| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Peter Weir | |
|
+11traversay eXPie Bellonzo animal Marie coline Epi kenavo Queenie Aeriale Marko 15 participants | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 19:44 | |
| - animal a écrit:
(c'est un travail "réalisateur de film pour cours d'anglais" ?) C'est bien vrai ça. D'ailleurs il est souvent utilisé en cours, Peter Weir (Witness, Le cercle). Jamais essayé ceux-là. Le Cercle m'horripile aussi. Par contre, je travaille chaque année sur le Truman show, et là, tout le monde est content, prof et élèves. |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 19:49 | |
| - Citation :
- je ne me souvenais pas du suicide.
Oui chacun voit les choses différemment..Je ne me souviens que des parents et du suicide.. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:00 | |
| - Marie a écrit:
-
- Citation :
- je ne me souvenais pas du suicide.
Oui chacun voit les choses différemment..Je ne me souviens que des parents et du suicide.. Oui le film est beaucoup plus intéressant qu'il n'y parait en première vision. Beaucoup de désillusions dont Keating est la première victime. Il écoute l'empereur de Beethoven et ça me le rend très sympathique! Et puis le coup des tables à la fin c'est quand même trop fort! Ma scène préférée c'est quand il aide le jeune ultra phobique à s'exprimer devant la classe moqueuse! Tiens comment ça se fait ? ça reste un film pas tout à fait abouti mais à l'époque on avait bien décollé dessus! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:08 | |
| Par contre je ne connais pas Picnic at Hanging Rock, je vais essayer de le trouver car je suis toujours à court de films intéressants pour illustrer le cours sur l'Australie (mis à part Walkabout, de N.Roeg). Pas passer Crocodile Dundee quand même... |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:28 | |
| - Nezumi a écrit:
- Par contre je ne connais pas Picnic at Hanging Rock, je vais essayer de le trouver car je suis toujours à court de films intéressants pour illustrer le cours sur l'Australie (mis à part Walkabout, de N.Roeg). Pas passer Crocodile Dundee quand même...
Alors Picnic pour le "Rock" et La dernière vague pour la mythologie aborigène mais c'est un film assez déroutant pour des scolaires! | |
| | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:46 | |
| Très bonne idée de faire une petite place à Weir,parfois inconstant mais souvent très précis et réfléchi.Picnic est curieux et ne laisse pas indemne.Master... un film d'une grande intelligence et j'adore son initiation darwinienne.Le cercle... est un peu démago mais très sympa.L'année...,Witness,Moquito Coast tous au moins intéressants. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:50 | |
| Du cercle il va toujours me rester Carpe Diem | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 20:59 | |
| - Bellonzo a écrit:
- Très bonne idée de faire une petite place à Weir,parfois inconstant mais souvent très précis et réfléchi.Picnic est curieux et ne laisse pas indemne.Master... un film d'une grande intelligence et j'adore son initiation darwinienne.Le cercle... est un peu démago mais très sympa.L'année...,Witness,Moquito Coast tous au moins intéressants.
Master and Commander est vraiment un film inspiré et peut-être son meilleur! Je crois qu'il souhaite faire un autre épisode de la saga d'O' Brian | |
| | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 21:05 | |
| A propos de la saga de Patrick O'Brian il me revient le souvenir d'avoir eu assez de mal à le lire.Il me semble mais c'est un peu lointain,que je m'attendais à de bons romans de mer.C'est à mon avis plus que ça,avec une rigueur technique et presque professionnelle qui m'avait un peu désarçonné.Peut-être n'avais je pas le pied marin?J'en ai lu deux dont j'ai oublié les titres.As-tu eu un sentiment proche de cela? | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 22:02 | |
| - Bellonzo a écrit:
- A propos de la saga de Patrick O'Brian il me revient le souvenir d'avoir eu assez de mal à le lire.Il me semble mais c'est un peu lointain,que je m'attendais à de bons romans de mer.C'est à mon avis plus que ça,avec une rigueur technique et presque professionnelle qui m'avait un peu désarçonné.Peut-être n'avais je pas le pied marin?J'en ai lu deux dont j'ai oublié les titres.As-tu eu un sentiment proche de cela?
