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| Revue de littérature | |
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Auteur | Message |
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colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Revue de littérature Dim 4 Mar 2012 - 21:57 | |
| Toujours dans le Books n°29, un article sur le livre Nomade de Jeroen Toirkens, agrémenté de quelques photos : - Citation :
- Pendant douze ans, le photographe hollandais Jeroen Toirkens a partagé la vie des derniers peuples nomades, notamment ceux du Grand Nord. Il en a rapporté des photos qui portent témoignage de leur désarroi face aux avancées de la modernité.
Un chasseur kazakh et son aigle, à Bayan-Olgii, en Mongolie. Les oiseaux de proie sont relâchés après cinq ans de bons et loyaux services. Les Nenets, éleveurs de rennes du nord de la Russie, furent contraints par le pouvoir soviétique de s’installer dans des villages dans les années 1950. Ils continuent aujourd’hui de mener une existence fragile, l’absence de perspective engendrant alcoolisme, violence domestique et suicides. La petite ethnie des Dukhas fait paître ses troupeaux dans la taïga boisée qui s’étend au nord de la Mongolie, où les températures hivernales peuvent chuter au-dessous de -50°C. Une jeune femme de l’ethnie mongole des Kalkhs. Bien des jeunes traversent une crise d’identité. Ils ne veulent pas renier leurs traditions et leurs origines, mais sont attirés par l’université et la ville. Lors du festival annuel de Naadam, en Mongolie, les participants, issus de différentes ethnies nomades, se livrent à des concours de lutte, d’équitation et de tir à l’arc. Pour les Inuits, la pêche à la baleine n’est qu’un moyen de se procurer à manger et son produit est partagé selon des règles séculaires. C’est un véritable ciment social.Extrait d'article : ICI | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Revue de littérature Mar 6 Mar 2012 - 19:36 | |
| Dans le Télérama de cette semaine (daté de demain, donc) se trouve un audio-livre : Haruki Murakami - La baie de Hanalei ; Les Crabes (récits tirés du recueil Saules aveugles, femme endormie), ainsi que des extraits de 1Q84. Textes lus par Irene Jacob. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Revue de littérature Mar 6 Mar 2012 - 20:39 | |
| Comment l'a tu eu avant tout le monde ? | |
| | | mimi54 Zen littéraire
Messages : 6043 Inscription le : 02/05/2010
| | | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Revue de littérature Mar 6 Mar 2012 - 20:49 | |
| Et bien pas tous Mimi, moi par exemple je l'ai dans ma boîte uniquement le mercredi. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Revue de littérature Mar 6 Mar 2012 - 20:57 | |
| Il y a 6 pages de nouveautés japonaises, que je ne lirai pas encore vraiment parce que souvent, c'est un peu trop résumé. En tout cas, ils disent du bien du recueil de nouvelles de Yoshimura Akira, notamment. Ainsi que de L'Aiguillon de la Mort, le pavé de Toshio Shimao (642 pages ; c'est rare, les gros livres japonais traduits). Bref, ça promet pas mal de lectures intéressantes, avec le risque que les éditeurs aient tous brûlé leurs "cartouches" de l'année en une fois, parce que le Salon du livre approche (j'irai probablement dimanche, il y a notamment Oé, enfin, il est aussi présent la veille). A propos de Japon et de revue, il faut signaler : "La Nouvelle Revue Française, N° 599-600, mars 201 : Du Japon“ - Monsieur l'Editeur a écrit:
- Du Japon, le titre donné à ce numéro de la NRF, doit d'abord être entendu comme signifiant à la fois : "à propos du Japon", et "depuis le Japon". On trouvera ici des textes consacrés au Japon par des écrivains français d'aujourd'hui et des textes venus du Japon, romans, poèmes, essais, dont on verra qu'un certain nombre d'entre eux, par un effet de symétrie, portent sur la France, et sur ses écrivains. De sorte, selon les mots d'Augustin Berque, que s'établisse entre les deux littératures "un rapport dialectique, en spirale, où c'est la différence même qui inspire, mais pour la construction d'une avancée commune". Mais Du Japon signifie encore "avec le Japon", pour ce numéro qui paraît un an après la catastrophe ayant frappé le pays, catastrophe qu'évoquent plusieurs des contributions de ce volume et particulièrement l'entretien exceptionnel que nous a accordé Kenzaburô Ôé, l'une des principales consciences du Japon et son plus grand romancier d'aujourd'hui.
