| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
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| Muriel Barbery | |
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Auteur | Message |
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swallow Sage de la littérature
Messages : 1366 Inscription le : 06/02/2007 Localisation : Tolède. Espagne.
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 10:53 | |
| Coline a dit " - Citation :
- Qui se passera encore de lire ce roman délicieux?....
Et bien moi. J´ai trop peur que ce soit à la sauce Gavalda qui m´est completement indigeste. Mais je vous lis, les "pros" et les contres" ( pour l´instant juste Grain de Sel). Bon, je vais lire aussi la critique du Nouvel Obs dont Marie a eu la très bonne idée de nous indiquer le lien. Je croyais que ce serait du gentillet et de la philosophie de Prisunic. Vous allez peut-être me décider... Mais je suis coriace. | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 11:44 | |
| - swallow a écrit:
Et bien moi. J´ai trop peur que ce soit à la sauce Gavalda qui m´est completement indigeste. (...) Je croyais que ce serait du gentillet et de la philosophie de Prisunic. Vous allez peut-être me décider... Mais je suis coriace. Ah non, Swallow, je ne peux laisser passer celà!! Je n'ai pas senti le moindre soupçon de sauce Gavalda ou alors elle était fortement épicée. Quant à la philosophie de Prisunic, oui si toutes les usagers de caddies ou caisses enregistreuses sortaient de chez Pivot dans le même temps ...(peut-être même de la loge de madame Renée) Ecoute nous et cours vite te le procurer...Tu ne peux rester sur un tel préjugé, non!... | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 11:54 | |
| - grain de sel a écrit:
- L'élégance du hérisson | Muriel Barbery]
Bon !! je ne suis vraiment pas emballée par ce livre.
Pour moi ça "sonne" faux cette histoire je n'y crois pas un seul instant, donc il n'y a pas pu y avoir rencontre entre les personnages et moi !! En fait, la concierge et la petite fille m'ont franchement déplu je les trouve aussi pédantes que les personnes autour d'elles, qu'elles critiquent et dénigrent, justement parce que j'ai le sentiment que c'est de l'ordre d'un jugement.......un jugement emprunt de fausse modestie qui fait que la rencontre avec l'autre ne sera pas possible de toute façon !! Quant à Grain de sel, c'est carrément la salière complète qu'elle nous verse,lol! Serais-tu un tantinet provoc'? Non, en fait je comprends un peu ce que tu ressens. Pour ma part, je n'ai pas cherché à rentrer dans ces personnages, n'y voyant que des acteurs sortis tout droit d'un conte moral et philosophique , surtout là pour nous aider à ouvrir des portes, nous faire poser les bonnes questions, voir les choses autrement , plus loin que celles que l'on croit voir afin de ,là, entrevoir" l'autre", aller à sa rencontre... | |
| | | grain de sel Envolée postale
Messages : 122 Inscription le : 01/03/2007 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 12:02 | |
| Serais-tu un tantinet provoc'? très franchement je ne cherche pas à provoquer quand je poste une note de lecture ou un avis sur mes lectures !! je dis pas que sur d'autres sujet il m'arrive d'être ou de répondre à la provoc ......n'est-ce pas MR l'admin C'est très sincèrement que je redis que la lecture de ce livre ne m'a pas plu du tout !! Mais parfois on lit des livres à des moments où nous sommes dans un état d'esprit tel que cette lecture là justement ne nous convient pas !! Pensez vous comme moi qu'il y a des moments pour apprécier certains livres ???? | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 12:12 | |
| - grain de sel a écrit:
C'est très sincèrement que je redis que la lecture de ce livre ne m'a pas plu du tout !! Mais parfois on lit des livres à des moments où nous sommes dans un état d'esprit tel que cette lecture là justement ne nous convient pas !!