Je n'en connais aucun! Mais j'avais envie de me lancer à l'époque du film. Je sais seulement que Master... est la fusion de 2 d'entre eux dont l'épisode avec le médecin musicien et l'escale aux Galapagos avec les théories darwiniennes. J'adore le thème du bouc émissaire dans le film et il y a un humanisme subtil et un vrai talent graphique qui m'a scotché au fauteuil. Je me suis dit: ça y est Peter Weir est de retour! | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 22:33 | |
| Anecdote : dans Master and Commander, pour faire plus "vrai", Peter Weir a pris des figurants d'Europe Centrale ; en effet, ils font plus authentiques que les européens de l'ouest car ils ont manqué de soins dentaires, leurs dents n'ont pas forcément été remises d'aplomb quand ils étaient mômes. Ils ont donc des "trognes".
Le Cercle, c'est un peu à Peter Weir ce que Finding for Forrester fut pour Gus Van Sant, non ? Un film quand même bien fichu, mais ouvertement commercialo-sentimental.
Picnic reste mon film préféré de Weir (avec The Truman Show), l'atmosphère de ce film est incroyable... La Dernière Vague, par contre, c'est nettement plus abstrait. On peut rapprocher les deux films, par leur mystère en suspens...
Ce qui m'avait un peu scié, à la vision de The Truman Show, c'est notamment la fin, avec l'utilisation d'une musique de film composée par Philip Glass pour un autre film : il s'agit d'Opening, extrait de Mishima, le film de Paul Schrader. Une musique de film dans un film, c'est déjà un moyen de montrer qu'il y a mise en abîme. Mais en plus d'être déjà super signifiant intrinsèquement, le film se finit quasiment sur le morceau qui, donc, s'appelle Opening... cela va terriblement bien avec l'histoire. La fin est une ouverture sur la réalité, un nouveau début... (pour être complet, il y a aussi deux extraits de la musique du documentaire Powaqqatsi, également composée par Glass)..
Peter Weir ne réalise un film que quand il en a vraiment envie, c'est ce qu'il avait dit dans une interview. Il faut aussi que ses projets aboutissent. Son dernier film (Master and commander) remonte à 2003, et son film suivant est prévu pour 2011. Pas prolifique, comme garçon.
Parmi ses films, il faudrait aussi mentionner Gallipoli, avec un Mel GIbson à contre emploi (dans mon souvenir, du moins : un peu couard), ainsi qu'un téléfilm : The Plumber, l'histoire d'un plombier qui s'incruste... On se dit, après ça, qu'il vaut mieux faire ses travaux de plomberie soi-même ! | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 23:30 | |
| - eXPie a écrit:
- Ce qui m'avait un peu scié, à la vision de The Truman Show, c'est notamment la fin, avec l'utilisation d'une musique de film composée par Philip Glass pour un autre film : il s'agit d'Opening, extrait de Mishima, le film de Paul Schrader.
Opening est un morceau pré-existant (1981) à Mishima (1984, dont j'adore la bande son d'ailleurs!). Il est sur l'album Glassworks for piano solo Ils viennent de sortir un super coffret compilation de 10 disques de Philippe Glass:
Dernière édition par Marko le Sam 15 Nov 2008 - 1:31, édité 3 fois | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Ven 14 Nov 2008 - 23:31 | |
| - eXPie a écrit:
- ainsi qu'un téléfilm : The Plumber, l'histoire d'un plombier qui s'incruste... On se dit, après ça, qu'il vaut mieux faire ses travaux de plomberie soi-même !
