Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Vergilio Ferreira [Portugal]

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ArenSor
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MessageSujet: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyMer 9 Mar 2016 - 21:09

ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] Photo_14

Bibliographie

1954 Matin perdu, Page 3
1959 Apparition,
1965 Alegria Breve,
1974 Rêve d'ombre, Page 2,
1983 Pour toujours,
1987 Jusqu'à la fin,
1990 Au nom de la terre,
1993 Ton Visage, Pages 1, 2,
1996 Lettres à Sandra, Page 1,

Citation :
index mis à jour le 06/10/2016 page 3

Nous connaissons tous de belles rencontres : un livre acheté plus ou moins par hasard et dont la lecture vous marque profondément. C’est le cas pour moi avec « Ton visage » de Vergilio Ferrera, écrivain portugais né en 1916 et mort en 1996. Wikipédia m’apprend que cet auteur a connu une belle célébrité de son vivant – en est-il toujours de même ? En tout cas, il semble relativement peu connu en France. J’y apprends également que son œuvre très importante – romans, essais, journaux- se divise en une première partie néo-réaliste et une seconde « existentialiste».
« Ton visage » appartient sans conteste à ce dernier courant, si tant est qu’on puisse définir ce qui se cache sous ce terme d’existentialisme. C’est un livre qui entrecroise de nombreux thèmes et qu’il est assez difficile de résumer. Le narrateur, médecin, mais surtout caricaturiste, a entrepris un tableau sur lequel il n’arrive pas à travailler. Il est hanté par Barbara, amour sublimé, rencontre de jeunesse ou phantasme, qui l’accompagne à différents moments de sa vie.

« Elle vient du fond des ères, épurée jusqu’à l’essence de sa perfection qui n’a pas été prévue par Dieu. C’est une perfection instantanée fragile, je ne peux la toucher. Elle est née de l’ardeur lente et violente des hommes depuis la nuit des temps, du crime excessif, de la mort, et maintenant elle est là et seul moi je la connais et les autres l’ont perdue à jamais. Je dois la regarder sans peser, à distance anxieuse de ma respiration, je dois la regarder dans les airs. Je dois l’emprisonner dans mon angoisse, dans ma main, inscrire sa présence dans mes os, à l’endroit caché de mon humilité. Un jour on me demandera, un jour la foule immense des gens et des dieux, toute l’exigence des hommes, des sages, des puissants, toutes les races, tous les saints et tous les criminels jusqu’à la fin des siècles, un jour ils me demanderont, comment as-tu osé contempler sa face ? comment as-tu osé poser ton regard sur elle ? elle est l’essence de l’impossible, je ne peux la perdre. Des milliards et des milliards d’efforts pour l’obtenir, c’est moi l’élu, je ne peux. Il y a en elle l’infini de la beauté et de la mort, qui est le plus grand impossible. De l’imaginaire du jour et de la nuit. Du trouble de l’énigme. Du désespoir tendre. Nous marchons en silence, c’est un après-midi de printemps. Respirons la lumière, c’est une lumière nouvelle et terrible. Très vite je regarde Barbara saisi de terreur, elle sourit, un oiseau oblique est passé. ».

Puis il tombe amoureux d’Angela, au départ parce qu’elle est amie de Barbara et garde comme un parfum de cette dernière. Les deux personnages se superposent comme deux calques, prennent plus ou moins d’importance par rapport l’un à l’autre puis finissent pas se distinguer. Je ne vous en dirai pas plus sur « l’histoire » mais j’insisterai sur différents thèmes que l’auteur aborde et la manière dont il le fait.
Il est question de l’être proprement dit et de son apparence :