Pensez vous comme moi qu'il y a des moments pour apprécier certains livres ???? Mais bien sûr! Je plaisante moi-même lorsque je te dis celà, Grain de sel! Perso, j'aime bien tomber sur quelqu'un qui n'a pas le même avis que moi sinon celà risquerait d'être bien terne !:) Je te devine sincère et je suis assez ouverte pour admettre des points de discordance, dieu merci! Donc ,pour répondre à ta question: oui, tout à fait, on peut être plus ou moins disponible pour aborder un livre et ne pas forcément voir le même sens que celui perçu par les autres... J'espère que l'on se sera comprises! A plus..... | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 20:53 | |
| Je comprends, Grain de sel, que cette rencontre puisse "sonner faux", si tu ne t'attaches qu'à l'histoire des personnages et non à ce qu'ils traduisent de tout ce que l'auteur a à dire! Encore que comme Chatperlipopette, je veux croire que même cela,je veux dire ce genre de rencontre, peut encore exister. - Citation :
- Et bien moi. J´ai trop peur que ce soit à la sauce Gavalda qui m´est completement indigeste
Non......Gavalda, c'est gentillet et plein de bons sentiments. Là, c'est souvent très drôle, quelquefois féroce, et l'histoire même n'est qu'un prétexte. | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Muriel Barbery Mer 4 Juil 2007 - 23:37 | |
| Nous savons en effet qu'il y a "le bon moment" pour pénétrer un livre, un auteur, et qu'il est inutile de se forcer. A vrai dire je suis assez contente qu'il y ait des détracteurs du Hérisson : ça créé, chez ses adeptes, une sorte d'intimité sinon un cercle fermé; et ça n'est pas pour me déplaire... Tout ce tapage suite au Prix des Libraires m'agaçait un peu. D'autant que, comme il est précisé plus haut, une fois n'est pas coutume : ce sont les lecteurs qui ont fait leur choix, pas les médias. - Avec le recul je dirais qu'il y avait de la mièvrerie chez Gavalda, en effet. Mais notre hérisson ne tombe jamais dans la bleuette : il me semble au contraire que l'écriture soignée et pleine d'humour s'est mise au service d'une peinture sociale très exacte : amalgame entre la culture et ses plaisirs avec le milieu social (le "rang", le métier), les préjugés, la solitude, le désespoir de certains ados, un certain désespoir familial aussi dans la froideur des non-dits ou du faire-semblant. Fausses certitudes des parents aisés mais dérangés, le manque d'affection, les relations superficielles de voisinage. - Un seul bémol : l'arrivée-surprise du nouveau voisin qui tranche avec le reste et qui par magie lève le voile sur la véritable personnalité de l'adolescente suicidaire et de madame Michel (trop facile?). -je crois bien que certains lecteurs du Hérisson vont être amenés à vouloir découvrir les films d'Ozu qu'ils ne connaissaient pas : et alors? Et puis, c'est vrai, j'ai zappé quelques pages du journal intime...
J'aime assez ce que dit Aerial : "Pour ma part, je n'ai pas cherché à rentrer dans ces personnages". Je fais souvent cette expérience aussi à travers les livres qui comptent pour moi. Le personnage est un prétexte, l'histoire aussi. Je suis sensible à tout ce qui tourne autour. Et je ne comprends pas toujours que les lecteurs se focalisent sur une histoire. C'est peut-être pour ça que, quand je parle d'un livre que j'ai aimé, j'oublie d'en faire le résumé... Certaines lectures, on n'a jamais fini d'en faire le tour
- Grain de sel émet quelque réserve sur la rencontre entre l'adolescente et la concierge? Je trouve au contraire que beaucoup de gens ont envie de sortir de leur milieu cloisonné pour se confier à quelqu'un de différent. Ils se laissent aller plus facilement. ça arrive plus souvent qu'on ne pense. - Enfin, ce qu'Amélie Poulin fut au cinéma, ce n'est pas Gavalda qui le fut au roman, mais bien Muriel Barbery ! > Une expression un peu nouvelle, des références culturelles non prétentieuses mais où chacun rattrape un peu de ses goûts (la lecture, le thé, le cinéma...), une bouffée d'air qui ne se refuse pas.[b] | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 1:43 | |
| un extrait pour quand même montrer à Swallow la différence avec Anna Gavalda......
Ainsi, comment se passe la vie? Nous nous efforçons, bravement, jour après jour, de tenir notre rôle dans cette comédie fantôme. En primates que nous sommes, l'essentiel de notre activité consiste à maintenir et entretenir notre territoire de telle sorte qu'il nous protège et nous flatte, à grimper ou ne pas descendre dans l'échelle hiérarchique de la tribu et à forniquer de toutes les manières que nous pouvons-fût ce en fantasme- tant pour le plaisir que pour la descendance promise. Ainsi usons nous une part non négligeable de notre énergie à intimider ou séduire, ces deux stratégies assurant à elles seules la quête territoriale, hiérarchique et sexuelle qui anime notre conatus. Mais rien de cela ne vient à nôtre conscience. Nous parlons d'amour, de bien et de mal, de philosophie et de civilisation et nous nous accrochons à ces icônes respectables comme la tique assoiffée à son gros chien tout chaud.