Qui est aussi dans le coffret de ses premiers films... | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Peter Weir Sam 15 Nov 2008 - 11:24 | |
| La dernière vagueOui oui! C'est lui! Le Richard Chamberlain des "oiseaux se cachent pour mourir" Le Dreamtime est cette lointaine époque où nos ancêtres, des "esprits", établirent les structures de l'Existence... Ce "Temps du Rêve" représente le moment de la Création. C'est à partir de de ce monde onirique que notre monde est venu à se former et que la Vie vint à émerger... Ce temps existait en dehors du temps normal, au-delà des mémoires, des histoires et des connaissances. C'est un temps sacré, d'une force cosmique où le physique et le moral se formaient. Dans le Dreamtime, le passé, le présent, l’avenir, l’homme et tout ce qui fait l’univers, s’articulent dans un mouvement perpétuel." Le problème que connaissent les aborigènes aujourd'hui, c'est avec la jeunesse. Nous avons les technologies les plus sophistiquées, les grandes villes sont très attirantes. Donc le problème pour les tribus est de savoir comment retenir les jeunes, comment les laisser proches de leur culture, comment les intéresser aux cérémonies initiatiques, comment les empêcher de s'en aller vers les villes." Peter Weir à la sortie du film David Burton est avocat spécialisé en droit des sociétés à Sydney. La ville est l'objet de pluies diluviennes, de grêle et autres phénomènes météorologiques étranges. Il est un jour commis d'office pour défendre cinq aborigènes qui ont tué un camarade. L'avocat tente d'en savoir plus et comprend qu'il s'agit d'un meurtre tribal. Sous l'apparence d'un polar assez intriguant, La dernière vague est en fait l'initiation d'un occidental à la mythologie aborigène et à la fameuse légende du Dreamtime Return, le temps des rêves et le retour à ce temps primordial. Je conseille la lecture de Mircea Eliade: Religions australiennes. La dernière vague est la menace de l'apocalypse. La mère du temps du rêve Pour info et avoir les clés du film (site :scribe.seiya.free.fr) Bajame, l'Envoyé du Ciel
Au tout début, il n'y avait rien qu'une immense étendue d'eau. Puis la terre émergea peu à peu de cet océan originel. Vint alors le Temps des Rêves qui engoba le tout, à la fois partout et nulle part, présent et intangible. Dans cette dimension parallèle se trouve le secret de la vie et de l'Univers. C'est là que naquit Bajame, celui que les Aborigènes nommeront le Père de toute Chose. Il créa un sanctuaire à l'intérieur du Temps des Rêves : le Paradis, lieu où les âmes humaines peuvent transiter à leur mort et où les Pierres Magiques sont précieusement gardées. Ces Pierres Magiques permettent à Bajame de diffuser son savoir par l'intermédiaire des shamans lors de rites précis ou de venir en aide aux malades et aux nécessiteux. C'est aussi lui qui donne la mort et décide d'abréger ou de prolonger la vie de toute chose. Parfois, il prend apparence humaine et se mêle à la population.
Bajame dort parfois, et lors de son sommeil, il rêve. Ses rêves sont en fait des voyages dimensionnels et il atterrit dans le Monde des Dieux et des Démons - une enclave sacrée du Paradis, où il se fait tuer régulièrement. Le Grand Serpent de l'Arc-en-ciel le saisit alors et le transporte sur son dos jusqu'au dieu Daramulum, qui le ressuscite. Il revient alors parmi les humains pour dispenser le nouveau savoir auquel il a accédé à travers sa mort, en prenant l'apparence d'un shaman. Puis il retourne vers le Paradis en grimpant sur le Grand Arbre Sacré, situé au centre du monde réel. C'est alors qu'il se réveille et revient dans le Monde des Rêves. Bajame constitue l'exemple par excellence de la quête de savoir au travers de différentes initiations.
Vers le Temps des Rêves...
Dans le Temps des Rêves ne vit pas seulement Bajame. On y trouve également un serpent géant, le Grand Serpent de l'Arc-en-ciel, qui laisse parfois sa trace dans le monde sensible sous la forme d'un arc-en-ciel, justement ! Dans ce monde luttent sans merci également des forces antagonistes, l'une mâle et l'autre femelle, pour la possession des objets sacrés. De leur guerre fratricide, naquit une émulation pour enseigner aux humains les différents secrets de l'univers qui alla jusqu'à la distribution des Pierres Magiques. Bajame, conscient que les humains ne devaient pas connaître de tels secrets sous peine d'être à jamais déçus de leur condition, rétablit in extremis la situation : il enferma les deux rebelles à jamais dans le Temps des Rêves et récupéra les Pierres. Il concéda toutefois un bref accessit aux shamans : en suivant des rites très précis, ils pouvaient accéder pour un très un court instant à la félicité originelle du Temps des Rêves, dimension spatio-temporelle à la fois antérieure et parallèle à la nôtre.
