| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Dino Buzzati [Italie] | |
|
+33Cassiopée unmotbleu GrandGousierGuerin Queenie mimi54 shanidar K Ezechielle kathel odrey Charles Marko tom léo bulle Bédoulène Bellonzo Epi Mordicus bix229 kenavo botany Cachemire Anne Isidore Ducasse animal Veterini ekwerkwe Fantaisie héroïque monilet Chatperlipopette Sophie coline sousmarin 37 participants | |
Auteur | Message |
---|
bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Dim 31 Oct 2010 - 13:24 | |
| - Bédoulène a écrit:
- une lecture que tu n'oublieras certainemet pas, au fur et à mesure !
Comme le dit si bien Bédoulène, cette lecture sera inoubliable. Un temps d'arrêt pour mieux réfléchir. - Spoiler:
Pour ma part, dans mon cas, je me demande si c'est parce que la vieillesse se fait sentir de plus en plus, et le temps qui passe si vite sous les pieds.
- monilet a écrit:
- Lisez aussi "Un amour" qui vous montre comment un homme mûr peut être laminé par l'amour qu'il éprouve pour une prostituée, sa déchéance progressive. Une excellente éducation sentimentale pour les adolescents, en tant que mise en garde.
Sinon j'ai lu le K et le désert des Tartares. Grâce à toi Monilet, je suis à lire "Un amour". Aussitôt terminé , je te le retourne. Un immense merci!!! J'avais cherché en vain ce livre dans la région métropolitaine sans aucun succès. | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Sam 20 Nov 2010 - 15:48 | |
| J'avais aussi bien aimé "un amour"
bonne lecture Bulle | |
| | | bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Sam 4 Déc 2010 - 17:57 | |
| - Bédoulène a écrit:
- J'avais aussi bien aimé "un amour"
bonne lecture Bulle Merci Bédoulène - Citation :
- Peut-être, parce que la véritable musique est tout entière ici dans le regret d'hier et l'espoir de demain, l'espoir aussi douloureux que le regret. Et puis il s'y trouve aussi la désespérance d'aujourd'hui, mélange des deux autres. Hors de cela il n'existe point d'autre poésie.
- Un Amour de Buzzati Après un long moment sans lecture, j'y reviens . | |
| | | bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Sam 11 Déc 2010 - 5:37 | |
| " Un Amour " de Buzzati Le temps , pour qui a déjà lu Buzzati, le temps est omniprésent , il fait aussi parti "d'Un Amour ''. Buzzati sait très bien décrire cette attente, ce moment qui soulève mille questionnement existentielle de la vie.
L'attente de la bien-aimée, de la jeunesse, de l'amour. De l'amour inacccessible. Son écriture sait rendre le portrait de la situation. Je poursuis ma route avec Buzzati.
"Un Amour" L'attente, l'angoisse , le temps qui passe. La peur de perdre. J'en suis rendu là, j'ai hâte de voir la suite.
| |
| | | bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Mer 29 Déc 2010 - 2:51 | |
| Terminé " Un Amour" mon commentaire viendra demain. Une lecture passablement différente de mes lectures habituelle; mais belle découverte. | |
| | | bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Mer 29 Déc 2010 - 15:00 | |
| Un Amour - Dino Buzzati
" Il arrive parfois qu'une silhouette à peine entrevue laisse dans la mémoire une empreinte vive." Plus sensible qu'un autre à la beauté et à l'équilibre des formes. Dans une rue de Milan une jeune fille en qui son imagination se plaît à voir incarné le symbole éternel du peuple italien. Ce souvenir gracieux revient s'imposer avec force quand il rencontre pour la première fois la peite Call-girl Laïde chez Mme Ermelina. Il n'en faut pas plus pour que naisse un " sentiment d'attirance et d'attachement" qui est la définition même de l'amour.
Février 1960 - première rencontre - Antonio Dorigo & Laïde (toute jeune au longs cheveux noirs) .
N’ayant pas le charisme nécessaire pour plaire aux femmes qu’il désirait et ayant un visage plutôt moche selon lui, il se tourna vers le milieu de la prostitution pour assouvir ses besoins sexuels. La rencontre de Laïde changea son rapport pour une longue période. Il rencontra Laïde à chaque fois qu’il désirait satisfaire son besoin physique. Il en tomba amoureux , mais cet amour n’était partagé que d'un côté. Le spectre de la jeune fille aperçut dans une rue de Milan l'avait obnubiler . En Laïde il voyait ce spectre.
