[2010] A l'affiche ou bientôt sur les écrans (vu ou à voir)

coline a écrit:

Marko a écrit:

Dire qu'ils n'ont pas mis Boonmee

Je me suis fait la même remarque...Dommage!

Hé, ça va, il a déjà eu la Palme hein.

Ils n'ont pas mis plein de très bons films en plus... Évidemment, ils n'ont pas mis Esther (ben ouais, les films de genre c'est JAMAIS dans les top "normaux") et A single man, Amer (!!!), Breathless, KABOOM ! ....

De toute façon, il n'y a jamais aucune surprise innovante et qui ferait un peu se déplacer leur public voir autre chose dans ces tops. C'est nuuuul.

darkanny a écrit:

C'est Quentin Dupieux, ne rate pas ce film si tu as l'occasion, conseil d'amie.

J'avais déjà très envie de le voir ! Si je l'ai loupé au cinéma, c'est simplement du fait qu'il n'était pas programmé chez moi... Il est resté très marginalisé comme film, et j'ai entendu dire que le réalisateur l'avait bien cherché !

Le braqueur de Benjamin Heisenberg

Citation :

L'histoire d'un homme comblé de dons : Johann Rettenberger, coureur de marathon couronné de succès et voleur de banques en série.

Il court Johann. Vite et longtemps. Il y an a même qui disent qu'ils l'ont vu voler. Des banques, car dans la réalité comme dans le film qui évoque sa vie, Le braqueur, Johann Rettenberger est double : il court des marathons, il attaque des banques. Pourquoi ? Pour l'adrénaline ? Le film de Benjamin Heisenberg ne donne pas de réponses. Dépouillé, sec, il n'a que faire d'explications à deux euros. Le braqueur est l'histoire d'un individu énigmatique, aux secrètes motivations, à la personnalité indéchiffrable. Ce cinéma viscéral, sans une once de gras, donne un thriller tendu, une chasse à l'homme sans temps mort. Par son ton glacial, ses images grises, il possède une parenté certaine avec le Haneke des premiers temps. Johann Rettenberger ou la solitude du coureur de fond(s).

Pas entendu parler de celui-la, tu donnes envie Traversay, je note !