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| José Saramago [Portugal] | |
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Auteur | Message |
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Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: José Saramago [Portugal] Dim 27 Mai 2007 - 17:51 | |
| 16 novembre 1922 (Portugal) - 18 juin 2010 (Îles Canaries) Bio (wiki): - Citation :
- Issu d'une famille modeste du sud du Portugal, il est rapidement obligé d'abandonner ses études secondaires, commencées à Lisbonne, pour entrer dans une école professionnelle dont il sortira avec un diplôme de serrurier. Parallèlement à sa formation, il se passionne pour la littérature et la langue française qu'il continue à pratiquer et à admirer.
Il exerce alors son métier dans les hôpitaux de la capitale mais l'abandonne rapidement pour occuper des postes administratifs dans diverses entreprises.
En 1944, il épouse Ilda Reis dont il aura une fille, Violante.
Son premier roman paraît en 1947: Terre du péché (Terra do pecado). Il lui faudra cependant plus de 20 ans pour s'imposer dans le milieu littéraire, collaborant avec de nombreux journaux portugais, dont Diário de Notícias, pour lesquels il écrit des chroniques et des poèmes. Son second roman: L'Année 1993 (O ano de 1993) ne paraît qu'en 1975.
José Saramago explique lui-même cette arrivée tardive dans le monde de la littérature par un manque de confiance en lui. Mais dès lors, sa production demeure ininterrompue et foisonnante. C'est son roman Le Dieu manchot (Memorial do convento) qui lui vaut à presque 60 ans une renommée internationale en 1982.
En 1988, il se remarie avec la journaliste Pilar del Río.
En 1998, il obtient le prix Nobel de littérature (à ce jour il est l'unique auteur lusophone à l'avoir reçu). Il est également détenteur du prix Camoes. Bibliographie - Citation :
- Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages
Contes et nouvelles1978 - Quasi objets (la chaise, Embargo, Reflux, Les choses, Le centaure, La revanche) Pages 5, 1997 - Le conte de l'île inconnue Pages 5, Romans1977 - Manuel de peinture et de calligraphie 1980 - Relevé de terre 1982 - Le Dieu manchot Pages 2, 7, 91984 - L'Année de la mort de Ricardo Reis 1986 - Le Radeau de pierre Pages 3, 1989 - Histoire du siège de Lisbonne Pages 91991 - L'Évangile selon Jésus-Christ 1995 - L'Aveuglement Pages 1, 2, 3, 4, 6, 7, 9, 101997 - Tous les noms 2000 - La Caverne Pages 1, 6, 82002 - L'Autre comme moi Pages 3, 4, 2004 - La Lucidité Pages 1, 9, 11, 2005 - Les Intermittences de la mort Pages 1, 6, 92008 - Le Voyage de l’éléphant Pages , 7, 8, 9, 11 2009 – Caïn Pages 7, 11Essais1981 - Pérégrinations portugaises 1998 - Comment le personnage fut le maître et l'auteur son apprenti Poésie1966 - Les poèmes possibles - Citation :
- mise à jour le 11/06/2013, page 11
J’aime particulièrement ce passage : - Citation :
- « Mes grands-parents s'appelaient Jerónimo Melrinho et Josefa Caixinha. Ils étaient analphabètes l'un et l'autre. L'hiver, quand le froid de la nuit était si intense que l'eau gelait dans les jarres, ils allaient chercher les cochonnets les plus faibles et les mettaient dans leur lit. Sous les couvertures grossières, la chaleur des humains protégeait les animaux du gel et les enlevait à une mort assurée. Ils étaient de bonnes personnes mais leur action, en cette occasion, n'était pas dictée par la compassion : sans sentimentalisme ni rhétorique, ils agissaient pour maintenir leur gagne-pain avec le comportement naturel de celui qui, pour survivre, n'a pas appris à penser plus loin que l'indispensable. Souvent j'ai aidé mon grand-père dans son travail de berger, je creusais la terre de la ferme, je sciais le bois pour la cheminée, j'ai fait tourner tant de fois la roue qui amenait l'eau du puits communautaire. Eau que bien des fois j'ai transportée sur les épaules en cachette des hommes qui gardaient les surfaces cultivées. Avec ma grand-mère, au crépuscule, je me souviens d'être allé glaner la paille qui servait ensuite de litière au troupeau (…).
