Dennis Hopper

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Dennis Hopper : acteur, réalisateur et photographe

wikipedia a écrit:

Né à Dodge City, Kansas, É.-U., Hopper fut élu le plus apte à réussir par les élèves de sa classe à l'université, et c'est là qu'il développa un intérêt dans le théâtre. Il était particulièrement intéressé par les pièces de William Shakespeare. Hopper fit ses début d'acteur dans un épisode de Medic (de James Dean) en 1955, dans lequel il jouait un jeune épileptique. Hopper joua ensuite deux rôles avec James Dean, qu'il admirait immensément, La Fureur de vivre (Rebel Without A Cause) (1955) et Géant (Giant) (sorti en 1956).

La mort de Dean dans un accident de voiture en 1955 affecta le jeune Hopper profondément, et ce fut peu de temps après cela qu'il entra en conflit avec le réalisateur expérimenté Henry Hathaway sur le film From Hell To Texas.

Hopper partit à New York et étudia à la fameuse Lee Strasberg Acting School. Il apparut dans plus de 140 épisodes de séries télé comme Bonanza, La Quatrième Dimension (The Twilight Zone), The Defenders, The Big Balley, The Time Tunnel et Combat !.

Hopper est également un photographe reconnu qui a exposé plus d'une vingtaine de fois depuis les années 90, notamment à la galerie de Monika Mohr à Hamburg et à la ACE Gallery à Los Angeles.

Il était aussi reconnu comme un peintre et un poète.

Bien que Hopper fut capable de faire des films comme Les quatre fils de Katie Elder (The Sons Of Katie Elder) et Cent dollars pour un shérif (True Grit), dans lesquels il a des scènes avec John Wayne, ce ne fut que lorsqu'il joua avec Peter Fonda et réalisa Easy Rider qu'il impressionna l'establishment hollywoodien.

Hopper écrivit et réalisa d'autres films comme The Last Movie en 1971. Mais ce dernier fut un échec auprès du public et fit dérailler sa carrière pour des années. Hopper était alcoolique et drogué, et à ce point de sa vie, sa dépendance devint plus importante. Toujours est-il qu'il continua à tourner des films à cette époque, comme Mad Dog Morgan, Tracks, The American Friend, Apocalypse Now, et il obtint un grand succès pour la réalisation et son rôle dans Out Of The Blue.

Au début des années 1980, Hopper entreprit un programme de désintoxication et se cura de ses dépendances. Il tourna certains films puissants comme Rusty James (Rumble Fish) et The Osterman Weekend, toutefois sa carrière ne redémarra que lorsqu'il interpréta le sadique Frank Booth dans Blue Velvet de David Lynch.

En 1988 il tourna un film apprécié de la critique sur les gangs de Los Angeles, le fameux Colors. Il continue d'être une personnalité importante à Hollywood, tant comme acteur que comme photographe et réalisateur.

Citation :

Filmographie/Index (Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages)

(commentaire sur sa vie, sur l’exposition : Pages 1, 2

1969 : Easy Rider Page 2
1971 : The Last Movie
1980 : Garçonne (Out of the Blue) Pages 1, 2
1988 : Colors
1990 : Une trop belle cible (Catchfire)
1990 : Hot Spot
1994 : Chasers
2000 : Homeless (court métrage)

Citation :

mise à jour le 09/03/2013 à la page 3

voili, voiça...

c'est un personnage et une carrière un peu différente de ce qu'on ce dit qu'elle aurait pu être non ? pourquoi pas une carrière à la De Niro ou Al Pacino ... non une carrière avec ses grands films, ses plus petits, ses nombreux films pour meubler les étalages de videoclubs... alimentaires et bonnes ou très bonnes surprises un peu à la marge, c'est un peu comme si il tapait grassement à côté de l'auteur pour nous laisser quelques images à part avec une sensibilité affranchie. Là je parle surtout de ce que j'ai vu de ses réalisations : en dehors de l'évident (mais vraiment génial Easy Rider) je me permets de vous recommander vivement Out Of The Blue, ou Colors... pourquoi le film de gang/police serait il bête (surtout avec un casting pareil (Sean Penn, Robert Duvall, Maria Conchita Alonso...) ou Une Trop Belle Cible qui rend plus que justice à son actrice (Jodie Foster)... Hot Spot aussi ça se regarde avec plaisir.

