David Foster Wallace

Merci pour le lien.

J'ai son Monstre sur mon étagère. Je vais m'y mettre dans peu de temps je pense.

ArenSor a écrit:

Pour les personnes intéressées France Culture consacre une soirée spéciale David Foster Wallace ce samedi à 21h.

J'écouterai. Merci Arensor!

L'infinie COmédie m'est tombé des mains au bout de 150 pages. Lhistoire est interessante mais j'ai pas aimé son style d'écriture

Je l'ai mis en pause après 200 pages pour l'instant, pourtant j'adore ce que j'ai lu d'autre de sa part. Peut-être pas le bon moment.

La fonction du balai

Un ouvrage qui fut pour moi jubilatoire et ascensionnel, puis...flop !  

Tout retombe aux alentours des pages 300/350, où j'ai commencé à m'ennuyer ferme, à tourner en rond, à avoir la sensation de longueurs, de redites (surtout avec ce thérapeute, tête à claques), aussi à cause des dialogues incessants, courts, sans beauté.

Comme si l'idée de départ avait perdu de l'unité et de la cohérence à force de digressions et de fantaisie. Ca devient saccadé, arythmique et j'ai balayé les dernières 300 pages (histoire de voir si je retrouvais par hasard la grand-mère... ).

Bref, too much.

Julien a écrit:

L'infinie COmédie m'est tombé des mains au bout de 150 pages. Lhistoire est interessante mais j'ai pas aimé son style d'écriture

Finalement, même sentiment pour moi. Une affaire de style.

Ah dommage tina, les conversations chez le psy sont pourtant mythiques!

Julien a écrit:

L'infinie COmédie m'est tombé des mains au bout de 150 pages. Lhistoire est interessante mais j'ai pas aimé son style d'écriture

Pareil. Je ne m'y fais pas.

He bien moi je commence sérieusement à décoller. Je me suis rendu compte qu'il m'était difficile de lire L'Infinie comédie et d'autres choses. Alors je laisse de côté mes autres bouquins pour me consacrer entièrement à David Foster Wallace. Je perds le fil, si à chaque fois je lis pendant moins de deux heures, un morceau de ce livre. C'est le genre de livre qui nécessite (en tout cas en ce qui me concerne) plus de concentration, plus de mon temps, plus de moi, au final. Mais ça en vaut la peine, puisque quelque chose se construit, l'expérience est encore meilleure qu'avec La Fonction du Balai. Il me reste encore deux tiers du roman à lire.

PS : lire les notes est indispensable.

Comment résister à Foster Wallace quand il nous décrit une action sur plus de 20 pages avec toutes les conséquences que cela entraîne (L'infinie comédie) ou le déroulement d'un jeu appelé eschiton.