Sinon, je ne suis pas particulièrement pistonné, pour Télérama. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Revue de littérature Jeu 8 Mar 2012 - 9:44 | |
| C'est le Printemps des poètes.. et Le Matricule des Anges s'offre une poètesse en couverture (dossier) site | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Revue de littérature Jeu 8 Mar 2012 - 9:50 | |
| - kenavo a écrit:
- C'est le Printemps des poètes.. et Le Matricule des Anges s'offre une poètesse en couverture (dossier)
site (et une double page à Maurice Chappaz qui n'apprendra peut-être rien à ceux qui le connaissent mais qui donnent des envies de Valais et... d'Afghanistan à ceux qui, comme moi, ne le connaissent pas (encore)). | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| | | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Revue de littérature Sam 24 Mar 2012 - 22:02 | |
| Pour un petit aperçu du Books du mois de mars (plus là pour très longtemps), l'édito du dossier sur le Japon : Vers un nouveau modèle japonais ? - Citation :
- Le Japon a connu de pires catastrophes. Le séisme qui a ravagé la région de Tokyo et Yokohama en 1923 a fait 140 000 morts et les bombes atomiques lâchées sur Hiroshima et Nagasaki en 1945 en ont fait 200 000. Pour dévastateur qu’il fût, le raz-de-marée de 2011 a causé 16 000 morts. Pourtant, comme en témoignent les articles et entretiens que nous publions, le traumatisme vécu par le pays est jugé par les écrivains et autres intellectuels d’une ampleur comparable à celui éprouvé à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il y a trois raisons à cela, semble-t-il.
D’abord les perceptions ont changé : même si cette tragédie est finalement limitée dans ses effets immédiats, elle est l’événement le plus terrible vécu par ce pays depuis soixante-six ans, soit près de trois générations. Pour la majeure partie de la population, il n’y a pas de précédent. Le changement de perception vient aussi de l’évolution du niveau de vie et du confort, sans commune mesure avec ce que la société nippone connaissait dans la première moitié du XXe siècle. Comme l’observe un écrivain âgé, qui a vécu enfant la Seconde Guerre mondiale (p. 29), les transformations du mode de vie furent telles que le principal risque ressenti par les Japonais ces dernières décennies était psychologique : les troubles mentaux associés à une société « déjantée », en perte de repères. Littérature et cinéma en ont fait leur miel. D’une certaine façon, l’événement a remis les pendules à l’heure, il a ramené les Japonais à la réalité physique.
Deuxième raison pour laquelle ce séisme localisé a été et continue d’être vécu comme un traumatisme national : la conjonction inédite de deux types de catastrophe, l’une naturelle, l’autre d’origine humaine, liée au progrès technique. De surcroît, l’humain n’est pas ici l’étranger, comme à Hiroshima, mais le Japonais lui-même, si fier des prouesses technologiques de son pays. Comme l’a confié Haruki Marukami à un journaliste du New York Times, l’accident nucléaire de Fukushima, résultat d’une consternante accumulation de négligences, est une « blessure que les Japonais se sont infligée eux-mêmes (1) ».
Ce qui nous conduit à la troisième raison : le drame s’est produit à un moment déjà très douloureux pour l’amour-propre de la nation. Ce pays qui a en effet efficacement rivalisé avec les États-Unis dans de nombreux domaines, au point de faire croire à certains qu’il prendrait l’avantage, vit depuis une vingtaine d’années sous le signe de la stagnation. Après avoir connu ses trente glorieuses, l’économie japonaise n’a plus progressé que de manière poussive depuis 1990 et la crise financière de 2008 l’a plongée dans une récession profonde. Symbole fort, ce « satellite de la grande civilisation chinoise » (p. 35) a appris en 2010, à la veille du séisme, que son économie pesait désormais moins que celle de la Chine. Aujourd’hui, le pays renoue avec l’impensable, un déficit commercial. Et dans toutes les strates de la société se fait sentir l’ombre portée du vieillissement et du déclin démographique.
