Le Café Ciné

traversay a écrit:

Après Jennifer Jones, Jean Simmons ..., les dernières déesses d'Hollywood rejoignent les étoiles.

Elle campait de façon étonnamment convaincante une népalaise dans Le narcisse noir, que j'ai vu récemment et beaucoup aimé.




C'est vrai qu'elle ressemblait un peu à Jennifer Jones.

salut l'actrice !

La Tunique, les grands espaces, Hamlet ..............

notre cinémathèque va célebrer Lauren Bacall


RétrOSCARtive: Lauren Bacall, Academy Honorary Award 2009
En attendant la 82e cérémonie de remise des Oscars le 7 mars 2010
«Honorary Award 2009 : in recognition of her central place in the Golden Age of motion pictures »
«Stardom isn't a profession; it's an accident. » (Lauren Bacall)

«I am not a has-been. I am a will be. » (Lauren Bacall)

Citation :

« Hollywood l'a surnommée 'The Look', tant il est vrai que son regard bleu profond a hypnotisé des générations de cinéphiles. Née Betty Joan Perske en 1924 à New York, Lauren Bacall est de la même génération qu'Ava Gardner et Marilyn Monroe, deux déesses de l'écran dont la sensualité animale a enflammé les désirs masculins dans les années cinquante. Mais, tandis qu'Ava et Marilyn ont du connaître quelques années de galère et de petits rôles avant d'accéder au panthéon du septième art, Lauren Bacall n'eut besoin que d'un film pour devenir une star. Par la grâce d'une couverture du magazine 'Harper's Bazaar' qui la fit taper dans l'œil de l'épouse d'Howard Hawks, la jeune femme est engagée par le célèbre metteur en scène qui la propulse sous le feu des projecteurs. Lauren Bacall a tout juste 20 ans quand elle crève littéralement la toile. Avec To Have and Have Not (1945), la messe est déjà dite et son destin scellé. A la fois sophistiquée et féline,sensuelle et aguichante, elle y provoque Humphrey Bogart, assez vieux pour être son père. Ils ne se quitteront plus jusqu'à ce que la mort, douze ans plus tard les sépare. Après la disparition de Bogey, sa carrière sombra quelque peu, peut-être parce qu'elle avait un esprit trop indépendant par rapport au dogme hollywoodien. Toutefois, bien au-delà des quatre films tournés ensemble et tout au long de sept( !) décennies, le cinéma continue de faire appel à elle, le plus souvent pour des rôles de complément. Lauren Bacall est la dernière star qui a connu l'âge d'or hollywoodien. Un mythe. (source : Ecran Noir)

Et tu iras voir quelques films, kena ?

traversay a écrit:

Et tu iras voir quelques films, kena ?

oui, je pense bien.. j'aime trop Bacall/Bogart et je ne les ai jamais vu sur grand écran.. ça doit être quelque chose

ils ont programmé: To have and have not, Confidential Agent, The Big Sleep, Dark Passage, Key Largo, Written on the Wind (jamais vu)

kenavo a écrit:

traversay a écrit:

Et tu iras voir quelques films, kena ?

oui, je pense bien.. j'aime trop Bacall/Bogart et je ne les ai jamais vu sur grand écran.. ça doit être quelque chose

ils ont programmé: To have and have not, Confidential Agent, The Big Sleep, Dark Passage, Key Largo, Written on the Wind (jamais vu)

C'est que du bon !

Une partie du programme de la Berlinale, du 11 au 21 février :

En lice pour l'Ours d'or

- Bal (Honey) de Semih Kaplanoglu (Turquie/Allemagne)
- Caterpillar de Koji Wakamatsu (Japon)
- Der Räuber (The Robber) de Benjamin Heisenberg (Autriche/Allemagne)
- En Familie (A Family) de Pernille Fischer Christensen (Danemark)
- En ganske snill mann (A Somewhat Gentle Man) de Hans Petter Moland (Norvège)
- Eu când vreau sa fluier, fluier (If I Want to Whistle, I Whistle) de Florin Serban (Roumanie/Suède)
- Greenberg de Noah Baumbach (Etats-Unis)
- Howl de Rob Epstein et Jeffrey Friedman (Etats-Unis)
- Jud SüB - Film ohne Gewissen d'Oskar Roehler (Allemagne/Autriche)
- Kak ya provel etim letom (How I Ended This Summer) d'Alexei Popogrebsky (Russie)
- Mammuth de Benoît Delépine et Gustave Kervern (France)
- Na Putu (On the Path) de Jasmila Zbanic (Bosnie-Herzégovine/Autriche/Allemagne/Croatie)
- Rompecabezas (Puzzle) de Natalia Smirnoff (Argentine/France)
- San qiang pai an jing qi (A Woman, a Gun and a Noodle Shop) de Zhang Yimou (Chine)
- Shahada de Burhan Qurbani (Allemagne)
- Shekarchi (The Hunter) de Rafi Patts (Allemagne/Iran)
- Submarino de Thomas Vinterberg (Danemark)
- The Ghost Writer de Roman Polanski (France/Allemagne/Royaume-Uni)
- The Killer Inside Me de Michael Winterbottom (Etats-Unis/Royaume-Uni)
- Tuan Yuan (Apart Together) de Wang Quan'an (Chine)

Hors compétition

- My Name is Khan de Karan Johar (Inde)
- Otouto (About Her Brother) de Yoji Yamada (Japon)
- Please Give de Nicole Holofcener (Etats-Unis)
- Shutter Island de Martin Scorsese (Etats-Unis)
- The Kids Are Alright de Lisa Cholodenko (Etats-Unis/France)

La 60e Berlinale, festival et marché du film, aura lieu du 11 au 21 février 2010. Le programme est sorti aujourd’hui.

