Que lisez-vous en octobre ?

Chatperlipopette a écrit:

Je commence La grammaire de Dieu . J'ai lu la première nouvelle....décapante....j'aime

décidemment tu es une tentatrice !

Armor-Argoat a écrit:

La rose pourpre et le lys de Michel Faber, tome2. Conquise pour l'instant !

me demande pourquoi je laisse ce livre en attente depuis si longtemps...

Hjalmar Bergman, avec
Grand-Mère & Notre Seigneur (1921)
Les Mémoires d'un mort (1918)
Je n'ai véritablement commencé le premier que j'attends de terminer pour entreprendre la lecture du second en suédois.

L'écriture est légère, le ton doucement libre, et parfois fantaisiste. Une idéale lecture de vacances?

pas de veine avec mes dernières lectures... abandon des "veilleurs" de Message, de "Atlantis" de Gibbins, et aujourd'hui de "la prophétie des glaces" de Simonay !

pour ce dernier, je n'ai tenu que jusqu'à la 87ème page... l'auteur se veut dans la lignée de Robert Merle (Malvil) et de [color=red]Barjavel (les dames à la licorne)...

c'est plutôt un genre de "da vinci code" à la française... une écriture enfantine, de grosses ficelles déjà utilisées par tant d'autres... et une accumulation de légendes archi-connues...

je vais laisser de côté le genre thriller pour repasser à la littérature... mais avant, "petite philosophie des blagues et autres facéties" de Jim Holt, que je viens juste de recevoir par la poste grace à blog-o-book et son partenariat avec les éditions 10/18...

Burlybunch a écrit:

Hjalmar Bergman, avec
Grand-Mère & Notre Seigneur (1921)
Les Mémoires d'un mort (1918)
Je n'ai véritablement commencé le premier que j'attends de terminer pour entreprendre la lecture du second en suédois.

L'écriture est légère, le ton doucement libre, et parfois fantaisiste. Une idéale lecture de vacances?

J'ai honte, je ne connaissais pas, alors que Wikipedia me dit :"Considéré par les Suédois comme leur plus grand auteur du XXe siècle siècle".
Il faut que je me penche dessus...

eXPie a écrit:

Burlybunch a écrit:

Hjalmar Bergman, avec
Grand-Mère & Notre Seigneur (1921)
Les Mémoires d'un mort (1918)
Je n'ai véritablement commencé le premier que j'attends de terminer pour entreprendre la lecture du second en suédois.

L'écriture est légère, le ton doucement libre, et parfois fantaisiste. Une idéale lecture de vacances?

J'ai honte, je ne connaissais pas, alors que Wikipedia me dit :"Considéré par les Suédois comme leur plus grand auteur du XXe siècle siècle".
Il faut que je me penche dessus...

tu n'est pas seul ! je ne connai pas non plus !

Je ne sais pas s'il a jamais été populaire en France,
n'empêche qu'il a été assez traduit assez représentativement ces dernières années chez l'éditeur L'Elan, ce qui est plutôt heureux, alors n'hésitez pas à être curieux

La croix de perdition, de Andrea H.Japp

Ascension de Ludwig Hohl

Citation :

« Les bons alpinistes sont presque toujours des êtres laconiques » Repris, corrigé et réécrit six fois entre 1916 et 1940, avant de recevoir sa forme définitive (et un succès critique sans précédent) en 1975, Ascension est le récit d une ascension en montagne. Deux hommes partent à l assaut d un glacier ; les conditions sont mauvaises. Le malaise de l un s intensifie devant la dureté des éléments, à tel point qu il abandonne, et que l autre entreprend une ascension solitaire folle, mais consciemment assumée. Lente ascension, ou lente agonie ? On suit pied à pied les héros dans leurs trajectoires opposées, les accidents qui se multiplient, et les songes dont ils peuplent la montagne... Labyrinthe de glace sans trace humaine, ni perspective, et bordé d'abîmes, celle-ci prend un relief fantasmatique et monstrueux. Dans cet univers à la fois transparent et ténébreux, où la réalité tend à se dissoudre, peuvent surgir des événements décisifs et tragiques. L'écriture à ellipses de Ludwig Hohl fascine par sa minutie et sa sobriété. L'auteur tente de percer la personnalité de la montagne à travers ses couleurs, ses méandres, ses formes, son climat... Ascension est une parabole impeccable, dans la lignée du Vieil homme et la mer d Hemingway, ou du Moby Dick de Melville.

Ludwig Hohl, voilà quelqu' un de très interessant !

La lecture est apre souvent, cette prose est dure comme le granit et aussi dénuée que lui...
Il faudra ouvrir un fil !

Ludwig Hohl a écrit un jour :

Prendre la lumière à meme la nuit.

Je lis La lamentation du prépuce de Shalom Auslander. Marrant, pertinent, prenant, tout ce que j'aime ! Et en plus j'apprends plein de petites choses sur le judaïsme.

"Rites d'automne" de Dan O'Brien.
C'est très simplement écrit et simplement traduit. Impressionnant de pureté et de force. Même si on se fiche totalement de ce qui les intéresse eux, qu'on n'y connaît rien, en plus, on se laisse fasciner par leur incroyable "présence dans l'action" . On en ressort lavé et plein de courage. Après un tel exemple, peut-on faire moins?
Le courage et la foi sans faille d'une belle âme au service de la dignité animale.

Lamouette a écrit:

Je lis La lamentation du prépuce de Shalom Auslander. Marrant, pertinent, prenant, tout ce que j'aime ! Et en plus j'apprends plein de petites choses sur le judaïsme.

dans ma liste de lecture également.

Fini "L'épouse inconnue", j'enchaîne avec "Vendetta" de R.J. Ellory

Absalom, Absalom ! , Faulkner

Pour moi qui adore le Sud, c'est enivrant.