Mais « il n’y a pas de nuit sans qu’un autre jour se lève », écrit un poète (p. 27), et les textes que nous avons rassemblés dans ce dossier témoignent tous du choc salutaire engendré par le désastre. Un nouveau Japon est à inventer, fondé sur des bases plus saines, sur une conscience de soi plus lucide. « Les gens ne voient plus l’Amérique comme un modèle, dit encore Marukami. Nous n’avons plus de modèle. Il nous revient d’établir le nouveau modèle ». Wishful thinking ? Source Dossier et reste intéressants. Magazine toujours fidèle à lui-même ! | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Revue de littérature Lun 21 Mai 2012 - 14:18 | |
| reçu avec un peu de retard parce qu'ils avaient perdu mon abo, mais le voilà: avril-mai de PAGE des Libraireset cela reste un de mes magazines préférés pour me renseigner sur les sorties de livres | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Revue de littérature Lun 21 Mai 2012 - 14:30 | |
| Je viens de le feuilleter ICI. C'est malin, j'ai repéré un roman pakistanais et des nouvelles de Fiona Kidman. Trop de tentations | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Revue de littérature Lun 21 Mai 2012 - 14:39 | |
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| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Revue de littérature Ven 29 Juin 2012 - 11:41 | |
| J'ai bien peur de ne rien comprendre à la poésie "post-moderne"... L'intranquille n°2 (premier semestre 2012) En ce moment, les magazines « undeground » se portent bien (paradoxe, quand tu nous tiens !). Enième rejeton de la portée, le magazine de L’Intranquille continue sa percée en publiant ici le deuxième numéro du titre. Cette revue cherche clairement à se définir par des critères de qualité qui concernent à la fois la forme et le fond de l’ouvrage. Du côté de la forme, on sort le grand jeu du papier épais, on s’essaie à un format inhabituel ou à une typographie qui ne court pas les pages ; du côté du fond, le lecteur s’attend à découvrir des articles de derrière les fagots, loin des thèmes traités en long, en large et en travers dans la presse classique. De l’underground, des valeurs, une envie de se différencier ? C’’est tout bon, mais à trop en faire, on risque de glisser vers l’obscurantisme, la prétention et le mépris. Tiens, tiens… Ne serais-je pas en train de décrire le cheminement à travers pages de L’Intranquille ? Le credo de la rédaction semble très clairement inspiré des mouvements de protestation qui se sont déchaînés après la publication du petit Indignez-vous de Hessel. Mais lisez plutôt : - Citation :
- « Adapté à notre deuxième décennie du siècle, faire de cette notion d’intranquillité, un lieu de mouvements, de réflexions et nous restons présents au monde : après « dégage » à propos du début des révolutions méditerranéennes en mars 2011, voici « dégradations du triple A » confié à des graphistes aux poètes « visuels » ou « spatialistes ». »
Après tout, pourquoi pas ? Si la plupart a compris que la lutte armée menée à travers les média de communication a peu d’impact sur l’évolution réelle des mentalités et des modes de gouvernement (en tout cas en France), il n’est absolument pas néfaste que certains se livrent encore farouchement au combat. On se demande avec curiosité quels seront les moyens employés par ce magazine littéraire pour mener à bien sa lutte. Les premières pages s’ouvrent sur des extraits d’ouvrages poétiques écrits par de parfaits inconnus. « Hourrah ! » se dit-on, il existe encore des moyens de faire entendre la voix des méconnus du paysage littéraire ! Hélas, on comprend rapidement ce qui avait retenu ces écrivains dans l’ombre de leur anonymat… Leur poésie n’est pas tranquille, c’est certain. Les mots se baladant dans tous les coins de la page, passant du français à l’anglais sans se poser de question, et se permettent des libertés de typographie ou de ponctuation qu’on finit par ne plus compter. Le tourbillon des audaces visuelles se déchaîne sous nos yeux, non pas pour nous provoquer et nous perturber dans nos habitudes de lecture qui, soit dit en passant, ont déjà été remises en cause tous les jours depuis le début du 20e siècle (et même avant), mais pour cacher le grand vide qui caractérise le sens des « poèmes ». On ne dit rien, on fait du remplissage qui fait clignoter l’œil de surprise mais qui amollit le cerveau et le plonge dans un état de torpeur redoutable : - Citation :
- « bientôt paradeuses modèles & depuis
