| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Tim Burton | |
|
+29Harelde shanidar Esperluette Avadoro zazou kenavo Marko colimasson krys Nestat Camille19 traversay darkanny Aira Fantaisie héroïque Pichnette13 Antigone Menyne Little devil Nibelheim Senhal Babelle Gunnar eXPie Burlybunch Queenie Pannonique Marie animal 33 participants | |
Auteur | Message |
---|
colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Mar 26 Juin 2012 - 22:52 | |
| Naïf et enfantin, je veux bien. Ca résume globalement bien les atmosphères des films de Burton. Mais du simplisme, non. Ce geste, dans son contexte mélo-dramatique, ne renvoie à rien de poétique. C'est de la tragédie à la Titanic, juste de quoi faire pleurer dans les chaumières. C'est lassant, ça manque justement de la surprise caractéristique d'Edward aux mains d'argent. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Tim Burton Mar 26 Juin 2012 - 23:48 | |
| J'aime beaucoup l'univers de Tim Burton... Mais je le trouve très simpliste. Ce qu'il arrive à faire sans nunucherie. Mais c'est vrai qu'il est, à mon avis, si proche de cette frontière que selon la sensibilité du spectateur ça peut sembler l'avoir franchit. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Tim Burton Mer 27 Juin 2012 - 11:51 | |
| bizarrement je n'ai pas trouvé cette scène mélodramatique mais irrésistiblement drôle et poétique à la fois, je ne pense pas que Burton ait voulu filmer la fin de la sorcière de manière à la rendre pathétique ou triste au contraire il lui donne un aspect clinquant et outrancier (avec tout de même en prime ce que j'ai trouvé être une belle prouesse technique) qui frôle le comique mais reste dans quelque chose d'un peu magique (la poupée qui se brise). Le grotesque de Burton est hénaurme, on aime et quelque fois on déteste. J'ai été très surprise à l'expo de la Cinémathèque française de voir à quel point Burton ne tombe jamais dans le pathos mais utilise toujours une pirouette pour faire du monstre non pas un objet de pitié mais un être drôle, décalé, onirique et éminemment humain ( ce sont les adultes qui, par leur trop grand sérieux, sont pathétiques). Sans compter quelques dessins humoristiques franchement très drôles datant de son époque où travaillant pour Disney il voyait toutes ses propositions finir aux oubliettes. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Mer 27 Juin 2012 - 22:43 | |
| - Queenie a écrit:
- J'aime beaucoup l'univers de Tim Burton... Mais je le trouve très simpliste. Ce qu'il arrive à faire sans nunucherie. Mais c'est vrai qu'il est, à mon avis, si proche de cette frontière que selon la sensibilité du spectateur ça peut sembler l'avoir franchit.
Oui bien sûr, et puis faut pas oublier l'état d'esprit du moment aussi, qui joue beaucoup... - shanidar a écrit:
- J'ai été très surprise à l'expo de la Cinémathèque française de voir à quel point Burton ne tombe jamais dans le pathos mais utilise toujours une pirouette pour faire du monstre non pas un objet de pitié mais un être drôle, décalé, onirique et éminemment humain ( ce sont les adultes qui, par leur trop grand sérieux, sont pathétiques). Sans compter quelques dessins humoristiques franchement très drôles datant de son époque où travaillant pour Disney il voyait toutes ses propositions finir aux oubliettes.
J'ai eu l'occasion de voir ses dessins dans le catalogue de l'expo. Je suis d'accord avec ton avis. La chance de ces dessins, c'est de pouvoir être considérés individuellement. Ils ne sont pas pris dans un enchevêtrement, dans la symbolique de l'action, contrairement à cette scène dont nous parlons, et qui survient après un combat très manichéen et déjà très décevant. Le coup de la poupée en porcelaine et du coeur-Tagada n'a pas aidé à faire oublier tous les clichés précédents, et s'est même transformé lui-même en cliché très grotesque ! | |
| | | Menyne Agilité postale
Messages : 864 Inscription le : 26/04/2008 Age : 53 Localisation : dis z'y mieux !
