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| Festival de Cannes, année après année | |
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Auteur | Message |
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Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 19:56 | |
| Très bon palmarès malgré les oublies. | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 20:00 | |
| Palme d'or : Amour de Michael Haneke Grand Prix : Reality de Matteo Garrone Prix d'interprétation masculine : Mads Mikkelsen pour La Chasse de Thomas Vinterberg Prix d'interprétation féminine : Cosmina Stratan et Cristina Flutur pour Au-delà des collines de Cristian Mungiu Prix de la mise en scène : Post Tenebras Lux de Carlos Reygadas Prix du scénario : Au-delà des collines de Cristian Mungiu Prix du Jury : La Part des anges de Ken Loach
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| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 20:09 | |
| Logique pour Haneke au vu de la réception de son film. J'en attends donc beaucoup...même si j'ai pour son cinéma d'avantage d'estime que d'admiration. Les deux prix pour Mungiu confirment la vitalité du cinéma roumain...là-aussi, ce sera à découvrir : j'avais été sceptique sur sa Palme d'or malgré d'énormes qualités. Content pour le prix de la mise en scène de Reygadas : contrairement à toi, Marko, je reste un peu sur la réserve pour ses précédents films mais c'est un cinéaste qui possède une personnalité, un style, et rien que pour cela il mérite d'être soutenu.
Matteo Garrone récupère un deuxième Grand Prix après Gomorra...son film a été tièdement accueilli mais le commentaire de traversay sur ce fil était pertinent. Quant au prix pour le Loach, il semble davantage anecdotique, faisant aussi contrepoids à un palmarès qui ne laisse que peu de places aux comédies. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 21:59 | |
| Et un zéro pointé pour le cinéma français au palmarès. Surprenant quand on lit les comptes-rendus des journaux. | |
| | | mimi54 Zen littéraire
Messages : 6043 Inscription le : 02/05/2010
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 22:02 | |
| - traversay a écrit:
- Et un zéro pointé pour le cinéma français au palmarès. Surprenant quand on lit les comptes-rendus des journaux.
surtout avec la pluie d'éloges pour de rouille et d'os, annoncé comme un chef- d’œuvre. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Dim 27 Mai 2012 - 22:55 | |
| L'absence du Audiard me semble assez évidente. C'est un film très émouvant mais qui ne me semblait pas à sa place en compétition. La chasse de Vinterberg non plus d'ailleurs mais Mikkelsen est un acteur formidable. J'ai bien aimé le discours de Reygadas remerciant le jury pour ce prix de la mise en scène et plus ironiquement la presse qui a été en majorité très hostile jusqu'au mepris alors que c'est un auteur tellement passionnant dans ses recherches. C'est le syndrome journalistique eternel du "J'ai rien compris donc c'est nul" et c'est bien dommage. Le jury a heureusement été sensible à son univers (surtout Andrea Arnold et Raoul Peck, le réalisateur haïtien, d'après la conférence de presse du jury). Tellement d'artistes novateurs ont été rejetés, incompris, taxes de prétentieux alors qu'ils suivent avant tout une démarche extrêmement personnelle et inhabituelle. On verra ce que donne ce film précis mais je suis heureux qu'il soit récompensé. - Citation :
- The jury that picked "Post Tenebras Lux" for Sunday's prize said the film had divided them, but its defenders had won out in the end.
"It is full of the fragility of life, the vulnerability of life, full of tenderness," said British film-maker and jury member Andrea Arnold, while Haitian director Raoul Peck said he had "rarely seen such powerful images" . Conférence de presse de Reygadas après l'obtention de son prix: Ici | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 12:00 | |
| Ce que Libé pense du Palmarès cannois : - Citation :
- «Amour», la palme à mort
Par Julien Gester, Bruno Icher, Gérard Lefort, Didier Péron etolivier Séguret
En récompensant des cinéastes déjà primés à Cannes, à l’image de Michael Haneke, le jury n’a fait que confirmer des valeurs sûres, laissant de côté des films risqués mais peut-être plus audacieux.