J’éprouve un attachement, une émotion singulière aux souvenirs que veut bien nous livrer l’auteur. - Je pense n’avoir jamais trouvé, dans aucune autre écriture, une structure aussi dense (la phrase, la parabole, les situations romanesques choisies, l'intemporalité, le pouvoir de quelques uns sur le plus grand nombre), une structure, un tissu romanesque qui sache aussi humblement se mettre au service de l’histoire. - L’histoire (celle d’aujourd’hui -comme s’il y avait, dans l’urgence de ses phrases, l’avertissement sousjacent que rien n’est acquis) nous est restituée depuis des chemins individuels où l’employé, le citoyen, doit être confronté, à un carrefour, à la puissance d’une barbarie qui l’avale (bureaucratie, hiérarchie, médias au service de la médiocrité, gouvernants au service de l’incompétence. Ensaio sobre a lucidezLa Lucidité
[url=http://imageshack.us] Un dimanche matin de pluie diluviènne, quelques référents entrent en scène. Le président du bureau de vote, son secrétaire, les trois représentants des partis politiques (D, C, G) et leurs suppléants. L’urne est retournée, les isoloirs sont inspectés, le registre prêt à l’émargement. Des trombes d’eau tombent toute la matinée sur la capitale.
Dernière édition par kenavo le Mar 11 Juin 2013 - 20:55, édité 24 fois (Raison : Ajout d'une bio. Ajout d'un index.) | |
| | | onyxo Invité
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Dim 27 Mai 2007 - 19:31 | |
| L'aveuglement Un homme, assis au volant de sa voiture, attend devant un feu rouge. Il devient soudain aveugle. C'est le début d'une épidémie qui se propage à une vitesse fulgurante à travers tout le pays. En quarantaine dans un hôpital ou livrés à eux-mêmes dans la ville, privés de tout repère, les hordes d'aveugles devront faire face à ce qui, en l'homme, est le plus primitif : la volonté de survivre à n'importe quel prix. Seule une femme n'a pas été frappé par "la blancheur lumineuses". Saura-t-elle les guider hors de ces ténèbres ? (Quatrième de couverture)
Dans cette fable au thème connu : dans les situations extrêmes, les hommes se révèlent tels qu'ils sont, monstrueux ou sublimes, Saramago se montre, une fois encore, un grand maître de la narration.. Si Saramago ne figure pas parmi mes préférés, avec ses phrases excessivement longues et détaillées, ses excès frisant la logorhée, il me faut reconnaître que son écriture est superbe et que l'aveuglement, très lisible quant à lui, m'a captivée de bout en bout |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 28 Mai 2007 - 3:20 | |
| Extrait du discours de Jose Saramago : - Citation :
- Ensuite, l'apprenti, comme s'il tentait d'exorciser les monstres engendrés par la cécité de la raison s'est mis à écrire la plus simple de toutes les histoires : Une personne qui va à la recherche de l'autre simplement parce qu'il a compris qu'il n'y a rien de plus important dans la vie. Le livre s'appelle - " Tous les noms " (Todos os nomes) - Bien que non écrits, tous nos noms sont là. Ceux des vivants et ceux des morts
J'ai lu il y a déjà longtemps Tous les noms ,. Magnifique fable sur l'identité dans laquelle un employé d'un kafkaïen service de l'Etat civil part à la recherche de sa propre identité. Je ne sais pas ce que j'attends pour continuer à lire Saramago..... En particulier, son dernier roman, intitulé La lucidité ... | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 28 Mai 2007 - 22:03 | |
| Merci à vous. Je note le nom de Saramago dans mon joli petit carnet tout neuf...Je ne me remets pas d'avoir perdu l'autre... | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Les intermittences de la mort Lun 17 Mar 2008 - 17:10 | |
| Les intermittences de la mort est le dernier livre de Saramago traduit en français (publié en 2005 au Portugal). Un évènement exraordinaire frappe un pays sans nom : plus personne ne meurt. Le peuple, stupéfait tout d'abord est euphorique : l'immortalité, c'est formidable ! On en a fini enfin avec la peur de la mort... Mais cette trève se révèle n'être qu'une accalmie et quelques mois plus tard, tous les morts en sursis meurent au même moment, créant une hécatombe sans précédent et les difficultés d'enterrement qu'on imagine. La mort, décidément très créative dans ce pays-là invente un nouveau système où elle prévient chaque habitant de sa mort prochaine en lui envoyant une semaine avant l'échéance une lettre lui permettant de prendre ses dispositions avant de disparaître. Le système provoque la panique de la population et en plus il s'enraye: la mort reçoit une lettre en retour ! Elle va enquêter et se retrouve face à un bien séduisant violoncelliste. Qui aura le dernier mot de la mort ou du musicien ? Ce roman plein d'humour est extrêmement divertissant. Même si l'histoire n'est en rien réaliste, l'idée est vraiment drôle, le roman bien construit et l'écriture pleine de vivacité et d'ironie. Voilà un remède contre la morosité pour ceux qui voudraient rire pendant les vacances de Pâques | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 17 Mar 2008 - 18:00 | |
