Le prix Courrier International

Le prix Courrier International est décerné chaque année, depuis 2008, pour un livre de littérature étrangère paru dans les 6 premiers mois de l'année.
Vainqueurs des années précédentes : Yu Hua (Chine), Zoyâ Pirzâd (Iran), Floriana Ilis (Roumanie).

Sélection 2011 :

D'acier de Sivia Avallone (Italie)
Little Big Bang de Benny Barbash (Israël)
La faim de Mohammed El-Bisatie (Egypte)
Le navire obscur de Sherko Fatah (Allemagne)
Je ne suis pas d'ici de Hugo Hamilton (Irlande)
La part de l'homme de Kari Hotakainen (Finlande)
Des lanternes à leurs cornes attachées de Radhika Jha (Inde)
Eloge de la haine de Khaled Khalifa (Syrie)
Taksim de Andrzej Stasiuk (Pologne)
Le polygame solitaire de Brady Udall (Etats-Unis)

J'en ai lu 3 pour l'instant : Barbash, Hotakainen et Khalifa. Et comme ils sont très bons, je vais poursuivre avec Avallone, El-Bisatie, Hamilton et plus si affinités (s'ils sont en bibliothèque, surtout).


Liste des gagnants:
le nom en vert est le lien vers le fil

2008: Yu Hua
2009: Zoyâ Pirzâd
2010: Floriana Ilis
2011: Kari Hotakainen

Liste très intéressante..

traversay a écrit:

Taksim de Andrzej Stasiuk (Pologne)

et voilà celui qui me tente...

Tous lus désormais, sauf Udall et Jha. Excellents livres, dans une veine socio-politique qui me convient parfaitement.

traversay a écrit:

Le prix Courrier International est décerné chaque année, depuis 2008, pour un livre de littérature étrangère paru dans les 6 premiers mois de l'année.
Vainqueurs des années précédentes : Yu Hua (Chine), Zoyâ Pirzâd (Iran), Floriana Ilis (Roumanie).

Sélection 2011 :

D'acier de Sivia Avallone (Italie)
Little Big Bang de Benny Barbash (Israël)
La faim de Mohammed El-Bisatie (Egypte)
Le navire obscur de Sherko Fatah (Allemagne)
Je ne suis pas d'ici de Hugo Hamilton (Irlande)
La part de l'homme de Kari Hotakainen (Finlande)
Des lanternes à leurs cornes attachées de Radhika Jha (Inde)
Eloge de la haine de Khaled Khalifa (Syrie)
Taksim de Andrzej Stasiuk (Pologne)
Le polygame solitaire de Brady Udall (Etats-Unis)

Et le gagnant est ... Kari Hotakainen.

Tu l'as lu Traversay ?

Arabella a écrit:

Tu l'as lu Traversay ?

Il l'a lu et a posté une critique, ici.

Arabella a écrit:

Tu l'as lu Traversay ?

Oui, j'ai mis quelques mots sur son fil.
Trop rapide eXPie

Merci. Et bien cela ne me tente plus trop.

Ce 29 novembre sera décerné le Prix Courrier International, du meilleur livre étranger, à l'occasion de la 5e édition de l'évènement créé en 2008 par l'hebdomadaire. Selon un communiqué de presse, le jury arrêté sa sélection à 10 finalistes.

• Le Dernier homme de la tour d'Aravind Adiga (Inde) – Buchet Chastel
• 35 morts de Sergio Alvarez (Colombie) - Fayard
• Croc attack d'Assaf Gavron (Israël) - Rivages
• L'Art du jeu de Chad Harbach (Etats-Unis) - JC Lattès
• Une cerise pour couper le jeûne de Hafez Khiyavi (Iran) - Serge Safran éditeur
• Ici comme ailleurs de Seug-U Lee (Corée du Sud) - Zulma
• Pigeon vole de Melinda Nadj Abonji (Suisse-Serbie) - Métailié
• L'Esprit de mes pères de Patricio Pron (Argentine) - Flammarion
• Quand la lumière décline de Eugen Ruge (Allemagne) - Les Escales
• Les Damnés du back-office de Pablo Sánchez (Espagne) - Actes Sud

retiré tous les messages concernant ce prix du grand fil des prix littéraires pour en faire un fil dédié à ce prix
la liste des gagnants dans le premier message avec le lien vers le fil, s'il y est sur Parfum

Je n'en connais pas un seul.

Si, je connais plusieurs des livres proposés et je trouve le choix bien hétéroclite

Le Dernier homme de la tour d'Aravind Adiga (Inde) : lu en anglais, et après avoir apprécié The White Tiger du même auteur, je ne peux pas en dire de même de cette 2e histoire.

Croc attack d'Assaf Gavron (Israël) : oui, pourquoi pas, un roman qui sait parler avec humour du problème de la vie côte à côte entre des être que les idéologies éloignent l'un de l'autre, e.g. d'Israéliens et de Palestiniens.

Pigeon vole de Melinda Nadj Abonji : lu en allemand, alors le style est très poétique pour parler d'une famille d'expatriée pour raisons politique et économique et leur essai d'enracinement dans une société différente.

Quand la lumière décline d'Eugen Ruge : prix du livre allemand en 2011 et quel beau roman autobiographique ; une réussite.

traversay a écrit:

• L'Art du jeu de Chad Harbach (Etats-Unis) - JC Lattès

ah celui-là se trouve sur ma tablette.. un livre qui parle de baseball ne peut pas m'échapper
malheureusement pas encore eu le temps de le lire... mais cela va se faire dans les semaines à venir