Un jour Il lui propose le marché de partager sa compagnie 2 ou 3 rencontres par semaine moyennant un montant d’argent. (cinquante mille lires par semaines) . Laïde accepta et à partir de ce moment la vie d'Antonio chamboulait dans des moments d'attente incroyable. Des appels dans la nuit, des rendez-vous remis , des mensonges, des ruses presque réussi. 2 ans , deux ans de passion, de sentiments douloureux face à une Laïde qui s'en servait comme d'une carpette. Malgré tout il l'idolâtrait. Le temps de cet Amour, ses angoisses vis-à-vis la mort s'était restreint.
Tout comme dans le Désert des tartares on retrouve le temps d'attente continuel et l'aller vers la mort éventuelle.
| |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Lun 9 Mai 2011 - 8:35 | |
| (Image : René Magritte, Les amants) Douze nouvelles - Dodici racconti.La déclaration de revenus - Ça n'est jamais fini - Délicatesse - Cendrillon - L'honneur du nom - Chez le médecin - Vieille voiture - Le petit papillon - Trois histoires de Vénétie - L'éléphantiasis - L'ubiquiste - L'œuf. Je ne sais pas vraiment quel est le prétexte de rassemblement de ces nouvelles-ci sous ce recueil là. Aucune explication à ce sujet dans la préface. Mais voilà ma deuxième tentative d'entrée dans le monde de Buzzati (après un lointain essai avec le Désert des Tartares que je n'avais pas poussé bien loin). J'ai parcouru les pages précédentes et il est difficile de passer après les commentaires des Parfumés qui ont tant nourris ce fil. Parce que je les rejoins sur tous leurs avis, sans vraiment avoir été happée pourtant. Mais je sens que j'ai peut-être lu trop vite, et ne suis peut-être pas tombée sur le bon recueil. - ekwerkwe a écrit:
- De Buzzati, j'aime tout particulièrement les nouvelles semi-fantastiques du recueil Les sept messagers: Le bourgeois ensorcelé, L'inauguration de la route, Le roi à Horm el-Hagar, Les sept messagers, etc.
Alors que je trouve Buzzati souvent un peu lourd et didactique, surtout dans ses chutes travaillées à la truelle, la touche fantastique/onirique de ces nouvelles-là leur donne beaucoup de légèreté. Elles sont pour la plupart cruelles ou, au moins, mélancoliques. [...] C'est exactement ça. Ce mélange de réalisme et d'introduction dans le fantastique, cette sorte de faille de rêve, d'étrangeté qui glisse une sensation de fragilité. - animal a écrit:
-
- Citation :
- C'est une journée qui insuffle la joie de vivre aux automobiles de la joie de vivre. Le vénérable engin, bien qu'un peu alourdi par l'hivernage, se retrouve plein de vigueur et de vivacité.
"Eh bien !" ne puis-je m'empêcher de m'exclamer. "Tu es en verve, aujourdhui." Elle feint de n'avoir pas entendu et me demande : "On peut savoir où nous allons ?" "Chez un mécanicien, je te l'ai dit. Un mécanicien très habile." "Alors, pourquoi m'as-tu dit que c'était un petit tour d'essai ?" "Un petit tour d'essai, confirmé-je stupidement, avant d'aller chez le mécanicien." Distrait, j'oublie de passer de la quatrième à la troisième quand commence la montée du Dossetto. Mais la Mustang-Morrisson, au lieu de s'offenser, veut me donner une leçon : en quatrième, elle grimpe la pente comme si de rien n'était, sans haleter, sans coups de tête, sans le moindre signe de fatigue. Je m'en aperçois quand je suis déjà presque au sommet. "Compliments lui dis-je. "Tu es une vraie jeune fille, aujourd'hui." Quand enfin je passe en troisième, elle a son petit rire bien connu, plein de dignité. Mes paroles l'ont flattée. A son allure, à sa respiration, à son doux ronron, à ses bonds en avant quand nous doublons, je comprends qu'elle est heureuse. Et pourtant c'est son dernier voyage, et pourtant je la conduis à l'abattoir. Elle roule comme dans son beau temps, hélas lointain. C'est une feinte, je le sais, c'est un effort atroce qu'elle s'impose pour déguiser la réalité, pour me persuader qu'elle est toujours en forme, que pour elle les années n'ont pas passé, qu'elle peut encore faire cent fois le tour du monde sans accroc. Comme si elle avait deviné mes intentions, comme si elle essayait, par cette absurde comédie, de mériter sa grâce. je continue les nouvelles, je réserve pour les moments qui n'appartiennent pas aux autres lectures, les moments de pas de temps ou entre temps. comme cette semaine un jour j'ai terminé un livre la veille et le lendemain je n'aurais pas de temps, j'ai besoin de lire, je veux lire une chose entière, ou deux, seulement quelques pages, je n'ai pas l'espace. ces nouvelles sont là. très courtes, étranges, irréelles, c'est un peu la même impression que de Chirico, je lisais hier et quelque part je voyais...