« Regarder les radiographies et essayer de les distinguer de toutes les autres, qu’il fut impossible de confondre cette image comme il était impossible de confondre celle de l’Angela visible. Qu’elle fût différente à la fois du dehors et du dedans. La regarder identifiable comme sur une photographie, trouver là sa réalité comme personne et l’aimer comme on aimait son âme. Qu’elle reste consubstantielle dans une totalité indifférenciable, que ses yeux soient aussi ses orbites, et son buste délicat l’armature des lattes qui le fait tenir. Voir un de ses tibias et y reconnaître la douceur de sa jambe sous ma caresse. Et sa hanche à partir de son bassin. Et son crâne, son visage. Il y avait un énorme gaspillage de ce que j’aimais et je pensais tu ne dois pas gaspiller la partie gaspillée. Qu’aime-t-on chez une femme ? Pourquoi n’aime-t-on que sa peau, et quelque part un peu plus loin que sa peau ? Le reste qui est ce qu’on aime le plus finalement, n’existe pas. »

Apparence : entre beauté laideur :

« La beauté est une idée de la femme pour faire bander les hommes. Comme l’ondulation des hanches. Ou le parfum qui est une forme sublimée de la masturbation. »

Cette question nous vaut des passages magnifiques, baroques à souhait, que n’auraient pas reniés Breughel, Goya ou mon cher Ensor : visions de squelettes déambulant dans les rues, de mendiants hideux, métamorphose d’hommes en monstres dotés de goitres comme les pélicans… L’écriture balance alors entre horreur et grotesque.

Il est question également du sens de la vie, du suicide, du temps qui passe etc…

« Et un moment nous sommes restés à écouter la mer. Rauque, furieuse. Nous l’entendions frapper les rochers, là-bas au loin. Obstinée dans la stupide raison de sa non-raison. Et nous sommes restés comme ça un bout de temps jusqu’à ce que ce qui avait été dit et pas dit dans ce qui avait été dit s’évanouît dans l’écume laiteuse imaginée par la mer. »

« C’est quand Ulysse voulait revenir à Ithaque et que Calypso a eu ce sourire – et Angela disait le premier sourire de l’Occident qui soit parvenu jusqu’à nous. »

« Les jeunes ne s’assoient pas comme ça pour regarder la mer. Ils l’ont en eux, les vieux ne l’ont plus alors ils la regardent. »

« Ils riaient. Ils avaient la vie dans leurs poches et leur rire venait avec quand ils tiraient leur paquet de cigarettes. »

En conclusion : un « roman » curieusement construit, en forme d’abyme, d’emboîtements et de labyrinthes, des thèmes obsessionnels qui reviennent sans cesse – le personnage de Barbara omniprésent m’a fait penser à « L’Année dernière à Marienbad » de Resnais, une écriture poétique. Bref, j’ai ADORE.
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyMer 9 Mar 2016 - 21:20

A première vue, cela ressemble à quelque chose de "terriblement" romantique (dans le bon sens du terme : déchiré et déchirant) ! Le livre est à la médiathèque... Je le note !
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Bédoulène
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyJeu 10 Mar 2016 - 8:21

4 à ma médiathèque mais pas celui-ci, je note dans un coin
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyDim 10 Avr 2016 - 20:35

