Cinemamuz

incontournable des films qui marcheront toujours. Absolument bordélique et insensé, second degré de la mort, mais teigneux et impressionnant... le très joyeux :


Piège à Hong-Kong (Knock Off)

Réalisé par le déconnecté et amusé/amusant Tsui Hark et chorégraphié par Sammo Hung (pour ça que c'est méchant). Deux joyeux drilles joués par deux joyeux lurons : Rob Schneider et Jean-Claude (pas extra joyeux en fait à ce moment là) businessent des jeans et oh surprise : il y a des contrefaçons (knock off) de leurs jeans. Et leur boss, jouée par la symaptique Lela Rochon n'est pas contente et les soupçonnent de profiter de la magouille... par là dessus se rajoutent des flics, des terroristes et des services secrets (Paul Sorvino qui meurt plusieurs fois !). On ne sait plus qui est qui et qui fait quoi. Tant pis, c'est fait pour : divertissement et action. Comédie, rires, hallucinations (à les pompes de Jean-Claude qui se décollent de l'intérieur... ).

Hum.

Moi, j'apprécie (en plus extra casting de second rôles qui cabotine un max). Tsui Hark est trop fort en trucs zarbis et efficaces, bref ça marche quoi tout ça

Bande-annonce

pot pourri d'action, de loufoquerie et de têtes d'ahuris

The Jane Austen Book Club

Citation :

La Californie contemporaine est évidemment bien loin de l’Angleterre du début du 19ième siècle, mais certaines choses ne changent jamais. Nous nous posons toujours autant de questions sur l’amitié, le mariage, les tribulations sentimentales, la position, et les us et coutumes sociales que Jane Austen au début du 19ième siècle. The Jane Austen Book Club nous laisse découvrir la vie de cinq femmes et d’un homme en Californie contemporaine à travers les contemplations pleines d’esprit de leur écrivain favori. Six membres d’un club de lecture, six livres de Jane Austen, six histoires entremêlées qui se déroulent sur une période de six mois dans la ville moderne très animée de Sacramento et ses faubourgs entourés d’une nature splendide. Les histoires contemporaines ne sont jamais servilement parallèles aux intrigues d’Austen, mais les six personnages découvrent des similitudes, prédictions, avertissements et pensées profondes sur leurs propres vies dans leurs romans préférés de Jane Austen...

On ne doit pas connaître les livres de Jane Austen.. mais cela peut aider à suivre un peu
mais même la connaissance des films tirés des romans de Jane Austen suffit
à part cela c'est un film agréable.. trop sucré, je l'avoue.. mais l'hiver approche - on doit se faire du bon pour survivre à cela


et en occurrence on peut tomber sur Maria Bello qui est.....

TRAVAUX


La super avocate qui aide les sans papiers à ne pas se faire expulser embauche certains d'entre eux pour faire des travaux chez elle. Un petit chantier qui va devenir un vrai Bordel.

C'est agréable, sans aucune prétention.
ça tombe pas trop dans la caricature et le bien pensant.
Y'a des moments étranges de danse.
Carole Bouquet est assez classe.

ça fait du bien quand ça fait des trous d'air frais dans la tête.

Oreiller a écrit:

Ma référence dans le genre reste Wayne's World avec la dialogue hallucinant d'Alice Cooper et la scène de Bohemian Rhapsody.
Dans The Pick of Destiny, j'avoue avoir beaucoup aimé le duel contre le diable mais c'est sur que ça reste assez moyen.

Ah oui Wayne's World!!!

Vous ai-je parlé de DIKKENEK?



Réalisé par Olivier Van Hoofstadt
Avec Jean-Luc Couchard, Dominique Pinon, Jérémie Renier, Marion Cotillard, Mélanie Laurent, Florence Foresti, Catherine Jacob...
Film français, belge. Genre : Comédie
Durée : 1h 24min. Année de production : 2006

