Que lisez-vous en novembre?

sentinelle a écrit:

monilet a écrit:

ocean a écrit:

monilet a écrit:

Je lis Bord de mer de Véronique Olmi.

En lisant le résumé, j'ai pris peur....Et j'ai pris "Numéro six" du même auteur. Il est dans ma PAL de la médiathèque!!!

sûr que ce n'est pas gai , mais ça a son charme.

Bord de mer est bien plus fort que Numéro six, plus douloureux aussi, c'est un fait. Mais il en vaut la peine !

Bon, alors, je vais essayer et je vous dirai....

animal a écrit:

(on dirait presque que c'est une surprise d'aimer La voie royale ?).

Ah pas du tout : c'est une confirmation !! D'ailleurs, je l'ai presque fini.

En même temps, je parcours des chapitres de La Danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse de Louis de Cahusac (1754).

je remarque qu'à chaque fois que le nom de Malraux surgit, animal sort les griffes, pour ma part je garde un sentiment confus de La Voie Royale, je devais être trop jeune quand je l'ai lu et j'ai bien envie d'y retourner voir un peu ce que ça donne Malraux quand on devient une grande personne. Sinon je me délecte (le mot est très faible) avec la prose de Carpentier (Partage des eaux).

J'ai commencé Viktor Frankl: Un Psychiatre déporté témoigne.

ocean a écrit:

sentinelle a écrit:

monilet a écrit:

ocean a écrit:

monilet a écrit:

Je lis Bord de mer de Véronique Olmi.

En lisant le résumé, j'ai pris peur....Et j'ai pris "Numéro six" du même auteur. Il est dans ma PAL de la médiathèque!!!

sûr que ce n'est pas gai , mais ça a son charme.

Bord de mer est bien plus fort que Numéro six, plus douloureux aussi, c'est un fait. Mais il en vaut la peine !

Bon, alors, je vais essayer et je vous dirai....

En plus, avec ton pseudo, t'as pas l'droit d'hésiter ! :)

Je suis toujours plongée dans La route (Les vagabonds du rail) de Jack London. Sur son expérience de hobo... J'aime mais ce n'est pas à la hauteur de Martin Eden... Plus du reportage....

monilet a écrit:

ocean a écrit:

sentinelle a écrit:

monilet a écrit:

ocean a écrit:

monilet a écrit:

Je lis Bord de mer de Véronique Olmi.

En lisant le résumé, j'ai pris peur....Et j'ai pris "Numéro six" du même auteur. Il est dans ma PAL de la médiathèque!!!

sûr que ce n'est pas gai , mais ça a son charme.

Bord de mer est bien plus fort que Numéro six, plus douloureux aussi, c'est un fait. Mais il en vaut la peine !

Bon, alors, je vais essayer et je vous dirai....

En plus, avec ton pseudo, t'as pas l'droit d'hésiter ! :)

Ah, oui, tiens!!!! Je n'avais pas fait le rapprochement.........................

shanidar a écrit:

je remarque qu'à chaque fois que le nom de Malraux surgit, animal sort les griffes, pour ma part je garde un sentiment confus de La Voie Royale, je devais être trop jeune quand je l'ai lu et j'ai bien envie d'y retourner voir un peu ce que ça donne Malraux quand on devient une grande personne. Sinon je me délecte (le mot est très faible) avec la prose de Carpentier (Partage des eaux).

Ben tant qu'à avoir un fil autant avoir des avis dessus. C'est un auteur qui revient souvent et pour diverses raisons et je trouve que les avis de lecture le concernant sont donc intéressants. A relire ou lire "plus tard" c'est assez impressionnant parce qu'en plus du personnage qui motive une bonne part des discussions on peut revenir sur l'écrivain et une époque peut-être. C'est riche et avec un vrai souci de faire du solide et de l'efficace (Les conquérants notamment). Ma relecture de La condition humaine s'est avérée très motivante.

Tempête de glace de Rick Moody (il existe aussi un très beau film né de l'adaptation de ce livre:"Ice storm" de Ang Lee)

animal a écrit:

shanidar a écrit:

je remarque qu'à chaque fois que le nom de Malraux surgit, animal sort les griffes, pour ma part je garde un sentiment confus de La Voie Royale, je devais être trop jeune quand je l'ai lu et j'ai bien envie d'y retourner voir un peu ce que ça donne Malraux quand on devient une grande personne. Sinon je me délecte (le mot est très faible) avec la prose de Carpentier (Partage des eaux).