le format est parfait, le jeu est agréable et on se laisse aller, la fin de journée stressante est étouffée. Cette petite lecture morcelée s'affirme comme un de mes plus grands bonheurs de lecteur.
en plus je ne sais pas si j'ai compris quelque chose à la voiture, mais je crois que lui a compris (y a pas que Modiano et les américaines qui sait faire).
j'adore ce livre, torture de ne pas collé autour de cet extrait. je n'ai pas pu résister à ces impressions "en cours de lecture". ce bouquin me ronronne dans la moelle épinière... J'avais cette nouvelle de la voiture dans mon recueil ! Évidemment, je te l'aurais conseillé à 300% C'est vrai qu'il parvient en très peu de lignes à donner une compréhension de la voiture, de la relation à l'engin, de l'emprunte du souvenir, du temps passé et du temps qui passe. - animal a écrit:
- [...]
toujours dans Les nuits difficiles et ce n'est qu'une parcelle de nouvelle... deux, trois peut être quatre de ces nouvelles une fois de temps en temps, un rythme différent pour le livre, et le rythme des nouvelles... le jeu agréable des échos et des répétitions, le jeu de l'auteur sur le rythme des pensées d'un quotidien qui se retrouve mélangé d'irréel. Mélange des pensées et des habitudes du lecteur. Le flot commun est interrompu et le lecteur est laissé échoué ailleurs, un instant. Après reprendront sa vie et ses lectures plus conventionnelles, bonnes ou exceptionnelles... ces nouvelles qui attendent sont d'un autre monde, un monde voisin de celui du sommeil et des rêves dans lequel l'intellect n'est plus le maitre.
Il y a un génie observateur, ingénieux et joueur qui nous fait tourner les pages. Deux, trois peut être quatre de ces nouvelles de temps en temps. Pourrai-je retrouver un même plaisir, autrement ? C'est assez troublant ce basculement dans le rythme et dans le "genre" de l'histoire, la première fois c'est surprenant, et ça fait sourire d'ingéniosité parce que c'est bien fait, que ça semble exactement être ce que ça devait être, parce que ça devient plus original que ce à quoi on s'attendait au départ. Et puis, au fur et à mesure des nouvelles lues (peut-être l'engloutissement empêche que la lecture soit entièrement consacrée à l'instant présent), ça devient un peu systématique, moins surprenant, et l'impression d'une facilité, d'un mécanisme, qui fait un peu grincer le plaisir. - animal a écrit:
- j'en ai donc lu une petite hier soir... je ne me lasse pas de façon de jouer sur des mécanismes assimilés de narration (façon conte) ou de réaction et d'attentes... on a ce qu'on attend et autre chose en plus, des retournements plus ou moins grands et sans... sans excès formel... le goût de ce jeu d'idées... un peu sombres (si on regarde bien), un peu d'humour... ou d'esprit qui glisse là dedans... bonheur bonheur bonheur... !
Et puis, vers la fin, un côté petite morale qui a parfois du mal à passer, mais qui laisse quand même un fond de cynisme (?), un sentiment de sourire en coin sur lequel je n'arrive pas vraiment à mettre le doigt : l'auteur se fout de notre gueule (de l'humanité entière et du lecteur en particulier) ? Parce qu'il n'a pas l'air de Faire la Morale. Mais il l'a fait. Étrange. Faut que j'en relise. Et ceux cités par vous. Parce qu'il y a des bouts de texte qui restent tout de même. Et je me soupçonne d'être passée à côté de petites perles de moments. | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Lun 9 Mai 2011 - 20:01 | |
| personnellement j'ai préféré les 2 livres lus que les nouvelles, mais je n'ai lu que les Nouvelles inquiètes.
je tenterai "Panique à la Scala" et je note le livre de nouvelles dont tu parles
| |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Lun 9 Mai 2011 - 21:46 | |
| je ne pense pas que ce soit du cynisme, une dérision un peu noire, ou la reconnaissance du dérisoire dans l'individu ? | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Mar 10 Mai 2011 - 1:30 | |
| - animal a écrit:
- je ne pense pas que ce soit du cynisme, une dérision un peu noire, ou la reconnaissance du dérisoire dans l'individu ?