Une des particularités de ce festival est que toutes les séances sont accessibles au public à condition d’être en possession d’un billet. Je sais que je ne puis prendre 10 jours de vacances pour – pour ainsi dire – camper sur place. Mais je ne connais pas encore le programme, je l’étudierai dimanche prochain et ensuite je verrai…

Si quelqu’un a envie de me conseiller d’aller voir un film ou d’essayer d’avoir les opinions sur un autre, merci de le faire ! J’attends vos avis et je promets ensuite de vous parler de mes découvertes dans ce Café Ciné.

Citation :

Si quelqu’un a envie de me conseiller d’aller voir un film ou d’essayer d’avoir les opinions sur un autre, merci de le faire !

Et bien puisque tu le proposes, Maline, tu vas en voir le plus possible t tu racontes!

A Papeete sur Mer, il y avait le festival du film océanien , le FIFO
C'est un peu comme Cannes... Non, je plaisante..
Bon, de toutes façons, comme je travaillais le problème était réglé!

Maline a écrit:

La 60e Berlinale, festival et marché du film, aura lieu du 11 au 21 février 2010. Le programme est sorti aujourd’hui.
Si quelqu’un a envie de me conseiller d’aller voir un film ou d’essayer d’avoir les opinions sur un autre, merci de le faire ! J’attends vos avis et je promets ensuite de vous parler de mes découvertes dans ce Café Ciné.

Oui, il y a pas mal de films alléchants, ceux de Scorsese, Winterbottom, Polanski, Vinterberg, Zhang, Delépine & Kernen ...
Je suis particulièrement curieux de la bosniaque Zbanic (après Sarajevo mon amour) et du turc Kaplanoglu (après Yumurta).
Vivement le compte-rendu ...

Les nominations pour les Oscars sont tombées il y a quelques jours.
Cette année, nouveauté : il y a nettement plus de films nominés pour l'Oscar du meilleur film :
- Avatar
- The Blind Side
- District 9
- An Education (2009)
- The Hurt Locker (2008)
- Inglourious Basterds (2009)
- Precious:
- A Serious Man
- Up (2009)
- Up in the Air

Cela fait beaucoup... Trop, sans doute.
Ils devraient séparer en comédie et drames, comme les Golden Globes, ce serait plus intelligent.
Toutes les nominations ici.

Mais parlons des courts-métrages d'animation.
Comme tous les ans, ces courts-métrages sont disponibles sur Youtube... et le gagnant sera retiré en catastrophe le lendemain de l'annonce des prix.
On a donc :
- un court métrage français : French Roast, de Fabrice Joubert, à voir ici.
- Granny O'Grimm's Sleeping Beauty, de Nicky Phelan et Darragh O'Connell, à voir ici
- La dama y la muerte, de Javier Recio Gracia, à voir ici
- Logorama (partie 1 ici, partie 2 là.
- Wallace and Gromit in 'A Matter of Loaf and Death'

Citation :

En septembre 2000, 191 gouvernements signaient, à New York, les Huit objectifs du millénaire, s'engageant ainsi à réduire de moitié la pauvreté dans le monde et la faim d'ici à 2015. Près de dix ans après, huit cinéastes prestigieux ont réalisé 8, un film collectif visant à rappeler aux Nations unies les objectifs fixés en 2000. Jane Campion, Gus Van Sant, Wim Wenders, Gaspar Noé, Abderrahmane Sissako, Mira Nair, Gael Garcia Bernal et Jan Kounen donnent chacun leur vision personnelle dans un film de huit à quinze minutes. Ils mettent en lumière les enjeux fondamentaux que sont l'accès à l'eau potable, la réduction de la mortalité infantile, l'égalité des sexes, l'éducation pour tous, le combat contre le sida, l'environnement durable et la mise en place d'un partenariat pour le développement... Ce film indépendant, produit par la société française LDM Films en partenariat avec huit ONG, est visible sur site Letempspresse.org et sur YouTube jusqu'à la fin du mois. Le site permet aussi de faire un don ou de signer la pétition de soutien.

ici

merci Marie !

Premiers aperçus sur les films présentés pour le concours de la Berlinale.

The Ghost Writer de Roman Polanski, d’après « Ghost » de Robert Harris.
Film soigné et de suspense, genre blockbuster, laisse sur sa faim malgré une série de bons acteurs. Je m’attendais à un film plus près de l’actualité politique alors qu’il l’est davantage des soubresauts de la vie même de Polanski. Par contre le film est très apprécié par la critique.

Howl de Rob Epstein et Jeffrey Friedman.
Bof ! il s’agit du procès mené autour de« Howl », le poème Allen Ginsberg, trainé devant les tribunaux américains dans les années 50. Seule trouvaille, lors de sa lecture, le poème est illustré par un dessinateur en fantaisie beatnik.

Submarino de Thomas Vinterberg.
Un drame social très bien joué mais sinistre, misérabiliste et démoralisant.

Shutter Island de Martin Scorsese.
Triple bof ! J’ai trop vite deviné quelle en sera la chute.

(A suivre).

Maline a écrit:

Shutter Island de Martin Scorsese.
Triple bof ! J’ai trop vite deviné quelle en sera la chute.(A suivre).

Alors là tu es trop forte parce que dans le roman on ne pouvait le deviner que dans les 30 dernières pages. D'autant plus que c'est totalement invraisemblable. La mise en scène n'est pas réussie? La bande annonce donne une impression très favorable pourtant.