Que lisez-vous en juin?

aériale a écrit:

Epi a écrit:

Je suis toujours en train de lire Train de nuit pour Lisbonne. J'avance très très lentement

Oui, j'ai peiné moi aussi avec cette lenteur Epi. Et ça m'a laissé un sentiment mitigé.
Mais il t'en restera le meilleur peut-être?

J'apprécie vraiment ma lecture mais disons que je ne suis pas pressée de le lire, il n'y a pas d'impatience et je l'oublie presque parfois mais chaque fois que je l'ouvre et commence à lire, je suis contente. Donc petit bonheur tranquille, sans grande émotion donc oui, sentiment mitigé comme toi

Mais je suis très impatiente de commencer Le démon et le Bernadou

Je lis Les Vestiges du jour de Kazuo Ishiguro.

Je relis Granite Island : Portrait of Corsica (La Corse),de l'historienne anglaise Dorothy Carrington. Un récit de voyage que je conseille à tous les amoureux de la Corse, et ceux en particulier ceux qui s'intéressent à son archéologie.

Je lis La muette de Chahdortt Djavann...

Un livre dont il est très dur de se détacher.
Apre et sans fioritures... un vrai coup de poing.

Je commence La princesse et le pêcheur de Minh Tran Huy.

Nezumi a écrit:

Je relis Granite Island : Portrait of Corsica (La Corse),de l'historienne anglaise Dorothy Carrington. Un récit de voyage que je conseille à tous les amoureux de la Corse, et ceux en particulier ceux qui s'intéressent à son archéologie.

Dorothy Carrington était très appréciée ici. Je n'ai encore rien lu d'elle. C'est une très bonne idée ! Je vais m'y mettre.

Une petite relecture s'impose en ces nuits trop chaudes : Le songe d'une nuit d'été de Shakespeare

chrisdusud a écrit:

Dorothy Carrington était très appréciée ici. Je n'ai encore rien lu d'elle. C'est une très bonne idée ! Je vais m'y mettre.

La Corse est passionnant et c'est son ouvrage le plus connu.

Citation :

Présentation de l'éditeur
L'art du portrait humain monumental est-il né en Corse ? La démocratie parlementaire y puise-t-elle ses racines ? Lady Carrington l'affirme, en décrivant les guerriers protohistoriques de Filitosa, et en analysant la constitution (1755) de Pascal Paoli, sujet de ses recherches ultérieures. L'auteur témoigne des multiples aspects de la culture corse - cette culture insulaire spécifique fondée sur une haute idée de l'homme - en se référant non seulement à l'archéologie et à l'histoire, mais à ses nombreuses rencontres au fil des années : des bergers, des agriculteurs et des pêcheurs, des bardes, des voyantes et des guérisseuses, un bandit réhabilité, des prêtres, des notables, des intellectuels et bien sûr des autonomistes. Cet ouvrage a été couronné par le prix Heinemann de la Royal Society of Literature.