Terry Pratchett

Je viens de commencer La 8ème couleur, trouvé ce matin à la librairie à un "prix découverte de 3.50€"^^
Je pense que ça va bien me plaire, je vous dirais ça quand je serais à la fin.

j'avance doucement mais surement ce livre, j'ai un peu de mal, beaucoup de termes, des descriptions, ce n'est pas très fluide à lire. L'univers me plait bien par contre, c'est plutôt le style d'écriture que je n'accroche pas.
Je continue ma lecture

J'ai adoré l'univers de Pratchett en jeu vidéo lorsque j'étais ado (Discworld) mais je dois avouer que sur le plan littéraire il y a un vrai problème de traduction. L'ironie et les jeux de mots renvoyant au genre fantastique passe mal en français je trouve.

Terry Pratchett, 28 avril 1948- 12 mars 2015.

Citation :

"Diagnostiqué comme atteint d'APC (atrophie corticale postérieure) en 2007, il s'est battu contre cette maladie dégénérative avec la détermination et la créativité qui le caractérisaient et il a continué à écrire", a souligné l'éditeur. "Il a terminé à l'été 2014 son dernier livre, un nouveau volume des +Annales du Disque-Monde+ avant de succomber aux derniers stades de la maladie", a-t-il précisé.

Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20150312.AFP1506/l-ecrivain-britannique-terry-pratchett-est-decede-a-66-ans.html

À Londres, une fresque pharaonique à la mémoire de Terry Pratchett

Citation :

Sur les murs de Londres, deux graffeurs, Dr Zadok et Jim Vision se sont lancé dans une réalisation impressionnante : les personnages du Disque Monde, la grande saga de Pratchett, sont immortalisés avec au cœur, leur créateur.

La fresque compterait parmi les plus grandes de la ville, installée dans la Brick Lane street située à l'est de la ville. Les auteurs assurent que le quartier connaît de sérieux problèmes sociaux, et que cette fresque ne peut que mettre un peu de bonne humeur. « Ce qui est important, c'est de commémorer la vie des gens, et particulièrement ceux qui ont tant apporté à la littérature du Royaume-Uni », explique l'un d'eux.

source

photos de Graham Turner pour the Guardian