Plus, plus tard... sur l'acteur au premier plan ou au second et ses films à lui, encore...

ah. bon sang. que de fils qui mériteraient qu'on y revienne plus longuement (et sans attendre des mois !).

en dessous de tout le panda.

Un peu de hasard m'a fait tombé sur une présentable bande annonce de Out of the blue . vous prenez cette bande annonce, vous choisissez plus sombre, vous enlevez les petits commentaires emballés et vous envisagé un film qui râpe lentement les entrailles... vous ne serez pas loin.

bande annonce

Un allumé Dennis Hopper...Camé, alcolo. Beaucoup de dérapages et de silences dans sa carrière d'acteur et de metteur en scène...

Dommage pour lui et pour nous aussi. Restent Easy rider et 1 ou 2 films.

L'ami américain de Wenders aussi où il impose sa présence.

je me souviens d'un documentaire qui lui était consacré et des bonus présent sur le dvd de easy rider... effectivement allumé.

beaucoup de trucs assez affolants dans sa carrière, et sur les étagères des videoclubs...

enfin, généralement retrouvé avec plaisir comme acteur (même si il se contente de faire son personnage de méchant de service). Et comme réalisateur... j'ai un faible pour les films que j'ai cité en ouvrant le film, aussi bancal que soit le résultat son film avec Jodie Foster a quelque chose de bien.

aller, pour ne pas oublier : Bande annonce de Colors

le "film de gangs" au casting et personnages en béton (duo Sean Penn - Robert Duvall... et Maria Conchita Alonso) qui n'oublie pas son réalisme froid et désespérant.

Out of the blue ..............................................

1980 | 94 min
Réalisation
Dennis Hopper

Interprétation
Linda Manz, Dennis Hopper, Sharon Farrell, Raymond Burr.

Synopsis

Citation :

A la suite de son emprisonnement de cinq années pour avoir causé une collision avec un ramassage scolaire, un ancien père alcoolique tente de renouer le contact avec sa femme, devenue toxicomane, et sa fille, véritable garçon manqué...

J'ai adoré la musique qui apporte une dimension supplémentaire à ce film.
Une histoire dure, âpre, qui râpe lentement mais surement tout en dedans comme dit si bien Animal ...

A la limite du glauque mais sans l'atteindre, juste pour nous dire qu'il existe et que plus loin il n'y a pas beaucoup d'issue.
Le reste est dans les regards de Cindy, incrédules, obstinés, revanchards. D'une tristesse noyée dans la colère, et qui percute plein fouet.
Une jeune comédienne impressionnante, aux attitudes incroyables de garçon manqué qui marche et fume à la Elvis, mais s'endort comme une enfant en suçant son pouce. Terriblement touchante.

La mère a toujours le regard embué, elle parait dépassée, plongée dans un désespoir sans fin, et forcément hystéro.
Quant au Dennis Hopper, il est égal à sa renommée, violent, excessif, révolté. (d'autant que c'était sa période défonse et qu'il n'a pas trop dû se forcer!)

Mais surtout cette musique (de Neil Young) qui semble être là pour traduire en son ce qui ne se dit pas en mots, cette désespérance mélancolique que chacun d'eux refoule et noie dans la drogue ou l'alcool, et qui est tout simplement magnifique! Des images collées à jamais sur elle ...