Lettres à Sandra
Il s'agit d'un recueil de dix lettres - la dernière étant restée inachevée - adressée par l'auteur à sa femme, Sandra, décédée. Le livre est précédé d'un préface de la fille de Ferreira, indiquant que son père est décédé en écrivant la dernière. La préface est datée du 15 décembre 2015, alors que Wikipédia nous apprend que Ferreira est mort en janvier 1996 !
On retrouve les obsessions de l'auteur mais dans un style beaucoup plus retenu que dans "Ton visage", moins baroque, mais certainement avec encore plus de violence et de passion. Comme dans le volume précédent, l'homme est un rêveur qui cherche à saisir l'essence de l'être au delà de la matérialité, alors que la femme refuse ce rôle de "femme idéale" et affirme au contraire toute sa matérialité.
"Regarder un genêt, une maison perdue dans la montagne, un chien, une fleur. Et dans les moments de miracle, ma chérie, laisse-moi expliquer. Dans les moments de miracle de je ne sais quelle révélation, il y a ce qui devient visible de tout l'invisible des choses. La face cachée de leur réalité. Une évidence qui se découvre à nous dans une sorte de malaise, la respiration suspendue, rencontre avec l'incroyable qui nous attendait - ne dis rien. Ne dis pas que tout cela est une mystification sans aucun sens".
Les différentes lettres montrent les fractures, les non-dit, les quiproquo, les blessures involontaires. Toutes ces choses qui laissent des traces dans une vie de couple. L'auteur, visité régulièrement par l'absente dont la présence s'impose, parfois hésite :
"Pour toujours, il y a en moi une lutte entre le désir de t'oublier et celui de devenir fou près de toi".
Mais le souvenir de Sandra est le plus fort :
Et cependant, rends-toi compte, je suis sur le point de construire dans mon néant de tout une rédemption de ce néant qui est le mien avec le souvenir que j'ai de toi".
Finalement :
"L'amour est si monotone, ma chérie. Parce qu'il est la cime sensible d'une montagne de choses oubliées. Comment parler de ce minimum qui est l'aplomb de tout un monde qui le soutient ? parler de rien, qui est tout ? Sandra. Je pourrais dire ton nom à l'infini dans la multiplicité qu'il fait résonner en moi. Et c'est justement ce dont j'ai le plus envie, le dire, ô le dire. Et écouter en lui ce merveilleux qui ébranle tout mon être. Je pourrais écrire ton nom tout au long de ce que j'écris et j'aurais peut-être tout dit. Mais je veux dire aussi de ce tout aussi qui s'y cache. Dire mon extase et la raison pour laquelle j'existe en lui. Tes mains dans les miennes. Le miracle incroyable de dire ton visage. La brûlure de mon doigt sur ta peau. Sur la bouche. L'épouvante de mes doigts dans tes cheveux. Le plaisir horrible jusqu'à la mort de ma pénétration dans ton corps".
Les "Lettres à Sandra" sont un magnifique poème d'amour, intense et désespéré.
"Mais comme tu sais il y a quelqu'un d'autre en nous qui choisit ce qui doit être, même contre ce que nous pensons vouloir".
(Shanidar, tu as vu juste, c'est terriblement "romantique"  sourire )
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyDim 10 Avr 2016 - 20:45

Romantique Ferreira ? Pour ce que j' ai lu de lui, ce qui apparait constamment, c' est les ravages de la solitude, de la vieillesse et l' angoisse de la mort...
Je dirai donc, morbide surtout...
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyDim 10 Avr 2016 - 21:37

bix229 a écrit:
Romantique Ferreira ? Pour ce que j' ai lu de lui, ce qui apparait constamment, c' est les ravages de la solitude, de la vieillesse et l' angoisse de la mort...
Je dirai donc, morbide surtout...
Oui totalement romantique ! Attention, pas fleur bleue, collection Arlequin, mais Romantique au sens historique du terme. Je reprends la définition sur wikipédia qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui correspond assez bien à l'écriture de Ferreira :
"Le romantisme est un mouvement culturel apparu à la fin du xviiie siècle en Angleterre et en Allemagne et se diffusant à toute l’Europe au cours du xixe siècle, jusqu’aux années 1850. Il s’exprime dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique."
Solitude, angoisse de la mort, passion, morbidité sont des aspects caractéristiques du Romantisme et sans conteste, Ferreira, est dans ce registre, Shanidar l'a bien vu sourire
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyDim 10 Avr 2016 - 23:04

ArenSor a écrit:
bix229 a écrit:
Romantique Ferreira ? Pour ce que j' ai lu de lui, ce qui apparait constamment, c' est les ravages de la solitude, de la vieillesse et l' angoisse de la mort...
Je dirai donc, morbide surtout...
Oui totalement romantique ! Attention, pas fleur bleue, collection Arlequin, mais Romantique au sens historique du terme. Je reprends la définition sur wikipédia qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui correspond assez bien à l'écriture de Ferreira :
"Le romantisme est un mouvement culturel apparu à la fin du xviiie siècle en Angleterre et en Allemagne et se diffusant à toute l’Europe au cours du xixe siècle, jusqu’aux années 1850. Il s’exprime dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique."
Solitude, angoisse de la mort, passion, morbidité sont des aspects caractéristiques du Romantisme et sans conteste, Ferreira, est dans ce registre, Shanidar l'a bien vu sourire
C' est vrai ! Mais,  ce romantisme-là, c' est comme le cassoulet (je viens d' en manger), je n' en consommerais pas tous les jours... nonnon
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyLun 11 Avr 2016 - 19:16