JC et Stef sont des amis d'enfance. Inséparables.
JC est LE dikkenek belge, un donneur de leçon à cinq balles, un moralisateur, un tombeur de minettes, bref une grande gueule intégrale, coiffé comme un peigne.
Stef est tout le contraire. Il cherche le Grand Amour, mais vu qu'il ne bouge pas de son lit, il va avoir du mal à trouver.
JC lui explique donc la méthode : faire un sans-faute du point A jusqu'au point G.
Entre ces deux points, JC et Stef vont croiser : Claudy, le directeur des abattoirs d'Anderlecht et photographe amateur (de chair fraîche), Greg, un bébé-manager vissé à son portable, Natacha, une nymphette désoeuvrée, Fabienne, une pauvre petite fille de riches, Nadine, une institutrice qui préfère la schnouf aux tables de multiplication, ainsi que Laurence, une commissaire de police fâchée avec les conjugaisons, qui ponctue ses phrases à coups de gros calibre. (Allociné)

C'est jubilatoire; un peu lourd parfois mais l'ensemble est tordant, hors norme.
Je pense que ce film te plairait Queenie (et à d'autres aussi, sans doute).

Je l'avais raté à sa sortie... c'est vrai qu'il m'avait bien tenté, il avait l'air un peu déjanté.

Pour la petite histoire, dikkenek vient du neerlandais, et se traduit littéralement par "gros cou", une sorte de grande gueule quoi.
Nous utilisons souvent ce terme à Bruxelles : quel dikkenek celui-là !

Et le gars en haut à droite de l'affiche est un humoriste connu en Belgique, même que je l'ai déjà rencontré dans un ascenseur chez Ikea. Grande gueule à l'écran mais plutôt timide en vrai

PRISCILLA FOLLE DU DESERT:

Déjà vu il y a bien longtemps et j'ai encore beaucoup aimé. Alors, forcément c'est caricatural, plein de clichés mais j'adore; c'est mon côté kitsch et disco qui ressort et se fait plaisir quand je regarde ce genre de films.

Le moine sacrilège

Shinkai a tous les vices : il fume, il boit, il joue, il se bat et il collectionne les aventures sexuelles avec les femmes. A l'image d'un yajuza, son dos est recouvert d'un imposant tatouage, mais celui-ci a la particularité d'avoir la forme du Bouddha ! En réalité, Shinkai n'est autre qu'un moine tombé dans la débauche.
Décidé à venir en aide à un jeune couple qui tente d'échapper à l'enfer du crime et de la prostitution, il s'oppose au complot d'un clan yakuza qui a corrompu les hauts dignitaires religieux pour s'assurer le contrôle du quartier des plaisirs de Tokyo. Pour parvenir à ses fins, "le moine sacrilège" n'a d'autre choix que de recourir à la violence...

Avant la série "Baby cart", le rôle majeur et controversé du génial Tomisaburo Wakayama !

Nous dit le derrière de la jacquette (du pas pourri dvd hk video). Le film se situe donc dans la catégorie des divertissements violents : avec de la castagne et de l'humour et des petites musiques un peu funky. Rien d'extraordinaire au bout du compte, mais un film efficace avec un performant et ... génial Tomisaburo Wakayama, qui nous campe ce moine violent qui déambule avec humilité et bonhommie dans un monde sauvage et corrompu... comme tout justicier reconnu il tape très fort et que l'adversaire soit logique : yakuza ou "dignitaire religieux corrompu" ou n'ayant rien à voir avec la choucroute mais là quand même (Bunta Sugawara, l'habitué des films de Fukasaku) en moine juste là pour se battre), ça y va et ça finit de manière radicale.

C'est le premier d'une série de films avec le personnage apparemment.

Bon petit moment sans exagérer et surtout pour le personnage que ce petit film au moins aussi efficace que vieillot (un peu) et pas sans charme.

Un possible clin d'oeil au personnage de Zatoichi de son frère Shintaro Katsu en passant et hop c'est emballé pour Tomisaburo Wakayama.


content.


très content ?


pas content...


pas content du tout !

J'adore tes photos et légendes! D'un coup, on comprend tout!