Merci à Animal pour cette découverte qui mériterait surement d'être vue en VO soustitrée français (pour moi en espagol, donc moins évident ) si l'on veut s'immerger complètement dans cette atmosphère out of the blue.
(Superbe titre. Encore une idée saugrenue que de traduire par Garconne en francais!! )

Allez... une petite louche, ça ne se refuse pas
Out of the blue

Huhu, très content que ça t'ai plu

(après avoir jeté un oeil sur le web, il doit y avoir deux éditions dvd : une crappy avec sous-titres dont les sous-titres français" dispo en z1 et en z2 UK et une version bien (anchor bay) mais sans sous-titres)

Dennis Hopper vivant devant mes yeux hallucinés à la télé, chez Taddéi...

Je m'explique : Je croyais -j'étais meme sur- que Dennis Hopper était
mort. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Bon enfin, il est bien vivant... Tant mieux. Sutout pour lui !

Nom,Hopper,prénom,Dennis, ou comment être in,off,et out

A suivre Dennis Hopper à la Cinémathèque

Hopper c'est ça.



Hopper c'est ça aussi.



Cet homme dont a fait un peu vite un symbole de cette fameuse contre-culture sur laquelle je reviendrai longuement,cet homme se voit maintenant quasiment canonisé à l'occasion de cet hommage très sérieux à la Cinémathèque.O tempora o moris!Dennis Hopper est-il un tel monument?A propos de monument il est l'auteur de L'homme de La Salsa,gigantesque statue de fer et de plastique qui trône sur la place devant le vénérable temple du Septième.Dans le jardin de votre voisin vous trouvez ça kitschisssime voire mochissime.Ici c'est différent,on fait dans le pop-art.Je plaisantais, mais Hopper n'a fait que ça toute sa vie,plaisanter.Je n'ai pas vu par contre la moto d' Easy Rider car elle n'est restée qu'une semaine.

Bien avant Easy rider Hopper a joué non pas des seconds rôles mais des cinq ou sixièmes rôles et a fréquenté James Dean,apparaissant dans Géant,La fureur de vivre et jouant avec Lancaster, Douglas, Newman,Eastwood.Déjà ingérable semble-t-il.Des extraits de films bien oubliables et différents souvenirs tenant plus de l'anecdote(contrats,invitations) parsèment la première partie de la scénographie.Marrant pour les cinéphiles invétérés,sans intérêt véritable.Mais en fait Hopper s'il a voulu en quelque sorte dynamiter Hollywood s'en est assez bien accomodé.Les cinq étapes de l'expo ne sont d'ailleurs qu'un hommage/cauchemar à Hollywood:Aux marges d'Hollywood, Quitter Hollywood,Les nouveaux mythes de Hollywood,Los Angeles le nouveau visage de Hollywood,Exploser Hollywood.On voit ainsi l'omniprésence de la mecque du cinéma,qui fait que même à côté ou en dehors on est dedans.Suis-je assez clair?

On revient longtemps sur Easy rider bien sûr.Que dire d' Easy rider qui n'ait déjà été dit et redit? J'ai vu ce film,j'avais dix-huit ans. Steppenwolf et les Byrds ont changé ma vie,avec beaucoup d'autres.Billy et Captain America aussi.Cette ode à la liberté et au non-conformisme a hélas,et c'était inévitable,secrété très vite un néo-conformisme qui s'est avéré tout aussi bêlant que celui des bien-pensants.Quand on est des centaines de milliers à se vouloir différents ce sont les autres,cravatés,qui finiraient par être marginaux.

Et puis il y a les tableaux de Hopper,Dennis,pas Edward, dommage. Et surtout les tableaux des amis de Hopper,qui ont nom Basquiat, Rauschenberg,Lichtenstein,Warhol,Schnabel,Ruscha.La poésie,réelle,y est urbaine,violente,colorée et rugueuse.Tout cela est loin d'être dénué de charme.Certains m'ont amusé et je me suis imaginé un court instant magnat ou mécène,ou propriétaire de vastes lofts où exposer ces toiles pour le moins encombrantes dans leur agressivité sympathique.Dans cet univers hétéroclite chacun y trouve son compte plus ou moins,sans pouvoir cependant être tout à fait sûr de la limite entre l'art et l'arnaque mais on peut en dire autant de tant de mouvements artistiques ou littéraires.Qui sommes-nous pour vraiment être juges?

