Idées de cadeaux pour Noël

"A l’occasion du centenaire du génocide de 1915, un photographe d’origine arménienne expose, en Turquie, des œuvres nourries de ces événements. Antoine Agoudjian, 54 ans, présente depuis mercredi 22 avril Le Cri du silence, traces d’une mémoire arménienne, à Diyarbakir, dans le sud-est de la Turquie. Une ville à majorité kurde, qui a reconnu le génocide des Arméniens, alors que l’Etat turc, lui, refuse toujours d’employer ce terme.

"Moustache et bouc poivre et sel, les cheveux tirés en arrière en un petit catogan, Antoine Agoudjian sillonne le Moyen-Orient depuis 27 ans, à la recherche d’une communauté arménienne que le génocide a failli totalement décimer il y a un siècle.

Syrie, Arménie, Turquie, ciels chargés, visages ridés, funérailles, mariages, orphelinats ou monastères, noirs et blancs puissants. « Mes grands-parents étaient rescapés du génocide arménien et le dernier visage qu’ils ont vu de la Turquie, c’est le visage des assassins. Le ressentiment, c’est un poison qui vous détruit à l’intérieur. Plutôt que de vivre sur ce ressentiment, j’ai choisi d’être dans la vie, reconstruire ce que d’autres ont détruit, avec des amis kurdes et des amis turcs », raconte le photographe.

Alors que les Kurdes avaient prêté main-forte aux génocidaires il y a 100 ans, la municipalité de Diyarbakir, dirigée par les Kurdes du Parti pour la paix et la démocratie, soutient aujourd’hui l’exposition d’Antoine Agoudjian. Rien de plus normal pour Muharrem Cebe, le directeur de la Culture de la ville : « Nous, nous avons fait face à cette page de notre histoire. Et puis nous avons vécu les mêmes persécutions, nos villages ont été détruits avec presque les mêmes procédés que lors du génocide arménien. »

The 2014 Paris Photo - Aperture Foundation PHOTOBOOK AWARDS
FIRST PHOTOBOOK SHORTLIST: Silent Histories

Photographer: Kazuma Obara

Publisher: Self-published, Kyoto, 2014

Designed by Jan Rosseel and Yumi Goto

"This tweed-covered album grants individuality and voice to six of the hundreds of thousands of Japanese people injured by U.S. bombing during the Second World War. Kazuma Obara, a young photojournalist, dove into the personal archives of these individuals, many of whom were injured during air raids as very small children; one was badly burnt as a newborn. Snapshots, class photos, and views of Japanese cities in 1945 and today, as well as Obara’s recent portraits of each person, are interspersed with pull-out replicas of government disability cards and wartime magazines. “I’m surprised that it was possible to publish this book, considering its very complicated printing,” says Mutsuko Ota. “Because it includes bureaucratic and personal pictures as well as propaganda, it shows photography’s many roles”.

Read more at http://www.parisphoto.com/paris/program/2014/the-2014-paris-photo-aperture-foundation-photobook-awards/selection-premier-livre-silent-histories#L5TyXs3FQ3eUBvS5.99"

Edition en anglais. Distribution Interart

super idée cadeau l'expo en Turquie.... c'est pour le plaisir du copier-coller à l'aveugle ou ça sous entend l'existence d'un catalogue ? chez Flammarion par exemple si on lit mais chez RFI : rfi.fr

pas convaincu que le postage industriel me donne plus envie de faire des cadeaux que la musique insupportable dans les rues à l'occasion "des fêtes".

Laisse les gens juger par eux-mêmes au lieu de tout rejeter.

Au journal de Bouvier, cette édition soignée et fidèle à l' original joint les dessins de Vernet, son "frère jumeau." Télérama

Un sacrément beau cadeau, 19, 50 E

kenavo a écrit:

est-ce qu'on ne pourrait pas retirer le 2013 dans le titre du fil?

C'est fait.

on peut aussi être en retard dans ses cadeaux, non ?

eXPie a écrit:

C'est fait.

Merci  

animal a écrit:

on peut aussi être en retard dans ses cadeaux, non ?

mais quand même, deux ans?? c'est un peu exagéré

Le faucon pèlerin - Glenway Wescott

   Glenway Wescott (Auteur), Isabelle Chapman (Traducteur)

     Support : Poche
   Editeur : Cambourakis
   Date de sortie : 03/06/2015

   "Passant de paisibles vacances dans le Val de Loire, une riche américaine et son invité, le romancier Alwyn Tower, voient leur quotidien bouleversé par l'arrivée d'un couple d'Irlandais en route pour Budapest, accompagnés de leur nouvel animal de compagnie, un superbe faucon pèlerin nommé Lucy. Objet d'adoration pour les uns, d'inspiration pour les autres, l'oiseau se révèle un profond symbole permettant à l'auteur, implacable observateur du jeu social et des dérives du couple et de l'amour, de se livrer, à la manière d'un Tchekhov, à une méditation infiniment clairvoyante et subtile sur la liberté et la captivité, la passion et la sérénité."

  L' Editeur Cambourakis.

Je ne me souviens plus si ce livre, réédité par Cambourakis, a été signalé en son temps, mais c' est à coup sur, un écrivain très prisé
aux Etats Unis et Susan Sontag écrit "qu' à ses yeux ce roman appartient aux trésors de la littérature américaine." B

J' ajoute que Wescott , 1901-1987, a peu écrit. Il a cotoyé Hemingway, Fitzgerald, G. Stein et K. A. Porter à Paris.
Le Faucon pèlerin est  aussi disponible en 10/18 dans la meme traduction d' Isabelle Chapman.

avez-vous déjà réfléchi à vos cadeaux de noël ?
Cette année, je n'achète rien, je les fais tous à la main :)

Ceux qu'on offre ?

Qu'est-ce que tu vas "faire à la main" alors ?
Moi je ne m'y risquerai pas, ce serait une catastrophe.

J'ai un trio gagnant : livres, films ou disques. Je me fais aussi un peu plaisir, j'avoue ...

Ceux qu'on offre pour les autres et pour soi-même ^^
Il m'est difficile d'acheter des livres car les lecteurs autour de moi ont tellement de bouquins papiers ou sur la tablette que je risque de faire un doublon.

Du coup, je tricote tous mes cadeaux de Noël. En général, ça plait bien car cela fait un cadeau unique ^^.
- ça sera une belle paire de chaussettes pour mon père
- J'ai une amie dont le surnom est "rayon de soleil", dont je vais lui faire un petit soleil de poche et je lui ferais également un châle car elle adore ça.

Certains diront peut-être que ça fait kitch, un peu vieux mais moi j'adore ^^

Oh non au contraire, c'est des supers cadeaux je trouve. C'est aussi personnel qu'un livre bien choisi. Et j'avoue que je m'attache beaucoup à ce genre de cadeau.