Lecture en commun - Richard Russo : Le pont des soupirs

Chatperlipopette a écrit:

(la traduction semble très bonne)

J'ai lu en français Un homme presque parfait et j'avais trouvé la traduction excellente aussi. Tant mieux donc.

kenavo a écrit:

Chatperlipopette a écrit:

Diantre vous lisez vite!!!

je vais t'attendre et lire quelques pages du nouveau Paul Auster entretemps

On dit merci Chappy pour Auster
(comme si tu avais eu besoin d'un prétexte )

Epi a écrit:

kenavo a écrit:

Chatperlipopette a écrit:

Diantre vous lisez vite!!!

je vais t'attendre et lire quelques pages du nouveau Paul Auster entretemps

On dit merci Chappy pour Auster

Quoi un nouvel Auster et je ne l'ai pas encore

Chatperlipopette a écrit:

Quoi un nouvel Auster et je ne l'ai pas encore

Ah mais c'est qu'il va faire de l'ombre à mon petit Russo ce diable d'Auster

Epi a écrit:

(comme si tu avais eu besoin d'un prétexte )

mais je lis de toute façon encore un autre à côté (auteur allemand, sorti en France pour lequel je voulais vous ouvrir un fil).. je ne peux pas lire qu'un livre.. comment vous faites

Chatperlipopette a écrit:

Quoi un nouvel Auster et je ne l'ai pas encore

sortie en anglais.. français va se faire attendre tu as le temps

Epi a écrit:

Ah mais c'est qu'il va faire de l'ombre à mon petit Russo ce diable d'Auster

ok, on parle ici du livre de Russo, Richard Russo

kenavo a écrit:

Epi a écrit:

Ah mais c'est qu'il va faire de l'ombre à mon petit Russo ce diable d'Auster

ok, on parle ici du livre de Russo, Richard Russo

Mais en vrai, ça ne me dérange pas, je l'aime bien aussi ce cher Paul

Epi a écrit:

Mais en vrai, ça ne me dérange pas, je l'aime bien aussi ce cher Paul

je sais..
mais comme on nous a dit qu'on était pas sérieux et en train de flooder sur tous le fils.. parfois il faut être raisonable

Spoiler:

kenavo a écrit:

Epi a écrit:

Mais en vrai, ça ne me dérange pas, je l'aime bien aussi ce cher Paul

je sais..
mais comme on nous a dit qu'on était pas sérieux et en train de flooder sur tous le fils.. parfois il faut être raisonable

"on" est rabat-joie
(coucou "on", ça va ?)

Epi a écrit:

"on" est rabat-joie
(coucou "on", ça va ?)

Je ne sais pas vous , mais moi j'avance et hop , 300 pages déja
Ma bonne impression se confirme , on est au plus près des personnages , roman intimiste , ça me va très bien .

Ah l'épicerie Ikey , je la vois d'ici , aucun mal à imaginer cette bourgade moyenne aux environs de New-York avec ses quartiers prédestinés , sa tannerie qui pollue tout , ses petits commerces plombés par l'arrivée des Woolworth and co , et pourtant on n'est qu'au milieu du 20ème siècle.

Ecriture très fluide , vraiment agréable , l'auteur ne cherche pas à épater par des effets de style , c'est terriblement humain et ça me convient parfaitement.

Comme Epi, j'aime moins les chapitres vénitiens que ceux relatant les souvenirs d'enfance du narrateur. Mais c'est un vrai bonheur à lire ce roman!!!

darkanny a écrit:

Je ne sais pas vous , mais moi j'avance et hop , 300 pages déja

contente que tu aimes..
et tu lis à ton rythme.. pas besoin de te retenir si le plaisir y est

Chatperlipopette a écrit:

j'aime moins les chapitres vénitiens que ceux relatant les souvenirs d'enfance du narrateur.

en effet, ces chapitres sont d'un autre ton, plus court, pas aussi riche en couleurs.. mais j'attends de voir aboutir le jeune Louis avec les personnages à Venise


The route men
Voilà un chapitre de changements – d’abord Louis va déménager avec ses parents vers un quartier de la ville qui est mieux situé.. en plus ils vont retrouver leurs anciens voisins, la famille Marconi.
On apprend plus sur la relation des parents de Louis, la mère qui pense que leur mari est en quelque sorte « a puppy that chewed shoes » ne peut pas être considérée comme une relation équilibrée.
Très touchant aussi cet amour du père pour son fils.
Moments extra avec lui et Louis en train de "surfer" avec son copain Bobby Marconi dans le fond de son wagon de lait.
Le chapitre se termine sur le nouveau déménagement des Marconi et la perte de Louis de son ami.

A shot to the heart
Très court chapitre qui montre un Noonan adultère qui est surpris par le mari en cause..

On va voir où tout cela va nous mener

darkanny a écrit:

Je ne sais pas vous , mais moi j'avance et hop , 300 pages déja
Ma bonne impression se confirme , on est au plus près des personnages , roman intimiste , ça me va très bien .

Déjà ? A mon grand désespoir, je n'ai pas pu lire une seule ligne aujourd'hui, je suis un peu dégoûtée parce que j'ai super envie de continuer.

darkanny a écrit:

Ecriture très fluide , vraiment agréable , l'auteur ne cherche pas à épater par des effets de style , c'est terriblement humain et ça me convient parfaitement.

Oui, humain, c'est vraiment le mot. Et je suis très contente que tu aimes.

Chatperlipopette a écrit:

Comme Epi, j'aime moins les chapitres vénitiens que ceux relatant les souvenirs d'enfance du narrateur. Mais c'est un vrai bonheur à lire ce roman!!!

Non, non, moi j'ai bien aimé le chapitre vénitien, c'est Dom qui a moins apprécié

Puisque je n'ai pas avancé, rien à dire ce soir sauf
Ce que vous dites de la suite me donne encore plus envie, et demain, je lui consacre mon après-midi, je l'ai bien mérité

Epi a écrit:

Ce que vous dites de la suite me donne encore plus envie, et demain, je lui consacre mon après-midi, je l'ai bien mérité

tu vas adorer

Richard Russo a dû vous entendre – les deux chapitres suivants ne vont pas faire escale à Venise

Ikey’s
Ce chapitre commence avec un court retour vers le temps actuel, Louis, en train d’écrire ses mémoires d’enfance, reçoit la visite de son fils. Petit exploit vers lui et sa femme.. pour repartir vers les années où son père va perdre son emploi et acheter une petite épicerie – Ikey’s.

darkanny a écrit:

Ah l'épicerie Ikey , je la vois d'ici , aucun mal à imaginer cette bourgade moyenne aux environs de New-York avec ses quartiers prédestinés , sa tannerie qui pollue tout , ses petits commerces plombés par l'arrivée des Woolworth and co , et pourtant on n'est qu'au milieu du 20ème siècle.

Tout à fait – on s’y croyait. On est vraiment bien mit dans l’atmosphère – aussi bien en ce qui concerne le côté personnel avec la famille autour de Louis, que la description de cette ville – surtout dans le chapitre

Division Street
où il va changer d’école. Sortir de l'école catholique pour aller dans une école publique. Mais l’espoir de revoir son ami Bobby tombe à l’eau – il a été envoyé à une école en dehors de la ville.
Mais belle description des différents quartiers de la ville – et comme les gens qui y vivent, prennent la ‘couleur’ de leurs quartiers respectifs.