[2009] A l\'affiche ou bientôt sur les écrans (vu ou à voir)

Allez.
On commence l'année, alors nouveau fil des sorties ciné. Histoire de s'y retrouver un peu parfois.

Liste des films cités dans ce fil :(et qui n'ont pas leurs propres fils)

Page 1
Twilight, Catherine Hardwicke

Page 2
Tout est parfait (Everything is fine), Yves Christian Fournier

Page 3
Choke, Clark Gregg

Page 4
La ville fantôme, David Koepp

Page 5
Walkyrie, Bryan Singer
Espion(s), Nicolas Saada
LOL, Lisa Azuelos
Le code a changé, Danièle Thompson

Page 8
Je te mangerais, Sophie Laloy

Page 9
La vague, Dennis Gansel (2)
A swedish love story, Roy Andersson

Page 10
Le bonheur d'Emma, Sven Taddicken

Page 11
Le sens de la vie pour 9.99$, Tatia Rosenthal
Incognito, Eric Lavaine

Page 12


Page 13

Page 14

Page 15
Sword of the stranger, Masahiro Andô

Page 16

Page 17
Mariage à l'Islandaise, Valdis Oskarsdottir
Ne te retourne pas, Marina De Van

Page 18
Cleaning Sunshine, Christine Jeffs (& page 20)

Page 19
L'herbe du rat, Julio Bressane
Boogie, Radu Muntean

Page 20
Amerrika, Cherien Dabis (2)
L'enfant de Kaboul, Barmak Akram
Sunshine Cleaning, Christine Jeffs (& page 18)
Le grand chef, Jeon Yun-su

Page 21
Jeux de pouvoir, Kevin Macdonald
Parque via, Enrique Rivero
Rio, ligne 174, Bruno Barreto

Page 22
Harry Potter et le Prince de sang mêlé, David Yates
Midnight Meat Train, Ryuhei Kitamura
Le roi de l'évasion, Alain Guiraudie
L'anniversaire de Leila, Rashid Masharawi
Simon Konianski, Micha Wald
La camara oscura, Maria Victoria Menis

Page 23
Soie, François Girard
Liverpool, Lisandro Alonso
Jusqu'à toi, Jennifer Devoldere (2)
L'amour caché, Alessandro Capone
Joueuse, Caroline Bottaro

Page 24
Brüno, Larry Charles
Le temps qu'il reste, Elia Suleiman (& page 26)
Charleston & Vendetta, Uros Stojanovic (& page 25)

Page 25
Charleston & Vendetta, Uros Stojanovic (& page 24)
Zion et son frère, Eran Merav
Portrait de femmes chinoises, Yin Lichuan
Demain dès l'aube, Denis Dercourt

Page 26)
Le temps qu'il reste, (& page 24)
Memory of love, Wang Chao
Ordinary people, Vladimir Perisic

Page 27
Parking, Chung Mong-Hong
Numéro 9, Shane Acker (2) (& page 28)

Page 28
Goodbye solo, Ramin Bahrani (& page 41)
Bienvenue à Cadavres-les-bains, Wolfgang Murnberger

Page 29
A deriva, Heitor Dhalia
Rien de personnel, Mathias Gokalp
Humpday, Lynn Shelton
Number one, Zakia Tahiri
L'affaire Farewell, Christophe Carion

Page 30

Page 31
Les joies de la famille, Ella Lemhagen (& page 34)

Page 32
The september issue, R.J. Cutler

Page 33

Page 34
Les joies de la famille, Ella Lemhagen (& page 31)
7 minutes au Paradis, Omri Givon
La nana, Sebastián Silva (II) (& page 36)
Casanegra, Noureddine Lakhmari

Page 35
Jennifer's body, Karyn Kusama (& page 36)
Happy ever afters, Stephen Burke

Page 36
Making of, Nouri Bouzid
La nana, Sebastián Silva (II) (& page 34)
Jennifer's body, Karyn Kusama (& page 35)

Page 37


Page 38
La grande vie, Emmanuel Salinger
2012, Roland Emmerich (& page 46)

Page 39
Strella, Panos H. Koutras
In the loop, Armando Iannucci
Bienvenue à Zombieland, Ruben Fleischer

Page 40
Samson & Delilah, Warwick Thornton
Ninja Assassin, James McTeigue

Page 41
L'assistant du vampire, Paul Weitz 
Goodbye solo, Ramin Bahrani (& page 28)

Page 42

Page 43
La famille Wolberg, Axelle Ropert

Page 44
Huacho, Alejandro Fernandez Almendras
Gamines, Eléonore Faucher (2)
La fille la plus heureuse du monde, Radu Jude

Page 45
En eaux troubles, Erik Poppe (& page 45)
Les chats persans, Bahman Ghobadi (2)

Page 46
Plein sud, Sébastien Lifshitz
Treeless mountain, So Yong Kim
Contes de l'âge d'or, collectif
Le dernier vol, Karim Dridi

Page 47
Accident, Soi Cheang
En eaux troubles, Erik Poppe (& page 45)

Voici ce que j'envisage pour ce week-end...Un avis?