Dennis Hopper a réussi à devenir une image,plus sage qu'il n'y paraît et surtout un modèle de roublardise,que l'on aime bien.Assez tordu pour le monde de Lynch,assez cinglé pour l'aventure apocalyptique du bien nommé Apocalypse now,assez finaud pour avoir senti parmi les premiers les spasmes des quartiers de L.A. où il habite,mais dans une sublime demeure,Hopper mêle les relents de Kerouac,la foile de Fante,les délires de Brett Easton Ellis.C'est vrai qu'on a connu des acquaintances moins toniques.Est-ce assez pour parler de touche à tout de génie?Touche à tout certes.Pour le génie c'est une denrée plus rare et Mr.Hopper n'est tout de même pas l'Orson Welles du mouvement beat dont il serait un tardif rejeton,ni le happening-maker démiurge que l'on voudrait parfois nous faire croire.So long Mr.Hopper le détour par Bercy,soyons justes,n'est pas si mal.On n'en sort pas plus anti-conformiste,mais pas plus bête non plus.Et puis ce fameux anti-conformisme n'est que le conformisme de demain,ou même de tout à l'heure.

merci pour tes impressions qui exprime bien la sensation de personnage "entre deux eaux". pour la partie ciné en acteur comme en réalisateur il a l'image d'indépendance entre les grands films et les tout petits interdits de cinéma (même genre de carrière parfois louche avec des types comme Christopher Walken).

Est-ce que tu as vu le film avec Jodie Foster ? (je serai très curieux de ton avis en tant qu'amateur/connaisseur de cinéma "classique")

petit retour après avoir vu la dite exposition dont la visite ressemble à une promenade entre des ambiances (sonores et pas seulement). très centré sur Hollywood effectivement, mais pas que. Très branchouille d'abord dans le "vintage" pour ces débuts de beau gosse à trainer dans les westerns ou aux côtés de James Dean et puis après dans du branchouille plus moderne. Branchouille mais pas que. L'exposition réussit malgré tout à dépasser le culte du personnage pour élargir vers son peut être monde... les extraits et oeuvres dont il est l'auteur sont assez rares finalements et c'est pourtant par là qu'on le découvre un peu plus. Ses photos valent le détour (y compris ses photos de grafs) et on ressent un esprit assez large, assez attentionné et pas toujours sérieux bien que pragmatique (ça doit être bien payé les pubs clin d'oeil à Easy Rider).

Dennis Hopper c'est l'Amérique, en large d'esprit... terre à terre et fine à la fois, capable de jouer et de rechercher ses propres images...

(petit regret pour des extraits un peu trop mélangés entre lui derrière et devant la caméra des autres... des découvertes aussi... et puis une expo qui ratisse aussi large avec le Colors de Ice-T qui boucle dans une salle ... ça peut bien avoir un semblant d'intérêt !)

Je m'aperçois que je n'ai vu aucun film de Hopper, à part dans un tiers rôle. Je ne me souviens que de sa participation à Land of the Dead.
Mais c'est fou, ce Dennis Hopper fait pourtant parti de "mon" paysage. Aucune idée du pourquoi du comment, je le sens "là". Alors lorsqu'expo il y a, je me dis que c'est l'occasion ou jamais de découvrir les raisons qui font que ce Dennis Hopper je le connais sans le connaître.

Et j'ai découvert pourquoi.
(Relisez le commentaire de Bellonzo qui décrit très bien toutes les ambiances et les ambiguités de l'expo>du bonhomme)


Il était partout ce gars. Et avec l'impression qu'il était partout un peu avant tout le monde, ou juste pile poil au bon moment. Complètement fondu dans son monde, dans son actualité, tout en essayant d'en chopper la marge, de le questionner un peu. Mais pas forcement pour le "réparer" mais peut-être pour en comprendre un peu mieux les failles.
Le conformisme de l'anti-conformisme expliqué par Bellonzo, c'est tout à fait ce que j'ai "vu", et j'ai aimé cette acceptation lucide d'être un rebelle privilégié.
Et puis, surtout y'a quand même pas mal de second degré, de délires où on sent bien qu'il est à la fois sincère et en même temps qu'il se rend compte que c'est un peu n'importe quoi. Juste qu'au moment précis où il l'a fait, il fallait peut être qu'il le fasse, pour l'appréhender. Quitte à frôler le ridicule ou l'inutile après.
Une sorte d'acceptation de la vacuité.
Acceptation de la mortalité.