À cause de notre dernier membre inscrit Yzabo01 j'ai dû penser à ce film


Ladyhawke, la femme de la nuit

ou Michelle Pfeiffer porte le nom de Isabeau

Citation :

Synopsis
Philippe Gaston (Matthew Broderick) est un adolescent emprisonné dans le donjon d'Aquila. Réussissant tout de même à s'échapper, il croise la route du Capitaine Étienne de Navarre (Rutger Hauer) ancien chef de l'armée d'Aquila. Amoureux d'Isabeau d'Anjou (Michelle Pfeiffer) il fit naître une jalousie chez l'évêque d'Aquila (John Wood). Ne pouvant vivre leur amour heureux sous le regard de l'évêque ils décident de fuir Aquila. L'évêque au courant de cela lance l'armée à la recherche du Capitaine en fuite. L'évêque se rendant compte qu'il ne pourra jamais avoir Isabeau à ses côtés fait de même pour Étienne de Navarre en pactisant avec le diable. Suite à ce pacte Étienne et Isabeau ne pourront à aucun moment de la journée se retrouver ensemble. Le jour Isabeau est un faucon et la nuit Étienne de Navarre devient un loup.

Parcourant les chemins ensembles, Philippe Gaston découvre petit à petit leur dur secret et décide de les aider à briser la malédiction même s'il ne connaissait guère le moyen. Un événement obligea le capitaine de Navarre à retrouver l'abbé auquel il avait confessé son amour à Aquila et qui l'avait trahi en le dénonçant à l'évêque. L'abbé souhaitant réparer son erreur lui vient en aide et lui propose de faire avec lui le voyage jusqu'à Aquila car il a trouvé le moyen de briser ce fléau lancé par l'évêque. Étienne de Navarre toujours en froid avec l'abbé refuse d'entendre l'astuce trouvée par l'abbé pour les sauver mais accepte tout de même d'aller à Aquila pour… tuer l'évêque. Philippe Gaston croit en l'abbé et va tout tenter pour convaincre le capitaine. Après de multiples péripéties celui-ci se laisse convaincre et accorde un temps à l'abbé pour que s'accomplisse le miracle sinon après il tuera l'évêque ce qui signifiera leur condamnation définitive.

C'est du fantastique (que je n'aime pas en principe), c'est amour-mour (pour lequel je ne tombe pas si facilement) et c'est pop-pocorn (qui est parfois trop collant)

mais voici une combinaison qui est tout à fait du Cinemamuz - et qu'il faut aussi de temps en temps

kenavo a écrit:

À cause de notre dernier membre inscrit Yzabo01 j'ai dû penser à ce film


Ladyhawke, la femme de la nuit
[...]

C'est du fantastique (que je n'aime pas en principe), c'est amour-amour (pour lequel je ne tombe pas si facilement) et c'est pop-pocorn (qui est parfois trop collant)

mais voici une combinaison qui est tout à fait du Cinemamuz - et qu'il faut aussi de temps en temps

Ouais, c'est cul-cul-la-praline les doigts plein de popcorn salé et de coca-cola.
(Mais ça m'avait quand même limite ennuyé aussi, ce truc... peut-être parce que ça vieillit pas très bien ce genre de film ?)

Une copine le vénérait ce truc... je lui avais offert du coup... et m'étais fait une séance vidéo avec elle... J'ai pas compris cette "passion dévorante".

Queenie a écrit:

(Mais ça m'avait quand même limite ennuyé aussi, ce truc... peut-être parce que ça vieillit pas très bien ce genre de film ?)
Une copine le vénérait ce truc... je lui avais offert du coup... et m'étais fait une séance vidéo avec elle... J'ai pas compris cette "passion dévorante".

ouais.. en quelque sorte.. mais moi j'adore quand ils disent que l'amour les déchire.. et on se retrouve cozy sans ces grands drames devant la télé

kenavo a écrit:

Ladyhawke, la femme de la nuit

Qu'est-ce que j'ai pu le regarder quand j'étais ado, ce truc! Je ne l'ai jamais revu depuis, peut-être qu'il a mal vieilli en effet.
Mais même à l'époque je trouvais que la BO (plages de synthé très 80s) allait super mal avec les images.

Nezumi a écrit:

kenavo a écrit:

Ladyhawke, la femme de la nuit

Qu'est-ce que j'ai pu le regarder quand j'étais ado, ce truc! Je ne l'ai jamais revu depuis, peut-être qu'il a mal vieilli en effet.
Mais même à l'époque je trouvais que la BO (plages de synthé très 80s) allait super mal avec les images.

découvert lors d'une rupture amoureuse et j'avais donc besoin de films avec happy-end.. peut être je ne le supporterais plus aujourd'hui