Ben tant qu'à avoir un fil autant avoir des avis dessus. C'est un auteur qui revient souvent et pour diverses raisons et je trouve que les avis de lecture le concernant sont donc intéressants. A relire ou lire "plus tard" c'est assez impressionnant parce qu'en plus du personnage qui motive une bonne part des discussions on peut revenir sur l'écrivain et une époque peut-être. C'est riche et avec un vrai souci de faire du solide et de l'efficace (Les conquérants notamment). Ma relecture de La condition humaine s'est avérée très motivante.

attention ce n'était pas une attaque, j'apprécie même qu'on défende un auteur qu'on aime ou qui questionne ! je remarque que justement tes interventions vont sans doute me pousser à y revenir (et puis Hedi Kaddour aussi que je voudrais relire dans Waltenberg). C'est bien !

t'inquiètes je l'avais pris dans le bon sens... c'était une trop belle occaz pour en remettre une couche

Queenie a écrit:

Kierkegaard a écrit:

Revenu de la fnac je n'ai pu résister donc ce mois-ci je me relance et j'essaye de lire :
Pimp d'Iceberg Slim
Fuck America d'Hilsenrath
Les temps sauvages de Kessel
Le Caméléon de Kourkov
L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S Pivet de Larsen qui va être adapté par Jeunet au cinéma

Ça me fait tout bizarre, pour une fois qu'un Parfumé revient avec des trucs que je connais, voir que j'ai lu ! Je suis toute chose !

Ah ben tiens, pareil pour moi aussi ! (j'en connais trois de nom dont un que j'ai lu, un record !)

topocl a écrit:

Je termine Room qui , après Freedom, nous interroge sur l'usage que nous faisons de notre liberté. je retire ce que j'avais dit sur le début; Coli, pas de raison de se refuser ce plaisir.

Ah, génial, je le laisse dans ma LAL alors !

tom léo a écrit:

J'ai commencé Viktor Frankl: Un Psychiatre déporté témoigne.

Verdict ? Ca doit être intéressant...

Toujours dans Le travail fantôme d'Illich...

Bonjour bonjour...
Je termine Générosité de Richard Powers, dense et brillant -après quelques difficultés au démarrage car j'ai eu du mal à distinguer la triple intervention (celle du narrateur, celle de l'auteur prenant sa place et celle d'une caméra qui balaierait le tout). Mais j'ai la flemme d'en parler, vous l'avez déjà si bien évoqué (notamment Avadoro) >ICI.

Séance de rattrapage en VOD avec La Séparation d'Asghar Farhadi. Sublime moment d'une Iran convulsive, désorientée ou bien, au contraire, en reconstruction dans ce qui m'apparaît comme un grand potentiel pour une future pluralité culturelle qui se dit sous le voile (mais là aussi j'ai la flemme, et c'est pas gagné).

Et puis, un documentaire déconcertant signé par Alain Della Negra et Kaori Kinoshita : The Cat, the Reverend and the Slave. Celui-là est sublimement écœurant qui nous présente les cyber-fêlés sur Second Life où il s'en passe de belles...


Bonnuit à tous et à bientôt

Bien des choses à lire par les temps qui courent... Dans le cadre de mon cours d'esthétique et histoire de l'essai, je lis L'art du roman de Milan Kundera, Sans commencement et sans fin, extraits cités des Essais de Montaigne et je dois lire Une chambre à soi de Virginia Woolf pour la semaine prochaine.

J'ai bien commencé L'écrivain et l'autre de Carlos Liscano dans le métro, L'art du roman en bus et suspendu Coupable de tout de Herbert Huncke comme lecture de chevet. Je poursuis par bourrées L'écologie du réel de Pierre Nepveu, De Bartleby aux écrivains négatifs de Patrick Tillard, l'un des socles sur lesquels nous pouvons reposer la modernité littéraire, et compte bien me dépêtrer dans les nombreuses lectures de Pessoa que je me réserve au programme pour un travail de fin de session.

Je pense me mettre à présent à la lecture de Une fille occupée de Dominique Conil, qui - à ma connaissance a obtenu au moins deux prix dont le prix de l'Inédit délivré au festival de Mouans-Sartoux.