| Sujet: Re: Tim Burton Jeu 12 Juil 2012 - 13:21 | |
| J'aime beaucoup Tim Burton mais j'ai été drôlement déçue par Dark Shadows. Je me suis ennuyée. Quelle déception ! Par contre, j'ai adoré l'exposition à la Cinémathèque. Nous sommes restés un temps fou à contempler chaque croquis, chaque dessin. J'aime son univers qui rend la mort plus joyeuse, comique, moins angoissante et surtout j'ai pu 'évaluer' la carrure réelle de Jhonny Depp grâce au costume d'Edward aux mains d'argent ! | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Jeu 12 Juil 2012 - 20:12 | |
| En ce moment je feuillette le catalogue de l'exposition. Il y a des dessins bien sympathiques... J'aime bien sa vision de Joey Ramone : | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Mer 25 Juil 2012 - 22:29 | |
| Bien aimé le Catalogue de l'exposition... Des dessins représentatifs, et un peu de texte (de Burton et d'autres) pour entourer (rien de bien novateur à ce niveau-là, sinon une micro-analyse des particularités qui font le style burtonnien). Du coloré : Du plus sombre : Des monstres : Des enfants pas rassurés : Des sculptures : A Burbank où j’ai grandi, la culture des musées n’existait pas. Ce n’est qu’adolescent que j’ai mis les pieds pour la première fois dans un musée (sauf si on compte le Musée de Cire d’Hollywood). Je m’occupais en allant voir des films de monstres, en regardant la télévision en dessinant, ou en jouant au cimetière du coin. Plus tard, quand j’ai commencé à fréquenter les musées, j’ai été frappé d’y retrouver une atmosphère semblable à celle des cimetières.Tim BurtonPour un exemple des commentaires autour de l'oeuvre de Burton : - Citation :
- Burton a entrepris depuis d’inventer de nouveaux canons du beau. Squelettes, têtes coupées, corps recousus et perforés, ces emblèmes récurrents ont pour double effet de mettre à mal le conformisme et de promouvoir des modes de vie alternatif. Défigurer le corps permet à Burton de métaphoriser avec une intelligence toute sensuelle les dysfonctionnements de la société et la désintégration des psychés.
- Citation :
Pour finir, la créativité est la planche de salut des héros de Tim Burton, qu’ils apparaissent sur papier, monstres à membres et à fonctions multiples, ou à l’écran, humains abattus sculptant arbustes ou blocs de glace, inventant des histoires incroyables, réalisant des films d’exploitation, tranchant des gorges, ou survivant au Pays des Merveilles. Leur exemple d’activité imaginative, qui est une réponse à une condition de détachement et d’isolement, constitue le principal message de l’œuvre de Burton. | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Tim Burton Jeu 23 Aoû 2012 - 16:33 | |
| Je suis un grand fan de ce monsieur. J'ai adoré Edward aux mains d'argent, Sleepy Hollow, Big Fish, Charly et la chocolaterie... Il y a quelques jours, j'ai vu son Alice que Pays des Merveilles que je ne connaissais pas encore. Alice que Pays des Merveilles Alice est désormais âgée de 19 ans. Elle se rend avec sa mère à une fête riche et guindée qui promet d'être d'un ennui mortel. Arrivée sur place, elle apprend qu'on célèbre en réalité ses fiançailles avec le fils des châtelains organisateurs la réception fastueuse. Le fiancé est bien évidemment atroce, laid, aux manières fort peu soignées, et aussi peu aimable que niais. Pas vraiment le parti idéal. Alice, écartelée entre sa répulsion naturelle et les espoirs nourris par sa mère et sa sœur, s'enfuit et décide de suivre ce curieux lapin blanc surgit de nulle part et qui ressemble fort à celui dont elle rêve chaque nuit depuis treize ans. Comme dans le roman de Lewis Carroll, elle tombe dans un trou profond, se retrouve à boire une potion qui la rapetisse et lui permet de franchir une porte minuscule ouvrant sur un monde féérique. Nul autre que Tim Burton ne pouvait inventer ce monde merveilleux. Comme Alice, le spectateur ouvre grands ses yeux et découvre ébahi une multitude de détails abracadabrants comme cette forêt de champignons multicolores, ce comité d'accueil qui se demande si cette Alice est la bonne Alice... Un monde magique empreint d'une grande poésie. Des images superbes : le chapelier incarné par Johnny Depp est magnifique et haut en couleur, tout comme le chat au large sourire. Un Tim Burton particulièrement inspiré qui émerveille une nouvelle fois les grands enfants que nous sommes restés. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Tim Burton Ven 9 Nov 2012 - 20:48 | |
