Que lisez-vous en décembre ?

Fini "Syngué sabour", j'entame "L'arme secrète de Louis Renault" de Thierry Bourcy (policier)

Melnitz de Charles Lewinsky

La littérature monstre de Pierre Jourde.
Je feuillete au gré des articles, loin de tout retenir. C'est passionnant.

Citation :

Littérature monstre : parce qu’il s’agit ici de la littérature dans les formes excessives qu’elle commence à prendre à la fin du XIXe siècle. Dans son désir d’absolu, le texte aspire à la monstruosité, sous la forme du détachement de tout, valeurs, humanité, sens même. Et dans la mesure où il s’agit encore de représenter l’humain, ce n’est plus que sous la forme de ce « monstre incompréhensible » dont parle Pascal. Il est question de loufoquerie, de labyrinthes, de doubles, d’îles étranges. Il est question, de Gracq, Mallarmé, Nerval, Borges, Kafka, Jean Lorrain, Schwob, Georges Fourest, Tristan Derème, André Frédérique, Claude Louis-Combet, Pierre Michon, Allais, Erik Satie, Vialatte, Huysmans, de l’étrange Francis Poictevin, de psychiatres de la belle époque et de créateurs d’opérettes dans des asiles de fous : des montreurs de singularités, dont le mystère résiste obstinément. Ils n’en tirent pas des lois générales. Ils en font des objets de désir, de fascination, d’amour ou de répulsion. Ils en mettent en scène, par le langage, le caractère irréductible.

Hortense et Queenie d'Andrea Levy.

Sophie a écrit:

Hortense et Queenie d'Andrea Levy.

Un truc qui m'a glissé entre les mains 133 milles fois.

Nibelheim a écrit:

La littérature monstre de Pierre Jourde.
Je feuillete au gré des articles, loin de tout retenir. C'est passionnant.

Citation :

Littérature monstre : parce qu’il s’agit ici de la littérature dans les formes excessives qu’elle commence à prendre à la fin du XIXe siècle. Dans son désir d’absolu, le texte aspire à la monstruosité, sous la forme du détachement de tout, valeurs, humanité, sens même. Et dans la mesure où il s’agit encore de représenter l’humain, ce n’est plus que sous la forme de ce « monstre incompréhensible » dont parle Pascal. Il est question de loufoquerie, de labyrinthes, de doubles, d’îles étranges. Il est question, de Gracq, Mallarmé, Nerval, Borges, Kafka, Jean Lorrain, Schwob, Georges Fourest, Tristan Derème, André Frédérique, Claude Louis-Combet, Pierre Michon, Allais, Erik Satie, Vialatte, Huysmans, de l’étrange Francis Poictevin, de psychiatres de la belle époque et de créateurs d’opérettes dans des asiles de fous : des montreurs de singularités, dont le mystère résiste obstinément. Ils n’en tirent pas des lois générales. Ils en font des objets de désir, de fascination, d’amour ou de répulsion. Ils en mettent en scène, par le langage, le caractère irréductible.

Peut-être pouras -tu nous citer quelques passages choisis?...

Après Un été au bord du lac de Alberto Vigevani, j'aborde Le requiem de Terezin de Josef Bor.

Marie a écrit:

Melnitz de Charles Lewinsky

je te souhaite bonne lecture

Hrabal : Une trop bruyante solitude.

Je viens de finir Ensembles c'est tout de Anna Gavalda, que j'ai vraiment adoré. Et j'ai entamé Moi l'enfant autiste, de je ne sais plus qui. Pour le moment j'accroche vraiment beaucoup, et je me dis que ça doit être vraiment dur d'élever un enfant autiste.

Annabelle.W a écrit:

Je viens de finir Ensembles c'est tout de Anna Gavalda, que j'ai vraiment adoré. Et j'ai entamé Moi l'enfant autiste, de je ne sais plus qui. Pour le moment j'accroche vraiment beaucoup, et je me dis que ça doit être vraiment dur d'élever un enfant autiste.

Livre de Judy Barron et Sean Bardon, me dit un site commercial.

Du côté de chez Swann, Proust.
Libres enfants de Summerhill, Neill
La trame conjugale, Kaufmann

L'histoire de Tönle de Maria Rigoni Stern, auteur italient recommandé par Bix ou Kenavo ou sans doute les deux

Arabella a écrit:

L'histoire de Tönle de Maria Rigoni Stern, auteur italient recommandé par Bix ou Kenavo ou sans doute les deux

surtout par Bix - moi je n'ai toujours pas trouvé le temps de lire ce petit livre

Qu'est ce que tu veux Kenavo, maintenant quand on me dit littérature italienne je pense tout de suite à vous deux.