Le palmarès de la compétition étant désormais, par la grâce des réseaux sociaux et des textos, aussi téléphoné que les scores de la présidentielle, tout festivalier doté d’un smartphone détenait les noms des gagnants dans le désordre dès son réveil avec la gueule de bois, le dimanche matin, 16 heures. Sans identifier déjà l’heureux palmé, cette short-list hurlait une absence totale au palmarès : celle de Holy Motors, de Leos Carax, l’un des sommets de la sélection donné gagnant par la majorité des critiques français. C’était prêter au chef d’orchestre Nanni Moretti le dessein très perso de ne pas primer, avec Michael Haneke, Ken Loach, Cristian Mungiu ou Abbas Kiarostami, un cinéaste déjà palmipède comme lui - et d’en faire ainsi un nouveau membre du club de moins en moins fermé des réalisateurs deux fois palmés.
Académisme. Pronostic déjoué : trois ans après le Ruban blanc, Michael Haneke emporte à nouveau, avec Amour, la récompense suprême ; Cristian Mungiu repart avec deux prix, dont un compte double (scénario et interprétation féminine pour Cosmina Stratan et Cristina Flutur), et Ken Loach, 17 sélections et déjà une foison de médailles à son compteur, extatique sur scène à l’idée de récupérer le petit prix du jury - censé récompenser, selon la remettante Laura Morante, «un jeune cinéaste dont cette récompense va modifier la vie», bien vu ! Cela sans compter que Matteo Garrone, gratifié d’un grand prix du jury pour Gomorra en 2008, dont le Reality repart avec le même trophée. Autant dire qu’être abonné à la sélection, reproche souvent formulé à Cannes, ne suffit plus. Pour monter sur scène hier soir, il fallait appartenir au cercle des déjà primés.
L’image du président Moretti en sort écornée par l’occultation des quelques grands films montrés en compétition cette année - Moonrise Kingdom (Wes Anderson), In Another Country (Hong Sang-soo), Vous n’avez encore rien vu (du juvénile Alain Resnais) et Cosmopolis (David Cronenberg). Un Cronenberg qui, à la place de Moretti, avait, lui, distingué Rosetta des frères Dardenne avec une tout autre audace, qui fut aussi celle de Tim Burton (palme à Uncle Boonmee d’Apichatpong Weerasethakul) ou de Sean Penn (récompensant Entre les murs de Laurent Cantet).
Cet esprit peu aventureux, c’est aussi faire figurer au palmarès l’académisme réac de Tomas Vinterberg (la Chasse, prix d’interprétation pour Mads Mikkelsen) et de Cristian Mungiu (Au-delà des collines) et le pompiérisme exalté de Carlos Reygadas (Post Tenebras Lux), tous trois façonnés dans une visée aiguë de formatage canno-cannois.
Il faut également pointer l’altermondialisme farouche du jury qui, des sept films d’obédience hollywoodienne (sur vingt-deux concourant pour un prix), a choisi de ne pas en distinguer un seul. Il n’y a guère eu que le jury de la caméra d’or (prix du premier film), présidé par le Brésilien folâtre Carlos Diegues, pour récompenser un film américain, issu lui de la sélection officielle bis, Un certain regard : les Bêtes du sud sauvage, de Benh Zeitlin.
Le cinéma français n’est pas mieux loti. Après la rafle de l’année dernière (le Polisse de Maïwenn primé et l’artiste Dujardin lancé vers les oscars), pour qualifier le bilan hexagonal au rayon cliché-mon-amour, on hésite entre chou blanc, bredouille et queue basse : Vous n’avez encore rien vu de Resnais, Holy Motors de Carax et De rouille et d’os d’Audiard, qui se console en salles par un succès tonitruant.
