que lisez-vous en février

Babelle a écrit:

Je vais entamer Toutes les familles sont psychotiques de Douglas Coupland : ça vaut le coup? (Coupland, il y en a qui kiffent)

J'avais bien aimé Génération X , mais c'était il y a trèèèèèèès longtemps

J'enchaîne par un classique anglais, « Cranford » de Elizabeth Gaskell.

Je termine la saga de "L'école des chats", je termine aussi "L'homme de cinq heures" de Gilles Heuré.
Puis, j'entamerai la lecture de "La femme dans le miroir" et "Les poissons ne connaissent pas l'adultère"
J'ai terminé et adoré "Gens de Dublin" de Joyce Il n'y a pas à dire, les classiques...un vrai bonheur à lire, lentement certes mais avec délectation...huuummm la musicalité d'une phrase longue, bien construite, riches en images et en vocabulaire...aaahhhhh le bonheur!

Cendrillon de Eric Reinhardt

Ah, Maryvonne est passée par là...
Suivant ton avis je risque de le ressortir!

Terminé Les heures souterraines et attendu jusqu'à la dernière minute une once d'espoir. Mais ce livre est sombre de chez sombre.
(moue boudeuse)

Je vais attaquer La lamentation du prépuce "Iconoclastes, hilarants et incroyablements touchants, les mémoires d'un jeune juif..."
C'est ce que promet la 4 eme de couverture (et ce que vous en dites aussi)
Voilà ce dont j'ai envie nom de nom !

aériale a écrit:

Voilà ce dont j'ai envie nom de nom !

alors il faut attendre un petit peu avant d'entamer le nouveau Garnier

Ah mais ça n'a rien à voir Kena! Je connais l'humour noir de Garnier et j'adore!.
Ce qui finit par me fatiguer c'est cette désespérance la plus profonde que cultive certains auteurs français et qui personnellement ne m'apporte rien ou si peu.

Comme disait ce même Garnier (il citait quelqu'un mais c'est un peu sa maxime, que je partage complètement) L'ironie est la politesse du désespoir.

J'aime les auteurs qui savent garder cette distance.

aériale a écrit:

Ah mais ça n'a rien à voir Kena! Je connais l'humour noir de Garnier et j'adore!.

aériale a écrit:

Comme disait ce même Garnier (il citait quelqu'un mais c'est un peu sa maxime, que je partage complètement) L'ironie est la politesse du désespoir.

alors il était plus désespéré que d'habitude en écrivant son dernier.. je vais chercher un extrait qui m'a surtout fait rire.. mais il y en a plusieurs de telle sorte dans Le Grand Loin

Une odyssée américaine, de Jim Harrison

aériale a écrit:

Ah, Maryvonne est passée par là...

Oui
ça serait drôle si d'aventure d'autres personnes le lisaient car je suis quasiment certaine que les avis seraient très partagés

Je vais entamer Isula Blues de Jean-Pierre Santini ( Albiana 2004), un roman de série noire qui se déroule dans le Cap corse , ainsi que Carnets du sous-sol, un des rares Dostoïevski que je n'ai pas lu...

Citation :

Cendrillon de Eric Reinhardt

Tu nous diras..
J'ai commencé Une brève histoire des morts de Kevin Brockmeier

darkanny a écrit:

aériale a écrit:

Ah, Maryvonne est passée par là...

Oui
ça serait drôle si d'aventure d'autres personnes le lisaient car je suis quasiment certaine que les avis seraient très partagés

Cool. C'est bien pour ça que je demandais.
Je sens que tu vas kiffer les passage sur la bourse...

Dedans, y'a tout un passage sur Jeanne Balibar, qu'on ne cite pas, heing, heing.
Il n'y va pas de main morte.

Marie a écrit:

Citation :

Cendrillon de Eric Reinhardt

Tu nous diras..
J'ai commencé Une brève histoire des morts de Kevin Brockmeier

oui , je sens que j'aurai beaucoup de choses à dire

et toi aussi , tu nous diras pour Kevin Brockmeier

Citation :

Dedans, y'a tout un passage sur Jeanne Balibar, qu'on ne cite pas, heing, heing.
Il n'y va pas de main morte.

Dans quoi? Cendrillon?oui, je sais, j'ai le cerveau un peu moisi, ce matin. C'est normal, c'est un peu humide chez moi!