| J'ai L'histoire du siège de Lisbonne qui m'attend dans ma PAL depuis des mois... Quelqu'un l'a-t-il lu pour m'encourager à le commencer? | |
| | | sousmarin Zen littéraire
Messages : 3021 Inscription le : 31/01/2007 Localisation : Sarthe
| | | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 17 Mar 2008 - 20:58 | |
| J'ai lu un de ses livres, Le dieu manchot, et me suis promis d'en découvrir d'autres, ce serait un auteur à proposer pour les auteurs du mois, il faut juste que j'y pense | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 17 Mar 2008 - 21:14 | |
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| | | kathel Main aguerrie
Messages : 349 Inscription le : 16/01/2008
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Sam 9 Aoû 2008 - 15:13 | |
| Je viens de lire L'aveuglement : plutôt qu’un roman d’anticipation, c’est un conte ou une parabole, situé dans une ville qui n’est pas nommée et qui répond à la question : « Que se passerait-il si toute une société perdait brusquement la vue ? » et encore « Voyons-nous vraiment autour de nous, ne sommes-nous pas déjà aveugles d’une certaine manière ? » La lecture en est assez ardue au début car les dialogues sont écrits en continu, le personnages n’ont pas de noms ni de prénoms ; il y a donc le premier aveugle, le médecin, la femme du médecin, la jeune fille aux lunettes teintées, et ainsi de suite… Une fois habituée à la lecture, j’ai eu du mal à lâcher le livre, souffrant avec ces personnes atteintes de « cécité blanche », mises en quarantaine dans des conditions inhumaines, et pour lesquelles le salut viendra peut-être d’une seule femme qui mystérieusement, n’est pas touchée par le mal. Voir comment toutes les conventions et règles de vie en société tombent les unes après les autres, est effrayant de réalisme ! C’est un roman vraiment passionnant, qui suscite toutes sortes d’interrogations et fait froid dans le dos en même temps. Extrait : Il y a ici un colonel qui pense que la solution serait de tuer les aveugles au fur et à mesure qu’ils perdraient la vue, Le fait qu’ils soient morts au lieu d’être aveugles ne changerait pas grand-chose au tableau, Être aveugle ce n’est pas être mort, Oui mais être mort c’est être aveugleMe tentent aussi, du même auteur : Les intermittences de la mort et L’histoire du siège de Lisbonne. A savoir : Ce roman a été adapté et tourné par le réalisateur brésilien Fernando Meirelles et doit sortir en France le 8 octobre 2008 (avec Julianne Moore, Mark Ruffalo, Danny Glover, Gael Garcia Bernal). | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Sam 9 Aoû 2008 - 18:42 | |
| J'ai lu cet été la lucidité. Tout comme les Intermittences de la mort, c'est plein d'ironie, du grand "style Saramago", mais il manque à ce livre le suspens et la bizarrerie qui m'avaient tant plu dans l'autre. Un peu long donc parfois mais si délicieux aussi souvent...
Extrait : Point n'était besoin d'avoir un doctorat en suspicion ou un diplôme en méfiance... Voter blanc, Monsieur, est un droit qui ne souffre pas de restriction... Puisque la majorité des voix ne t'appartient pas, fais semblant qu'elle n'appartient pas non plus à tes adversaires... | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Jose Saramago – La Caverne Sam 9 Aoû 2008 - 22:14 | |
| Original: A caverna (portugiesisch)
CONTENU: Cipriano Algor et sa fille sont des potiers modestes qui livrait régulièrement le „Centre“, complexe de supermarché et plus que cela, se trouvant dans la ville proche. Un jour on lui dit que ses pièces ne sont plus demandées : le plastique serait bien plus utile et ainsi on lui coupe le contrat. Sa fille est mariée avec un garde du « Centre », qui réfléchit d’y déménager bientôt avec sa petite famille. Mais pourtant, Cipriano se met à chercher une nouvelle stratégie...