Gravité. Sur les sept films primés, seule la palme d’or remise à Haneke coïncide avec ce que nous avons retenu d’un peu secouant dans une sélection officielle assez faible, les chefs-d’œuvre ne se bousculant pas au portillon des récompenses. L’Autrichien, qualifié sur scène par son acteur Jean-Louis Trintignant de «meilleur metteur en scène vivant», accède à un statut hors-norme par ce plaidoyer pour l’amour à mort, en forme de chronique à huis clos de la fin de vie d’un couple d’amants octogénaires. Sa carrière paraît désormais sans équivalent dans le présent du cinéma, avec une aura qui conjugue la majesté bergmanienne austère à une réputation sulfureuse. Sans se risquer au dithyrambe, il faut dire qu’Amour est immense, notamment par sa capacité à réconcilier à Cannes les fans hardcore de Haneke avec ceux que sa filmographie laissait plus perplexes. Ce ne fut pas le festival de la gaudriole, mais celui d’une gravité qui s’impose à tous. Respect final pour Jean-Louis Trintignant citant sobrement Jacques Prévert : «Et si on essayait d’être heureux, ne serait-ce que pour donner l’exemple.» | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 12:05 | |
| D'une certaine façon, les prix remis à Un certain regard m'excitent davantage que ceux de la "grande" compétition avec des cinéastes déjà remarqués pour leur premier ou second film. - Citation :
- La sélection Un Certain Regard a attribué samedi soir à Cannes son prix au réalisateur mexicain Michel Franco pour Despues de Lucia, un film sur la barbarie imposée à une collégienne souffre-douleur.
Ce deuxième long métrage du réalisateur qui avait déjà marqué Cannes en 2009 avec le film Daniel y Ana, a été vivement applaudi pendant la Quinzaine, de nombreux spectateurs sortant des salles en larmes. «En les voyant pleurer, j’avais envie de les approcher et de leur demander pardon», avait confié le cinéaste de 33 ans lors d’un point de presse.
Michel Franco a également affirmé que le niveau de violence dans son pays s’apparentait à une sorte de guerre civile. «Je ne me suis jamais dit que j’allais faire un film sur la violence à l’école. Mais la violence aujourd’hui est partout, pas seulement dans les écoles, mais aussi au travail, dans les rues, dans les maison». Une sortie française est prévue pour son film, selon une source proche de la production.
L’acteur et réalisateur britannique Tim Roth, président du jury Un Certain regard, s’est félicité que le cru 2012, composé de 20 films originaires de 17 pays différents, ait permis de découvrir «une sélection de films extraordinaire dans sa qualité et sa puissance». «Les cinéastes ne nous ont jamais déçus une seule fois! Incroyable!», s’est-il enthousiasmé.
Le jury, également composé de l’actrice Leïla Bekhti ou de la réalisatrice et productrice Tonie Marshall, a également décerné un Prix spécial du jury au duo formé par Benoît Delépine et Gustave Kervern pour leur film Le Grand Soir dans lequel jouent Benoît Poelevoorde et Albert Dupontel.
Deux prix d’interprétation féminine ont été remis: l’un est revenu à l’actrice québécoise Suzanne Clément pour sa performance dans Laurence Anyways, de Xavier Dolan, 23 ans, qui était pour la troisième fois en sélection officielle à Cannes. L’autre a salué le jeu de l’actrice belge Emilie Dequenne en mère infanticide dans A perdre la raison, du réalisateur Joachim Lafosse.
Enfin, une Mention spéciale du Jury a été remise à Djeca (Enfants de Sarajevo) de la réalisatrice bosnienne Aida Begic. Le film raconte une génération d’enfants de la guerre marginalisés dans une société en transition. | |
| | | mimi54 Zen littéraire
Messages : 6043 Inscription le : 02/05/2010
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 12:06 | |
| Tout à fait d'accord avec libé en ce qui concerne Jean Louis Trintignant. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 12:21 | |
| Merci de ces articles Traversay. Je ne peux qu'être d'accord avec le constat sur la sélection et le palmarès. Et comme toi, beaucoup plus intéressée par "Un certain regard". | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 16:59 | |
| Ce palmarès me convient et il est rassurant parce que, tant que les œuvres de Haneke, Ken Loach, Reygadas, Cristian Mungiu et Vinterberg émergeront, on pourra considérer que c'est l'excellence qui est récompensée. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 20:29 | |
| - Babelle a écrit:
- Ce palmarès me convient et il est rassurant parce que, tant que les œuvres de Haneke, Ken Loach, Reygadas, Cristian Mungiu et Vinterberg émergeront, on pourra considérer que c'est l'excellence qui est récompensée.