| Frankenweenie - Citation :
- Après la mort soudaine de Sparky, son chien adoré, le jeune Victor fait appel au pouvoir de la science afin de ramener à la vie celui qui était aussi son meilleur ami. Il lui apporte au passage quelques modifications de son cru…
Les derniers Tim Burton étaient loin du niveau habituel du réalisateur de Beetlejuice. Le passage par la case animation pouvait lui redonner une fraîcheur quelque peu perdue au fil du temps. Frankenweenie, avec sa trame linéaire, ses références multiples au fantastique (de Frankenstein à King Kong) se débride dans ses 20 dernières minutes, véritable festival pyrotechnique mais, avant cela, le film se contente d'être gentil, d'un macabre léger, plus à même de ravir un public d'enfants ou d'adultes ayant gardé leur âme intact. C'est rythmé, agréable à l'oeil, fertile en rebondissements et fortement consensuel. Le film est produit pas Disney, l'anthropomorphisme n'est pas loin et la subversion très vite édulcorée. Quelques éclairs de poésie et une jolie galerie de personnages, un tantinet barrés, donnent un certain cachet à une oeuvre dont on regrette la trop grande sagesse. Ca se regarde sans déplaisir avec le sentiment de voir un produit de consommation courante un peu plus intelligent et original que la moyenne. Mais à peine. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Tim Burton Ven 9 Nov 2012 - 21:51 | |
| J'ai vraiment beaucoup aimé Frankenweenie. C'est doux, un peu fou, tendre, macabre, drôle, foutraque, et plein de références-hommages qui font sourire.
Et je n'ai envie de ne mettre aucun bémol à ce film. Il est exactement ce qu'il promet, et c'est chouette. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Mar 8 Jan 2013 - 18:59 | |
| Batman (1989) Gotham City a l’air grandiloquent… Dans un fourmillement inquiet et frémissant de piétons, une vie nocturne, aux relents un peu glauques, semble se mener à l’abri des murs des gratte-ciel. Le « mal », terme vague qui désigne la corruption, le banditisme et la criminalité, surgit sans surprise des ruelles les plus sombres de cette métropole. Méfions-nous, car personne n’est à l’abri du danger. Sans chercher à disserter sur la critique implicite qui sous-tend le scénario de Batman, demandons-nous plutôt ce que Tim Burton a choisi de montrer dans son adaptation cinématographique. Si Jack Nicholson incarne à merveille le personnage diabolique et mégalomane du Joker, le casting est moins réussi pour Bruce Wayne et Vicki Vale, qui ressemblent respectivement à s’y méprendre à un Julien Lepers rajeuni et à une Barbie des années 90. La ressemblance n’est pas seulement physique : ainsi Bruce Wayne se promène à travers la jungle urbaine avec toute l’assurance et la science divine d’un présentateur télé armé de ses petites fiches cartonnées, lorsque Vicki Vale tente de s’émanciper et de présenter l’image d’une femme libérée –mais toujours fragile, délicate, sensible et tirée à quatre épingles, ayant toujours l’air d’attendre qu’on vienne la sauver. De Tim Burton, on aurait pu attendre des choix un peu plus risqués, à la menace, peut-être, de s’éloigner des caractères des protagonistes de l’œuvre originale ? Pas de grosse prise de risque pour ce Batman qui présage déjà la déception de l’adaptation du futur Alice au pays des merveilles. Dans la représentation de la lutte entre les forces du bien et du mal, Tim Burton n’arrive pas à se détacher d’une forme de manichéisme plate qu’il résout à coups de tatanes dans la figure au cours de la dernière demi-heure du film. Pour tout dire, le plus audacieux reste encore cette association de vert et de violet qui définit l’apparence du Joker, mais ceci, ce n’est pas Tim Burton qui en détient le monopole… | |
| | | san.romain Envolée postale
Messages : 190 Inscription le : 08/11/2012 Age : 31 Localisation : Marseille
| Sujet: Re: Tim Burton Mar 8 Jan 2013 - 19:23 | |
| Le fil est-il réveillé par la diffusion de Big Fish, hier ? C'est un film formidable, mêlant de la poésie, du lugubre, et une certaine philosophie de vie ! Je fantasme encore sur la pelouse verte de la ville de SPECTRE ! | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| | | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Tim Burton Jeu 29 Aoû 2013 - 12:32 | |