Parfois cependant la vie nous apparait comme une comédie fantôme. Comme tirés d'un rêve, nous nous regardons agir et, glacés de constater la dépense vitale que requiert la maintenance de nos réquisits primitifs, nous demandons avec ahurissement ce qu'il en est de l'Art. Notre frénésie de grimaces et d'oeillades nous semble soudain le comble de l'insignifiance, notre petit nid douillet, fruit d'un endettement de vingt ans, une vaine coutume barbare, et notre position dans l'échelle sociale, si durement acquise et si éternellement précaire, d'une fruste vanité. Quant à notre descendance, nous la contemplons d'un oeil neuf et horrifié parce que, sans les habits de l'altruisme, l'acte de se reproduire paraît profondément déplacé. Ne restent que les plaisirs sexuels; mais, entraînés dans le fleuve de la misère primale, ils vacillent à l'avenant, la gymnastique sans amour n'entrant pas dans le cadre de nos leçons bien apprises.
L'éternité nous échappe. Ces jours-là, où chavirent sur l'autel de notre nature profonde toutes les croyances romantiques, politiques, intellectuelles, métaphysiques et morales que des années d'instruction et d'éducation ont tenté d'imprimer en nous, la société, champ territorial traversé de grandes ondes hiérarchiques, s'enfonce dans le néant du Sens. Exit les riches et les pauvres, les penseurs, les chercheurs, les décideurs et les esclaves, les gentils et les méchants, les créatifs et les consciencieux, les syndicalistes et les individualistes, les progressistes et les conservateurs; ce ne sont plus qu'hominiens primitifs dont grimaces et sourires, démarches et parures, langage et codes, inscrits sur la carte génétique du primate moyen, ne signifient que cela: tenir son rang ou mourir.
Ces jours-là, vous avez désespérément besoin d'Art. Vous aspirez ardemment à renouer avec votre illusion spirituelle, vous souhaitez passionnément que quelque chose vous sauve des destins biologiques pour que toute poésie et toute grandeur ne soient pas évincées de ce monde.
Alors vous buvez une tasse de thé ou bien vous regardez un film d'Ozu ,pour vous retirer de la ronde des jouteset des batailles qui sont les us réservés de notre espèce dominatrice et donner à ce théâtre pathétique la marque de l'Art et de ses oeuvres majeures. | |
| | | sousmarin Zen littéraire
Messages : 3021 Inscription le : 31/01/2007 Localisation : Sarthe
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 2:29 | |
| Vision bien pessimiste de la nature humaine, non déniée de verve, mais qui oublie les raisons qui font sourire notre esprit primitif quand il voit un papillon se poser sur sa forte main, déclenchant alors un léger souffle suscitant l’envol…l’art ne crée rien, il ne fait que stimuler…
Quel est le personnage qui parle dans ton extrait, Marie ? | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 4:21 | |
| C'est Renée, la concierge. Mais son parcours n'a aucune raison de la rendre plus optimiste, à ce stade du roman. Et Paloma n'a pas une vision plus positive de la nature humaine., au début. D'ailleurs, elle veut se suicider! Ce n'est que la rencontre, et l'arrivée d'un troisième personnage-pas du tout crédible, c'est évident, mais cela a peu d'importance, c'est un conte- qui vont changer leur façon de voir la vie.
Ton histoire de papillon me fait recopier un petit extrait du chapitre suivant.
Donc Madame René regarde le film d'Ozu, Les soeurs Munakata. En buvant du thé au jasmin. Et en revenant en arrière dans son visionnement " grâce à ce rosaire laïque qu'on appelle télécommande."