C'est un foutu bordel cette expo quand on y connaît rien et qu'on y a pas les repères. Et j'ai adoré ça, ce bordel. L'impression qu'on pourrait piocher un peu partout et toujours trouver quelque chose à voir ou à entendre, quelque chose qui veut dire sur son époque, sur cet instant qui a existé.

Il me reste à voir ses films, acteur et réalisateur.

S'il n'y a qu'un film à voir c'est quand même Easy rider,une date dans l'histoire du ciné.Même si personnellement c'est plus la musique qui a compté pour moi.

DENNIS HOPPER

Je viens de voir un fil magistral sur Dennis Hopper. Il est rare qu' un film vous montre d' une façon
aussi concrète ce qu' est le génie à l' état brut.
Une histoire vraie et qui pourrait paraitre édifiante, s' il s' agissait de tout autre que lui.
L' incroyable rédemption d' un homme qui passa la plus grande partie de sa vie à
essayer de se détruire et qui n' y parvint pas.

Cette histoire-là est interessante et pour diverses raisons.
Il importe peu de savoir pourquoi, il buvait et se droguait, mais plutot de se demander comment
il a pu survivre et conserver son étincelle de génie malgré cela...
Il n' a fait qu' une poignée de films et finalement deux ou trois d' entre eux tiennent encore
parfaitement la route.
A commencer par l' inusable Easy rider qui marqua tant de générations, dont la mienne.
Il sut capter l' air du temps et sa violence. Et sa poésie aussi.
Un génie américain. Spécifiquement américain. Comme Walt Whitman ou Hemingway ou
d' autres... Peu importe.

Et ce n' est pas pour rien s' il y avait dans sa bande des allumés comme lui, du genre
Nicholson.
Ni étonnant que Wenders ou Lynch viennent ici lui rendre hommage.
Ce que raconte Wenders est hallucinant. Il venait de l' inviter pour tourner avec lui
l' Ami américain. Hopper a débarqué à Paris sans savoir qui l' avait invité ni pourquoi.
Il venait de participer au film de Coppola, Apocalypse now, et il portait encore les vetements du tournage (et quel tournage !) avec les trois appareils photos qu' il avait dans le film...
Il a fallu le doucher tellement il puait, et on s' est alors rendu compte que des insectes l' avaient piqué sur tout le corps. Il était en état permanent d' hallucination et faillit mourir durant le
tournage.
Et pourtant quelle présence dans ce film...

Wenders pensait alors de lui, que de tous les gens qu' il connaissait, Hopper n' atteindrait
jamais l' an 2000.
Mais il y est arrivé et c' est l' esssentiel pour nous et pour lui.
Il est devenu ce qu' il était profondément au fond de lui, un homme doux, gentil, convainquant,
essentiel.
En toute simplicité.
Il s' est mis à peindre et je suis certain que ça vaut le coup d' oeil.

Hopper dit simplement de lui-meme qu' il a eu de la chance, beaucoup de chance. Et puis
quelques amis.
Et sans doute un ange gardien vigilant et de très bonne volonté.
On veut bien le croire.

DENNIS HOPPER : Créer ou crever. Doc de H. Lohner et A. Riecker, 2003

Cherchez ce film, ça en vaut vraiment la peine !

Il a un foutu cancer, parait que c'est mauvais.
Sinon quelle vie, du premier film avec James dean et tout le reste....

La mort déguisée en crabe a finir par avoir sa peau...

Goodbye Dennis !