OPINION: J’avais interrompu la lecture du „Siège de Lisbonne“: Le style de Saramago est bien si exigeant que d’y ajouter de le lire en français, qui n’est pas ma langue maternelle, revient à un vrai exploit. Alors je lui ai donné une deuxième chance avec « La caverne » que j’ai lue donc en allemand (« Das Zentrum ») etn comment dire, j’ai eu de la chance ! Je suis ravie du livre, pas seulement parce qu’il parle de manière bien crédible d’un potier et décrivant certains aspects de son travail très bien. Non, d’un coup son style sans points et virgules etc m’apparaissait beaucoup moins artificiel et lourd, mais presque rafraichissant dans les dialogues, accélérant la vitesse, y mettant du sel. Cela demande une attention au lecteur, mais on s’y habitue. Certains sujets du livre – comme par exemple la globalisation, un totalitarisme capitaliste, la mise à l’écart de tout ce qui appartient au passé dans une société anonyme etc. - sont graves. Pourtant on trouve aussi une certaine dose d’humour et des descriptions pleines d’humanité des relations en famille et amoureuses. Puis – pour les amateurs des chiens – il y a même une bonne place pour ce compagnon qui apparaît dans le moment le plus obscur. Quelques fois une certaine langage laconique semble contredire des propos graves, mais c’est la façon de l’auteur !
Peut-être trouvera-t-on l’importance du „centre“ sur la vie des hommes absurde ou grotesque, mais on peut y voir des critiques justifiés par rapport au «système ». Et la réalité n’est peut-être pas si loin que ça ! La fin du roman surprendra l’un ou l’autre : quel chemin choisir avec ou contre le système ?
Ce livre m’a fait apprécier Saramago et me donne envie, plus tard, d’y revenir. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Sam 9 Aoû 2008 - 23:07 | |
| - tom léo a écrit:
- J’avais interrompu la lecture du „Siège de Lisbonne“: Le style de Saramago est bien si exigeant que d’y ajouter de le lire en français, qui n’est pas ma langue maternelle, revient à un vrai exploit...
Bien que le français soit ma langue, j'avoue que j'ai déjà fait trois essais infructueux pour m'accrocher au Siège de Lisbonne... | |
| | | Eve Lyne Sage de la littérature
Messages : 1936 Inscription le : 08/08/2008
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 25 Aoû 2008 - 13:38 | |
| J'ai lu "les intermittences de la mort". J'ai beaucoup ri. J'ai découvert un auteur au style enlevé, qui accroche son lecteur.
Sans blaguer, je ne pensais pas que la disparition de la grande faucheuse poserait tant de problèmes : les pompes funèbres obligées de se reconvertir dans l'enterrement des animaux domestiques, les maisons de retraite qui ne peuvent plus accueillir personne faute de place, une mafia (renommée maphia) qui se met en place pour pouvoir faire mourir les personnes qui étaient condamnées avant que la mort décide de ne plus sévir, l'Eglise remise en question car l'immortalité était son domaine, etc. De plus, comme cela se passe au Portugal, dans une monarchie, le fils qui attend le trône n'est pas content du tout car sans le décès de son père il ne deviendra jamais roi.
L'auteur est d'une grande érudition. Il rappelle des légendes, des citations, des proverbes, etc.
N'éclissez donc la patte à la grenouille (en clair, ne traînez pas, expression citée par Saramego, un régal) : foncez sur la lecture de ce livre ! | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: José Saramago [Portugal] Lun 25 Aoû 2008 - 16:08 | |
| - Eve Lyne a écrit:
- J'ai lu "les intermittences de la mort". J'ai beaucoup ri.
N'éclissez donc la patte à la grenouille (en clair, ne traînez pas, expression citée par Saramego, un régal) : foncez sur la lecture de ce livre ! Je suis contente qu'il t'ait plu. Moi aussi j'ai parfois éclaté de rire pendant ma lecture et cela a surpris mon entourage (ce n'est pas souvent que je ris autant en lisant ) !
Dernière édition par Cachemire le Lun 25 Aoû 2008 - 16:54, édité 1 fois | |
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