I can get no satisfaction je n’essaie plus & depuis les écailles ne tombent-elles des yeux qu’a- vec la vie ? » (Christophe Stolowicki) Si cela ne vous suffit pas : - Citation :
- « j’aimais les coquelicots
mais j’en vois très peu aujourd’hui j’aimais les pêches j’aimais les abricots j’aimais beaucoup les pêches-abricots. » (Emmanuelle Imhauser) Mais ne soyons pas ingrats, et sachons reconnaître les bribes de révolte qui parsèment, par-ci, par-là, ces pages intranquilles de tranquillité : - Citation :
- « Z’allez voir c’que z’allez voir : Créer c’est moins naïf que ça : Créer c’est d’abord détruire […] »
(Rorik Dupuis) Tout au plus aura-t-on réussi à déclencher en vous la passion folle du rire. C’est cela l’intranquillité : croire que l’on s’endort, commencer à baver sur les pages en papyrus classieuses de ce magazine, et finir écroulé de rire par de vaines prétentions à la bravade de mœurs. Les références au dadaïsme sont nombreuses, parfois même clairement indiquées. Le problème, c’est que le dadaïsme ne se contente pas d’être une source d’inspiration : il devient clairement la base d’un plagiat effronté, et représente le triomphe d’un mouvement vieux de trois quarts de siècle sur des esprits à peine extraits de leur couveuse. L’Intranquille revendique fièrement la mise en avant de ses écrivains inconnus (ou presque) du grand public, mais son effet retors est de faire croire au lecteur que finalement, les écrivains inconnus mériteraient bien de rester reclus pour un bon moment encore… Poursuivons notre découverte… La suite propose au lecteur une compilation de dessins sur le thème de la perte du triple A. On ne pouvait pas trouver meilleur cheval de bataille… Les « poètes graphiques » se succèdent, les variations en noir et blanc (sobriété oblige) ne permettant malheureusement pas de prendre conscience de l’esthétique supposée de leur travail. Ne parlons pas de leur message : on a compris avant de ciller où chaque contributeur veut en venir. Ce n’est pas la surprise, le questionnement ou la réflexion qui viendront bouleverser le lecteur, tout juste une confirmation de ce qu’il pensait déjà : L’Intranquille se veut contestataire et totalement dénué de recul critique sur sa propre pensée. Suit un dossier concernant Friederike Mayröcker, peu connue dans nos contrées. La progression dans la découverte est intéressante : des éléments de biographie, une interview, puis des extraits de son œuvre se proposent de nous faire partager les éléments de son univers. On espère s’accrocher là à du solide mais la réception est violente, encore une fois. Les seuls textes proposés sont fidèles à ceux que L’Intranquille nous a déjà donné l’occasion de lire tout au fil des pages précédentes : - Citation :
- « […] –ah cette pression de saisir ta
Main pour ne pas céder au besoin de Devoir me jeter dans l’abîme (au sans-flor) Quand le gauche l’œil malade se mit à larmoyer : les cils 1 pure fontaine pulsante 1 pluvieuse ondée les larmes lachrymae » - Sur le Cobenzl – Pas la peine de mentionner le contenu du reste du magazine… Des critiques d’ouvrages obscurs qui ne donnent pas envie d’être lus, des extraits de journaux intimes à en faire désespérer de l’humanité, et l’extrait d’un témoignage sur Maupassant, peut-être ce qu’il y a de plus intéressant –car le moins prétentieux- dans tout ce magazine. L’Intranquille ne laisse pas tranquille, en effet. On croirait presque qu’il s’agit là d’une parodie et que l’objectif de la rédaction est de se foutre de son lecteur –de celui qui aurait peut-être eu envie de lire quelque chose de différent, et de découvrir des pans méconnus et de qualité de la littérature. En cherchant à se distinguer de l’offre de masse mais en ne proposant rien qui ne parvienne à l’égaler (c’est un comble), L’Intranquille nous donne envie de retourner rapidement à nos grands kiosques. Hé, c’était peut-être leur but ?! | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Revue de littérature Ven 29 Juin 2012 - 13:17 | |
| hé bé jolie descente en règle et merci pour les extraits ! t'es-tu déjà penché sur Vacarme, coli ? des articles de fond sur des sujets d'actu et parfois le désir d'aller à rebours des idées révolutionnaires pour pointer du doigt la pâle réalité du quotidien. Je ne la lis que rarement mais de temps en temps cette revue me retient. | |
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| Sujet: Re: Revue de littérature | |
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