D'accord avec toi (sauf pour Vinterberg peut-être). On se scandalise chaque année de l'absence de certains films au palmarès (en fonction des goûts de chacun forcément) et de la sélection d'autres qui ne devraient pas y être mais quand je vois par exemple que la critique a vomi sur Zviaguintsev pour Le Bannissement il y a quelques années ça relativise les choses. Il y avait en compétition cette année de merveilleux réalisateurs qu'ils soient anciens et reconnus ou parmi les nouvelles générations. Des films d'expérimentation autant que des films plus classiques. Les sections parallèles sont des viviers de nouveaux talents et pas mal de ces films pourraient figurer dans la compétition officielle mais c'est cet ensemble de films sélectionnés qui fait la richesse de ce festival. Je trouve que récompenser Haneke et ses 2 acteurs avec la palme d'or, dans une production essentiellement française pour le coup (même si le réalisateur est d'origine autrichienne), est un choix consensuel dont tout le monde se réjouit (standing ovation, émotion au rendez-vous...). Reygadas divise et tant mieux (cf Antonioni et tant de grands créateurs du passé copieusement sifflés et raillés pour leur soi-disant prétention et leur langage a priori hermétique pour peu qu'on ne cherche même pas à s'intéresser à ce qu'ils ont à nous montrer). Lui donner un prix de la mise en scène contre vents et marées est fort et rassurant à mon sens. On retrouve Mungiu dont le film et les actrices ont aussi beaucoup impressionné. Ken Loach qui apporte un peu d'humour. Un acteur formidable dans La Chasse même si le film n'est pas génial c'est évident. Mon seul bémol (et uniquement par a priori) est le choix du grand prix à Garrone parce que j'attends des cinéastes plus novateurs formellement dans cette rubrique mais il est peut-être tout à fait formidable et ce que j'en ai entendu dire me donne très envie. Un palmarès resserré sur quelques films sans vouloir ratisser large. Des choix personnels et forcément subjectifs. Je trouve formidable que Nanni Moretti ait laissé certains passionnés de son jury convaincre les autres malgré leurs réticences. ce devait être animé et passionnant. On regrettera quelques auteurs importants qui ont beaucoup plu de Carax à Loznitsa, Nichols ou Seidl mais ils sont bien là dans la compétition et c'est l'essentiel. La répartition en récompenses finales diverses n'apportant qu'un peu de suspens de plus mais pour un résultat forcément un peu aléatoire en fonction des personnalités. Je vois un cinéma varié, vivant, des auteurs créatifs et qui ont la foi dans le cinéma. Alors vive le festival de Cannes et vivement les sorties en salle de tous ces films. | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 23:25 | |
| D'accord avec Marko...on a d'ailleurs souvent tendance à réévaluer un cru cannois à l'automne, au moment de la majorité des sorties. En mai, il y a un effet de lassitude, d'agacement, qui a tendance à devenir envahissant. Un palmarès n'a pas vocation à être exhaustif, ni même à refléter un idéal de cinéma....l'important demeure qu'il exprime de la personnalité, et c'est le cas de celui-ci. Et il est toujours nécessaire de souligner le rôle des sélections parallèles. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Lun 28 Mai 2012 - 23:27 | |
| - Marko a écrit:
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Je vois un cinéma varié, vivant, des auteurs créatifs et qui ont la foi dans le cinéma. Alors vive le festival de Cannes et vivement les sorties en salle de tous ces films.
Il est bien là l'essentiel pour nous, spectateurs... | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Festival de Cannes, année après année Mar 29 Mai 2012 - 16:41 | |
| Quelques sorties annoncées :
6/06 : Le grand soir (Kernen & Delépine) 20/06 : Adieu Berthe (Podalydès) 27/06 : La part des anges (Loach) 4/07 : Holy Motors (Carax) 18/07 : Laurence anyways (Dolan) 22/08 : Reality (Garrone) 5/09 : A perdre la raison (Lafosse) 12/09 : Des hommes sans loi (Hillcoat) 26/09 : Vous n'avez encore rien vu (Resnais) 17/10 : In another Country (Hong) Cogan- La mort en douce (Dominik) 24/10 : Amour (Haneke) 31/10 : Dans la brume (Loznitsa) 14/11 : Paperboy (Daniels) 21/11 : Thérès Desqueyroux (Miller)
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