La Grande Mère
La Grande Mère est une entité originelle, vivant sous la terre. Elle était responsable de la pousse des plantes et des arbres à la surface. Une fois pourtant, elle décida de remonter à la surface ; elle parcourut les immensités de la savane et du désert pour atteindre le Paradis, où elle se retira. Tout au long de son périple, elle enseigna à ceux qui la rencontrèrent comment trouver les points d'eau à partir de la migration des animaux. Elle veille toujours à la bonne pousse de tout ce qui est issu de terre.
Les premiers humains
A l'origine, au-delà de l'Espace et du Temps, était l'ère du Temps des Rêves. Les premiers humains sont nés de la terre, un peu comme les fleurs qui poussent, à l'extrême Est du monde. Nomades, ils erraient dans le désert vers l'Ouest, jalonnant leur parcours par des petites mares d'eau qu'ils creusaient dans le sable. Ils s'accouplèrent et eurent une nombreuse descendance : l'espèce humaine dans sa totalité ! Ils enseignèrent à leurs enfants les lois fondamentales de la nature, les techniques de chasse et de cueillette, ainsi que les rites sacrés. Lorsque leur périple prit fin, ayant atteint l'extrême Ouest du monde, ils disparurent soudainement, confiant la planète à leurs enfants. Ceux-ci se séparèrent et allèrent fonder différentes tribus aux quatre coins du monde.
La prohibition de l'inceste
Au début, les humains s'accouplaient de manière désordonnée à l'intérieur de leur clan, voire de leur famille : les pères faisaient l'amour avec leurs filles, les mères avec leurs fils, les frères avec leurs sœurs,... Mais les descendants étaient nettement moins réussis que leurs géniteurs : laids, violents, brutaux et rustres, et pire que tout... irrespectueux des dieux ! Les dieux intervinrent donc pour interdire les liaisons incestueuses chez les humains et codifier le mariage. Il relevait alors de la mission des dieux de veiller au respect de ses nouvelles règles. La prohibition de l'inceste relève donc de la nécessité de préserver l'humanité.
L'accession à la culture
Un dieu bienveillant, de nom et de nature inconnus, voulut offrir un cadeau pour l'ensemble de l'humanité. Un dieu farceur comptait, lui, profiter de l'innocence des humains pour leur jouer un mauvais tour. Il ne dit rien de son projet au premier cité et lui proposa son aide désintéressée. Ils débarquèrent sur terre et offrirent aux humains les premiers outils pour la chasse et la pêche. Ils leur expliquèrent comment se concilier les bonnes grâces des dieux, comment dompter le feu. Le dieu bienveillant alla même jusqu'à leur donner, sous le conseil du farceur, la clé ultime du savoir universel. Malheureusement, c'était un cadeau empoisonné et le blagueur le savait très bien : en connaissant la vérité cachée de l'Univers, les humains n'avaient plus aucun but. C'est pourquoi le dieu bienfaiteur leur offrit un temps circulaire, afin d'oublier cet épisode fâcheux et leur laisser la surprise d'un éternel recommencement du cycle de la vie. La roue tourne, encore et toujours, et les Aborigènes n'ont toujours pas de conception linéaire du temps : demain est véritablement un autre jour ! | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Peter Weir Lun 24 Jan 2011 - 20:44 | |
| 8 ans après Master and Commander, Peter Weir est de retour. C'est un réalisateur que je chéris particulièrement, peut-être plus artisan qu'auteur, mais qu'importe. Ses films australiens sont tous à voir, inquiétants et subtils. Je mets, moi aussi, Pique-nique à Hanging Rock, au-dessus du lot, mais j'aime beaucoup Les voitures qui ont mangé Paris et La dernière vague. Le plombier, un téléfilm à l'origine, est vraiment étrange et particulièrement angoissant. Gallipoli (qui représente beaucoup pour les australiens, véritable hommage à ces soldats de l'ANZAC -Néo-zélandais et australiens- tombés pendant la Grande Guerre) et L'année de tous les dangers, ont permis à Weir de glaner ses premiers galons à l'international. Ce sont deux très bons films. Sur sa carrière hollywoodienne, je suis moins enthousiaste, mais je n'ai jamais vraiment été déçu, même si Green Card et Etat second n'atteignent pas des sommets. L'année de tous les dangers. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Peter Weir | |
| |
| | | | Peter Weir | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|