Woody Allen

Mais cela ne m'empêchera pas d'aller voir le suivant.

Je vais rattraper la dernière semaine de juillet mon retard pris sur les sorties en salles, donc mon avis sortira à ce moment-là.

Avadoro a écrit:

Je vais rattraper la dernière semaine de juillet mon retard pris sur les sorties en salles, donc mon avis sortira à ce moment-là.

Ce sera une semaine sacrément chargée. Tu prévois combien de séances ?

Arabella a écrit:

Mais cela ne m'empêchera pas d'aller voir le suivant.

Et après tu t'étonnais que je puisse insister avec certains réalisateurs !

Moi, jvais l'attendre en dvd ce Woody. Ou ne jamais le voir.

C'est le moment de revoir un de ses classiques



Ombres et Brouillard (Shadows and Fog dans la version originale) est un film américain, écrit et réalisé par Woody Allen, sorti sur les écrans en 1992. Il est l'adaptation d'une pièce de théâtre "Death" écrite par Woody Allen en 1975.
•Synopsis
Dans une petite ville d'Europe centrale un étrangleur rôde. Kleinman, un employé sans envergure et nettement peureux, est recruté de force par la milice qui vient de se former. À mesure qu'avance la nuit, alors que les meurtres s'égrènent, Kleinman fait la connaissance d'une touchante avaleuse de sabre dont le couple est en péril.
Le film évoque l'univers absurde de Kafka, dans Le Procès notamment, où K. est réveillé par la police, et celui de Freaks pour le monde du cirque peuplé de personnages marginaux.
source: wikipedia


Parfois c'est bien de le retrouver dans un de ses films noir et blanc, un peu déjanté, avec beaucoup d'humour et une histoire qui emporte le spectateur dans un tour de magie... et absurde


plein d'acteurs connus dans des rôles secondaires comme ici Jodie Foster et John Cusack

Citation :

Ce film est un hommage aux maîtres du cinéma expressionniste allemand et à la force des illusions. Songe bercé de noir et de gris qui a pour cadre une ville d’Europe centrale. Façades sans fin, ruelles étroites, lumière directe, contours nets, contrastes, clairs-obscurs, angles de caméra étranges : tableau d’une beauté saisissante. Histoire drôle, enlevée, rythmée.
source

Pour info le ténor génial qui chante sous sa douche est un vrai grand chanteur d'opéra auquel Woody Allen a fait appel pour jouer dans son film. C'est Fabio Armiliato:



Dans To Rome with Love il chante "Pagliacci" de Leoncavallo.

Queenie a écrit:

Arabella a écrit:

Mais cela ne m'empêchera pas d'aller voir le suivant.

Et après tu t'étonnais que je puisse insister avec certains réalisateurs !

Il y a quand même de bon acteurs et de jolies images. Et on sourit parfois.

Quand au ténor sous la douche, c'est à ces petites détails qu'on reconnaît que Woody est américain. Parce qu'en Europe, la critique aurait crié au génie.

alors peut-être que je vais me laisser tenter

Arabella a écrit:

Avadoro a écrit:

Je vais rattraper la dernière semaine de juillet mon retard pris sur les sorties en salles, donc mon avis sortira à ce moment-là.

Ce sera une semaine sacrément chargée. Tu prévois combien de séances ?

On verra selon les horaires...sans doute quatre ou cinq.

kenavo a écrit:

Le film évoque l'univers absurde de Kafka, dans Le Procès notamment, où K. est réveillé par la police, et celui de Freaks pour le monde du cirque peuplé de personnages marginaux.

Parfois c'est bien de le retrouver dans un de ses films noir et blanc, un peu déjanté, avec beaucoup d'humour et une histoire qui emporte le spectateur dans un tour de magie... et absurde

Tout ça me plaît d'avance. Tu crois que ce film est pour moi Kenavo ?
J'aimerais vraiment arriver à trouver un film de Woo-Woo avec lequel j'accroche totalement !

colimasson a écrit:

Tout ça me plaît d'avance. Tu crois que ce film est pour moi Kenavo ?
J'aimerais vraiment arriver à trouver un film de Woo-Woo avec lequel j'accroche totalement !

hm.. difficile à dire..
déjà tu ne l'aimes pas trop en tant qu'acteur.. et il joue dans celui-ci le rôle principale.. puis, je ne sais pas si je conseillerais celui-ci pour essayer d'adhérer à son monde.. dommage, si je me souviens bien, tu ne comprends pas l'anglais à 100% parce qu'il est sur YouTube en version entier, mais en anglais sans sous-titre, tu aurais pû essayer le premier quart d'heure pour voir..

tu as essayé Annie Hall ou Manhattan? (là aussi il est l'acteur, mais pas si ... "énervant" )
Si tu n'accroches pas à un de ces deux-là, laisse-le de côté, Woo-Woo ( ) n'est pas pour toi

Annie Hall, je ne l'ai pas vu. Manhattan, moyen... Ce n'était pas tant Woo-Woo en tant qu'acteur qui me dérangeait, sinon sa capacité de propension à la niaiserie dès lors qu'il rencontre une jolie fille (qui se doit de l'aimer de toute la pureté de ses intentions, bien sûr, alors que lui est moche comme un pou).

colimasson a écrit:

lui est moche comme un pou).

L'amour est aveugle. Franchement, on connait tous des gens dont on se demande vraiment ce qu'ils se trouvent, non ? Et des gens qui ont moins de charme, d'intelligence, de culture que Woody pour compenser...
En plus, Diane Keaton était vraiment avec Woody, dans la vraie vie, alors ça donne un peu de crédibilité, non ?

Tu devrais quand même essayer Annie Hall (Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur, etc.). On mesure mieux le gouffre qui sépare ces deux films de ce qu'il a pu faire ces dernières années, globalement...

Annie Hall est mon préféré de Woo-Woo (j'adore le petit nom que tu lui as donné Coli ) et j'ai longtemps cherché dans ses films suivants à retrouver cette même ambiance, et je ne l'ai jamais retrouvée tout à fait mais je suis restée une inconditionnelle malgré tout. Je pense que tu pourrais essayer au moins celui-là, c'est un incontournable.
Intérieurs et Hannah et ses soeurs sont mes n° 2 et n° 3.

eXPie a écrit:

colimasson a écrit:

lui est moche comme un pou).

L'amour est aveugle. Franchement, on connait tous des gens dont on se demande vraiment ce qu'ils se trouvent, non ? Et des gens qui ont moins de charme, d'intelligence, de culture que Woody pour compenser...
En plus, Diane Keaton était vraiment avec Woody, dans la vraie vie, alors ça donne un peu de crédibilité, non ?

Pour l'anecdote, je ne savais pas qu'ils étaient vraiment ensemble. Mais ça reste tout de même un point qui m'énerve dans la plupart des films, sans que cela ne se cantonne uniquement à ceux de Woo-Woo : ces vieux qui ne cherchent à pé-cho que de la chair fraîche et de meilleure qualité. Et l'histoire d'amour se construit sur la base d'un échange suspect : "je te donne ma culture et mon intelligence contre ta beauté, ô toi être vide de toute substance !"

Bien sûr, chaque couple se forme sur la base d'un échange réciproque, de bons et loyaux services. Mais ce qui m'embête, c'est le peu de variations dans les rôles que s'arroge Woo-Woo lorsqu'il se met en scène dans une relation amoureuse.