a son secret, chaque personne a sa mort dans la
solitude... mort par le fer, mort par la douceur, mort par le feu, mort par l' eau, mort par satiété unique et sans pareille.
Et de qui est-ce Bix?... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Lun 29 Déc 2008 - 21:36 | |
| - coline a écrit:
- Et de qui est-ce Bix?...
Goliarda Sapienza Lettre ouverte (dans le livre Le Fil d'une vie qui rassemble Lettre ouverte et Le Fil de midi) merci Google | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| | | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Au fil de nos lectures Lun 29 Déc 2008 - 21:57 | |
| Désolé Coline ! Le message était long et la nuit courte... Heureusement, Kenavo connaissait le livre par coeur ! | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures Mar 30 Déc 2008 - 9:45 | |
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| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Au fil de nos lectures | |
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