Sortie du mercredi :

Twilight

Une teenage story romantico-vampirique adapté d'un livre qui se vend comme un petit pain tout chaud.
(Pourquoi pas, ça change les idées des trucs comme ça)

Che, Soderbergh

Histoire du Che.
(J'attends vos com' pour éventuellement bouger mes fesses jusqu'à une salle)


Un barrage contre le Pacifique

Duras + Huppert ça pourrait le faire... A méditer.


Frozen River

Citation :

Deux femmes tentent de faire franchir la frontière entre le Canada et les Etats-Unis à des immigrants dépourvus de papiers.

J'ai vu un bout de bande annonce, ça a l'air pas mal.


Choron



Tout es parfait

Un teenage movie aux allures de Gus Van Sant. J'irais.



(hé, c'est qu'il commence à y avoir des trucs à voir!)

Bon programme de rentrée... Un Barrage dans le pacifique est réalisé par Rithy Pahn, grand documentariste qui avait réalisé un impressionnant S21, la machine de mort Khmère rouge

Tout sauf un cinéaste académique donc je suis bien tenté...

Marko a écrit:

Bon programme de rentrée... Un Barrage dans le pacifique est réalisé par Rithy Pahn, grand documentariste qui avait réalisé un impressionnant S21, la machine de mort Khmère rouge

Tout sauf un cinéaste académique donc je suis bien tenté...

Moi aussi...
Marguerite Duras + Rithy Pahn, ça ne peut pas être un navet...Enfin, j'espère...

Queenie a écrit:

Sortie du mercredi :

Il y a aussi Import Export d' Ulrich Seidl mais ça ne passe que dans 8 salles en France dont 2 à Paris! Et pas à Lille... Son précédent film Dog Days m'avait beaucoup impressionné.

Marko a écrit:

Queenie a écrit:

Sortie du mercredi :

Il y a aussi Import Export d' Ulrich Seidl mais ça ne passe que dans 8 salles en France dont 2 à Paris! Et pas à Lille... Son précédent film Dog Days m'avait beaucoup impressionné.

8 copies?...Hum...Je vais regarder le programme du cinéma ...il passe peut-être à Moulins!

coline a écrit:

8 copies?...Hum...Je vais regarder le programme du cinéma ...il passe peut-être à Moulins!

On peut rêver!! Mas je ne suis pas sûr que tu aimerais ce genre de cinéma. C'est très sombre sur la nature humaine. Le Monde résume assez bien le propos:
la surenchère dans la misère est telle qu'elle tend vers l'abstraction et ce qui prend le dessus, et qui fait la beauté du film, tient au regard porté par le cinéaste sur ses protagonistes.

ou les cahiers du cinéma: Le filmage frontal et patient de la saloperie humaine écoeure. Pourtant Seidl ne s'y arrête pas; le rouleau compresseur de son vérisme juxtapose cette inhumanité à d'autres matériaux filmiques, faussement nauséabonds, eux: la vieillesse extrême, la solitude de corps disloqués.

Marko a écrit:

les cahiers du cinéma: Le filmage frontal et patient de la saloperie humaine écoeure. Pourtant Seidl ne s'y arrête pas; le rouleau compresseur de son vérisme juxtapose cette inhumanité à d'autres matériaux filmiques, faussement nauséabonds, eux: la vieillesse extrême, la solitude de corps disloqués.

... ...Sans regret...

coline a écrit:

Marko a écrit:

les cahiers du cinéma: Le filmage frontal et patient de la saloperie humaine écoeure. Pourtant Seidl ne s'y arrête pas; le rouleau compresseur de son vérisme juxtapose cette inhumanité à d'autres matériaux filmiques, faussement nauséabonds, eux: la vieillesse extrême, la solitude de corps disloqués.

... ...Sans regret...

C'est glauque en surface: solitude, lâcheté, laideur des corps (souvent transpirants!), misère sexuelle, exclusion, intolérance, ... Une vision terrible de l'humanité mais dont il sort quelque chose de fort, de fragile, d'émouvant même. Une forme de poésie de la désespérance ou quelque chose comme ça. Si on tente l'aventure c'est une expérience de cinéma qui secoue.

Twilight est très agréable à regarder ! En plus, la BO est chouette...il y a du Muse en fond sonore durant une partie de base-ball, et ça rend vraiment très bien.

Comme toi, coline, j'irais bien voir Un barrage contre le Pacifique !

Une raison de plus pour que j'aille pas le voir

Ah
Tu n'aimes pas Muse ? Tssssss

J'aime trop le rock pour aimer Muse. Et en plus j'aime trop les vampires pour aller voir Twillight.

J'ai vu la bande annonce. J'ai cru vomir.

Du nian nian, des vampires qui ont même pas l'air de croquer un cou, un héros beau gosse avec une adolescente belle gosse mais il se passera que dalle entre eux surement sauf un amour aussi pur que le cristal sans une once même de sexe (fin surtout vu la carrière de la réalisatrice ça m'étonnerait pas).

Mais je regarderais surement. Pour me faire souffrir. J'adore ça.

Samael a écrit:

J'aime trop le rock pour aimer Muse.

Hum.
Y'a de très bons trucs chez Muse.