C'est vrai que le terme cynisme ne me convainc pas beaucoup non plus. Dérision ? Hum. Peut-être. Mais c'est trop associé à du drôle et grinçant pour moi. J'arrive pas à mettre le doigt dessus. Peut-être qu'en lire un peu plus m'aiderait. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| | | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Ven 11 Nov 2011 - 0:02 | |
| | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Panique à la Scala Mer 21 Nov 2012 - 21:54 | |
| Pas seulement le nom d'un recueil, mais aussi d'une nouvelle. Au moins en Allemand aussi édité à part :
Panique à la Scala
Originale : Paura alla Scala (Italien, 1949)
CONTENU : Quelque chose se trame. Les invités pour la Première à la Scala de Milan d'un grand (?) œuvre moderniste – qui oseraient y douter ? - sont en fête, mais il y a des rumeurs de rebellions dans la ville. Est-ce que les « Morcistes » vont vouloir prendre le pouvoir ? Lentement des rumeurs s'amplifient et trouvent da nourriture dans la présence d'un tel ou d'un tel, dans les bruits et nouvelles qui arrivent du dehors via des gens « bien informés ». Après le spectacle la Scla se transforme en camp de retranchement dans un état exceptionnel, voir une presque captivité. Le matin, d'un coup, ce spectacle sans fondements s'écroule et la vie peut reprendre...
REMARQUES : Je dois avouer que pendant les premiers pages je ne voyais pas très bien vers où ce récit et Buzzati pourraient bien nous mener : Une première se profile à l'horizon de la soirée et on est introduit à quelques personnages : le componiste de l'oeuvre, un ancien dirigent etc... On accompagne ce dernier qui croit discerner ici et là des vagues menaces. Qu'est-ce qui se passe ? Est-ce que son fils est menacé ? Est-ce que le groupe des « morcistes » veulent s'accaparer du pouvoir ?
Toute l'opéra et ses visiteurs deviennent une proie à des telles questions et des tels soupçons. On interprète, on semble voir des signes indubitables etc.... et quand la première prendra fin les commentaires sont rapidemment à la question : Quoi faire maintenant ? On ne pourra pas rentrer à la maison ! On a entendu parler des forces qui s'avancent ! Voir des executions ! Peu à peu des gens en attente dans l'entrée de l'Opéra s'isolent, forment des groupes, préparent en tout oppurtunisme le terrain : Ah, à vrai dire on faisait toujours parti de ces groupes "morcistes"... Et si on s'alliait quand ils arrivent, voir les aident un peu? Juste quelques personnes restent calmes ou resolues : surtout une femme de conviction.
Et c'est en ces dernières trente pages que Buzzati menent la danse, nous montre l'homme dans sa fuite devant la menace, et son rapide ralliement à la (mauvaise?!) cause. Et pourtant : pourquoi tant de vacarme ? Est-ce qu'il y a, est-ce qu'il y avait des vraies raisons de s'alarmer, où est-ce que c'est un processus d'inquiétude grandissant « sans raisons » ?
Splendide ! | |
| | | GrandGousierGuerin Sage de la littérature
Messages : 2669 Inscription le : 02/03/2013
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Ven 15 Mar 2013 - 9:25 | |
| petit plaisir matinal à la lecture du fil (vu le nombre de pages, c'est plutôt une grosse bobine) de Buzzati. Ce fut long mais riche et copieux : un petit déjeuner à l'anglaise... Beaucoup de monde à la table ce matin nous parlant de leur empathie buzzatienne ... Car je viens de me rendre compte qu'il existe un monde où Borgo (et d'autres ...) est un héros d'encre certes, mais une encre qu'on emploie pour les tatouages ... près du coeur ... Dernière impression et réflexion : la lecture de ce fil ou bobine aurait-elle pu inspirer une nouvelle à Buzzati ? J'aime à le croire ... | |
| | | unmotbleu Sage de la littérature
Messages : 1329 Inscription le : 08/03/2013 Age : 65 Localisation : Normandie Rouen
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] Ven 15 Mar 2013 - 9:55 | |
| Ma seule lecture de BUZZATI à ce jour est "le désert des Tartares" qui m'avait fort impressionnée. que me conseillez vous en deuxième choix? | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Dino Buzzati [Italie] | |
| |
| | | | Dino Buzzati [Italie] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|