[quote="bix229"]
ArenSor a écrit:
bix229 a écrit:
Romantique Ferreira ? Pour ce que j' ai lu de lui, ce qui apparait constamment, c' est les ravages de la solitude, de la vieillesse et l' angoisse de la mort...
Je dirai donc, morbide surtout...
Oui totalement romantique ! Attention, pas fleur bleue, collection Arlequin, mais Romantique au sens historique du terme. Je reprends la définition sur wikipédia qui vaut ce qu'elle vaut, mais qui correspond assez bien à l'écriture de Ferreira :
"Le romantisme est un mouvement culturel apparu à la fin du xviiie siècle en Angleterre et en Allemagne et se diffusant à toute l’Europe au cours du xixe siècle, jusqu’aux années 1850. Il s’exprime dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Il se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique."
Solitude, angoisse de la mort, passion, morbidité sont des aspects caractéristiques du Romantisme et sans conteste, Ferreira, est dans ce registre, Shanidar l'a bien vu sourire
bix229 a écrit:
c' est comme le cassoulet (je viens d' en manger)
Dans le Lauragais, ce serait dommage de s'en priver sourire Ceci dit, dans les "Lettres à Sandra" il est certes question de solitude, de vieillesse, de mort, mais surtout d'amour. Je n'ai pas trouvé le livre morbide, ou en tout cas, cette caractéristique ne m'a pas frappé. En revanche, on retrouve ce qui est pour moi le thème fondamental de l'auteur, la question sur l'identité de l'être, qui il est en réalité, ce qui se dévoile et ce qui échappe dans la matérialité d'un individu.
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyLun 11 Avr 2016 - 19:37

Sandra, c' était sa femme, non ?
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyLun 11 Avr 2016 - 19:48

bix229 a écrit:
Sandra, c' était sa femme, non ?
Oui dans le texte, mais dans la réalité je ne sais pas. En tout cas, elle ressemble étrangement à la Barbara de "Ton visage". Sans indiscrétion, quel livre as-tu lu de Ferreira ?
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyLun 11 Avr 2016 - 20:20

ArenSor a écrit:
bix229 a écrit:
Sandra, c' était sa femme, non ?
Oui dans le texte, mais dans la réalité je ne sais pas. En tout cas, elle ressemble étrangement à la Barbara de "Ton visage". Sans indiscrétion, quel livre as-tu lu de Ferreira ?
Oups ! non, Sandra, c'est Angela (je m'y perds dans ces A)
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyLun 11 Avr 2016 - 21:00

ArenSor a écrit:
bix229 a écrit:
Sandra, c' était sa femme, non ?
Oui dans le texte, mais dans la réalité je ne sais pas. En tout cas, elle ressemble étrangement à la Barbara de "Ton visage". Sans indiscrétion, quel livre as-tu lu de Ferreira ?
Si je me souviens, Alegria breve, Pour toujours, Jusqu' à la fin.
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyVen 22 Avr 2016 - 10:42

Je viens d'emprunter Ton Visage... je vais donc pouvoir départager le cassoulet de Barbara et/ou Angela... dentsblanches
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyVen 22 Avr 2016 - 16:50

Commandé Lettres à Sandra.
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MessageSujet: Re: Vergilio Ferreira [Portugal]   ferreira - Vergilio Ferreira [Portugal] EmptyDim 24 Avr 2016 - 11:51

Ferais-je des émules ? cheers En tout cas, je vous souhaite bonne lecture à tous deux.
Je suis impatient de connaître vos opinions et de pouvoir en discuter sourire
Et partant pour un bon cassoulet lauragais !
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