| La triste fin du petit enfant huître et autres histoires (1997) Les enfants imaginés par Tim Burton ne vivent pas dans un monde imaginaire peuplé de fées et de lutins rieurs. Le fil conducteur de ce recueil de poèmes est l’évocation d’une marginalité qui commence dès le plus jeune âge. Que l’on soit un enfant huître, que l’on ait un brie de chèvre à la place de la tête, des clous dans les yeux ou des ordures en guise de chair, le mal s’incarne tout le temps au même endroit : dans le regard des autres. Ces enfants mènent une vie malheureuse marquée par l’ostracisme et l’abandon. Ils se préparent déjà à l’implacabilité d’une vie adulte qui ne ratissera pas davantage de chaleur humaine. Chacun de ces poèmes constitue une ébauche scénaristique en soi. On se souvient d’ Edward aux mains d’argent, d’Edward Bloom de Big Fish ou de Charlie, tous personnages caractérisés par un signe distinctif qui les exclut involontairement de la communauté homogène des « gens normaux ». On reconnaît dans cette opposition un manichéisme peu subtil mais il faut y prendre garde… Dans les films de Tim Burton comme dans ses poèmes, on découvre bien vite que les faibles ne sont pas pur angélisme et qu’ils recèlent les mêmes vices que leurs tortionnaires. Ainsi Tim Burton ne vire jamais à l’apitoiement et se montre plutôt cruel, chancelant entre pitié et plaisir machiavélique d’enfoncer toujours plus profondément dans leur misère ces enfants malmenés par l’existence. Le jeu poétique qui entoure la narration de leur histoire ajoute encore une dose de cruauté à l’imagination de Tim Burton. Les rimes, allitérations et assonances s’égrènent à un rythme qui fait souvent fourcher la langue, comme s’il fallait que la forme se rajoute au fond des malheurs pour distraire le lecteur. On joue à la marelle avec Tim Burton, pendant que ses personnages cheminent fatalement vers une destinée sans vie pour le plaisir de perpétrer une rime : « Mon fils, es-tu heureux ? Sans indiscrétion, Rêves-tu quelquefois des célestes régions ? Ne t’es-tu jamais dit : « Mourons » ? » Voici un exemple de rime qui marche, sans donner l’impression d’avoir été extorquée à l’insu de Tim Burton. Ce n’est pas le cas de l’ensemble des poèmes de ce recueil. Faute à une traduction qui sacrifie la fluidité à une versification qui n’était pourtant pas formellement revendiquée dans la langue originale. Le résultat bancal devient parfois illisible, et on préfère ne pas lire à voix haute certaines monstruosités littéraires : « Hélas, elle se sait prisonnière d’un sort, Dont elle ne se sort Jamais. En effet, dès qu’on s’ Approche d’elle, les épingles encore Plus profond dans son cœur s’enfoncent. »
Si on maîtrise un peu l’anglais, on se réfèrera de préférence aux textes originaux de Tim Burton qui apparaissent toujours en complément de leur traduction. Enfin, on peut légitimement se demander si Tim Burton n’était pas ce réalisateur fantasque que l’on connaît –serait-il plutôt un de ces malheureux et anonymes personnages qui peuplent ses poèmes-, l’intérêt porté à son recueil aurait-il été aussi accru ? Sa poésie désenchantée et gentiment morbide s’inscrit en continuité de ses œuvres mais ne constitue pas une œuvre en soi. Trois vers ne font pas un poème –encore moins un haïku made in america- et lorsqu’on lit l’histoire de Benjamin, éludée en trois pauvres vers : « Je suis Benjamin, Débaptisé par les autres gamins En « vilain gamin pingouin » » … une seule chose à répondre à Tim Burton : puisse Benjamin devenir aussi marginalement reconnu que toi. - Citation :
- L’enfant Brie rêva (deux fois, pas plus) que sa tronche
Pleine et ronde n’était plus qu’une tranche. Le droit de jouer avec eux, les autres enfants jamais ne le lui donnaient, Mais au moins Brie s’accordait bien avec un bon Chardonnay. | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Tim Burton Ven 6 Sep 2013 - 23:50 | |
| Merci pour le commentaire Coli.
Les extraits sont assez pauvres en effet sauf :
« Mon fils, es-tu heureux ? Sans indiscrétion, Rêves-tu quelquefois des célestes régions ? Ne t’es-tu jamais dit : « Mourons » ? » | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Tim Burton | |
| |
| | | | Tim Burton | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|