...Dans le film, il est question d'amour déçu, de mariages arrangés, de filiation, de fratrie, de la mort du père, de l'ancien et du nouveau Japon et aussi de l'alcool et de la violence des hommes. Mais il est surtout question de quelque chose qui nous échappe, à nous autres Occidentaux, et que seule la culture japonaise éclaire. Pourquoi ces deux scènes brèves et sans explication, que rien dans l'intrigue ne motivent, suscitent-elles une si puissante émotion et tiennent elles tout le film dans leurs parenthèses ineffables? Et voici la clé du film.
SETSUKO La vraie nouveauté, c'est ce qui ne vieillit pas, malgré le temps.
Le camélia sur la mousse du temple, le violet des monts de Kyoto, une tasse de porcelaine bleue, cette éclosion de la beauté pure au coeur des passions éphémères, n'est ce pas ce à quoi nous aspirons tous? Et ce que nous autres, Civilisations de l'Ouest , ne savons atteindre?
La contemplation de l'éternité dans le mouvement même de la vie.
Je rajoute donc à l'énumération de Muriel Barbery le papillon qui se pose sur une main , puis s'envole...... | |
| | | Chatperlipopette Zen littéraire
Messages : 7679 Inscription le : 24/02/2007 Age : 59 Localisation : Bretagne
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 8:59 | |
| Très très beaux passages Marie.... Je crois que je vais demander à ma mère de me prêter à vie (?!!!!) son exemplaire de "L'élégance du hérisson" histoire que je relise de temps à autre des morceaux choisis au hasard (qui fait très souvent bien les choses)! | |
| | | Chatperlipopette Zen littéraire
Messages : 7679 Inscription le : 24/02/2007 Age : 59 Localisation : Bretagne
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 9:09 | |
| En lisant les interventions de Babelle, Marie, je me dis que c'est le côté conte qui a fait le succès, inattendu, du hérisson: ouvrir sa porte à l'autre et chercher à échapper à son quotidien dans le partage d'une tasse de thé et de subtiles pâtisseries. C'est ce dont on a besoin parfois pour supporter la chappe de plomb que l'on nous impose. Et surtout, ce qui me gêne un peu mais qui est hélas la réalité: se cacher pour être tranquille surtout quand les loisirs sortent de l'ordinaire. La stimatisation du autrement est difficile à supporter donc....un léger voile, l'opacité permettrait de continuer son petit bonhomme de chemin, ou alors, la cécité d'autrui due à l'égoïsme et l'égocentrisme de tout un chacun? | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 9:26 | |
| Je pense aussi, Chatperlipopette, que le succès commercial vient du contexte! C'est une jolie histoire, et tout le monde aime les jolies histoires. Je crois que beaucoup ( enfin, j'en connais beaucoup autour de moi...) ont shunté tous les écrits beaucoup moins faciles à lire de Renée et Paloma! - Citation :
- se cacher pour être tranquille surtout quand les loisirs sortent de l'ordinaire
: on le fait tous, et quelque soit le milieu dans lequel on évolue! Mais, heureusement, ce sont des échanges comme ceux dans ce forum, par exemple, qui permettent finalement de se sentir moins seuls, tu ne trouves pas? | |
| | | sousmarin Zen littéraire
Messages : 3021 Inscription le : 31/01/2007 Localisation : Sarthe
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 12:14 | |
| Le problème est que des comportements individuels cohérents peuvent se révéler catastrophiques collectivement…parfois même ils entretiennent et développent la raison de leurs survenances…une société favorise collectivement, consciemment ou non, certaines de nos qualités, qualités qui ont tendance à étouffer les autres…sans parler de nos besoins primaires ou crées…
L’éternité est bien loin quand on a faim, encore plus loin pour ceux qui s’achètent un gros 4X4 pour rouler à Paris…que font-ils du papillon ? Ils le mangent, le vendent ou l’écrasent ? La différence est que celui qui a faim n’a pas le choix, l’autre oui…René semble nous dire que l’art, extrapolation de l’éternité, doit changer notre regard…mais peut-il plus encore, peut être le faut-il d’ailleurs…une grande dichotomie entre vie intérieure et environnement, surtout humain, étant terriblement destructrice… | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Muriel Barbery Jeu 5 Juil 2007 - 21:16 | |
| - Citation :
- une grande dichotomie entre vie intérieure et environnement, surtout humain, étant terriblement destructrice
Destructrice pour qui? | |
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| Sujet: Re: Muriel Barbery | |
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| | | | Muriel Barbery | |
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