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| Victor Hugo | |
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Auteur | Message |
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Déa Espoir postal
Messages : 24 Inscription le : 03/04/2011 Age : 31
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 3 Avr 2011 - 19:20 | |
| Je crois que je jetterai mon dévolu sur Ruy Blas alors! Merci beaucoup pour tes conseils en tout cas! Le Roi s'amuse a l'air d'être également très bien (je viens seulement de me rappeler du titre ; j'ai failli l'acheter aussi!) Enfin de toute façon, de superbes lectures m'attendent pour cet été, je sens que je vais me RE-GA-LER! | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 3 Avr 2011 - 19:21 | |
| - Arabella a écrit:
- J'ai lu (quand j'avais à peu près ton âge) tout le théâtre de Hugo, Mille francs de récompense n'est sans doute pas le plus typique, mais pourquoi pas commencer par là. Ma pièce préférée est sans doute Ruy Blas, et j'aime aussi beaucoup Marie Tudor. Mais cela se lit très vite, et tu peux commencer par ce que tu vas trouver le plus facilement.
Ah oui, Ruy Blas. Je l'ai lu à l'école. Et puis l'adaptation néo-réaliste de Gérard Oury en film (1971) est ma foi fort réussie. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 3 Avr 2011 - 20:02 | |
| - eXPie a écrit:
Ah oui, Ruy Blas. Je l'ai lu à l'école. Et puis l'adaptation néo-réaliste de Gérard Oury en film (1971) est ma foi fort réussie. Ouais, si on veut Je sens que les lecture scolaires n'ont pas laissé que de bons souvenirs chez certains. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 3 Avr 2011 - 20:24 | |
| - Arabella a écrit:
- eXPie a écrit:
Ah oui, Ruy Blas. Je l'ai lu à l'école. Et puis l'adaptation néo-réaliste de Gérard Oury en film (1971) est ma foi fort réussie. Ouais, si on veut
Je sens que les lecture scolaires n'ont pas laissé que de bons souvenirs chez certains. Ah si, c'était sympatoche, Ruy Blas ! Même dans le cadre d'une lecture scolaire, ce qui veut dire que l'explication de texte n'est pas parvenue à tuer le texte. | |
| | | Abbie-Naos Milan Plume timide
Messages : 12 Inscription le : 27/08/2011 Localisation : Far Ouest
| Sujet: Re: Victor Hugo Sam 27 Aoû 2011 - 15:23 | |
| Je viens de lire, assez en diagonale je l'avoue, ce fil sur Victor Hugo. Étant totalement passionnée par la plume de cette écrivain, je n'ai pas vu ici une seule fois cité le roman Quatrevingt-treize, il me tient donc à coeur de lui consacrer quelques lignes. Ce roman narre les évènements de la Terreur, des plus violentes années de la Révolution Française. Là encore, série de personnages hugoliens qu'on prend plaisir à découvrir et à suivre, qu'on aimerait presque malgré leurs tendances politiques extrémistes. Des références historiques à foison, des descriptions criantes de réalisme et de merveilleux passages dans ma chère et tendre Bretagne. Hugo va même jusqu'à écrire et décrire une rencontre fictive entre les trois géants de la Révolution : Robespierre, Marat et Danton (anthologique!). S'il peut certes sembler long de se "farcir" certains passages "trop" historiques, l'oeuvre présente de nombreux intérêts, sur la politique notamment, mais aussi -comme à l'accoutumée chez Hugo- une parfaite connaissance de l'Homme, de sa raison et de ses sentiments. Peut-être pas le meilleur, mais tout de même un excellent Hugo. | |
| | | krys Sage de la littérature
Messages : 2093 Inscription le : 06/09/2009 Age : 65 Localisation : sud ouest
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 3 Juin 2012 - 12:59 | |
| Les travailleurs de la mer
Avec Gilliatt, le solitaire amoureux de Déruchette, qui risque sa vie pour récupérer une machine à vapeur, coincée dans la tempête, nous voici plongés dans une lutte terrible avec l'océan. Le calme avant la tempête est décrit d'une manière tout à fait angoissante, on se croirait dans un thriller ! Le vocabulaire, extrêmement riche, nous fait découvrir un univers marin bien loin des cartes postales... Le personnage de Déruchette me rappelle celui de Cosette : une fois amoureuse, plus rien n'existe que l'être aimé. Elle est d'un égoïsme monstrueux ! Résultat de son éducation, qui faisait que tout tournait autour d'elle ? Encore bravo Monsieur Hugo pour ce magnifique roman. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Victor Hugo Jeu 28 Juin 2012 - 22:41 | |
| je découvre Victor Hugo, l'artiste, bien qu'une des ses images a déjà été posté sur ce fil, en tant que couverture d'un de ces livres: - shanidar a écrit:
Les arcs-en-ciel du noir à la Maison de Victor Hugo15 mars au 19 août 2012. belle vidéo à voir sur dailymotionVieux bourg dans l'orage¨ plus d'information | |
| | | odrey Sage de la littérature
Messages : 1958 Inscription le : 27/01/2009 Age : 46
| Sujet: Re: Victor Hugo Ven 29 Juin 2012 - 19:36 | |
| J'ai été voir l'expo "Crimes et châtiments" au musée d'Orsey, il y avait plusieurs oeuvres picturales de Hugo (surtout des dessins je crois) et j'avais beaucoup aimé. | |
| | | SCOman Envolée postale
Messages : 102 Inscription le : 08/06/2012 Age : 38 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 13 Jan 2013 - 1:23 | |
| LES MISÉRABLESBeaucoup d’encre a été déjà versée au sujet des Misérables de Victor Hugo. Œuvre intemporelle appartenant au patrimoine littéraire mondial, ce récit n’a pas fini de marquer les générations de lecteurs qui se succèdent à son chevet. Il se distingue d’emblée par son envergure imposante : mille cinq cents pages aussi denses que passionnantes, qui nous projettent au cœur de la destinée tragique du forçat Jean Valjean. Mais Les Misérables n’est pas qu’un simple roman, aussi captivant soit-il, car il constitue un réquisitoire politique implacable contre le paupérisme et l’injustice sociale. Victor Hugo ne s’en cache pas, à travers les trajectoires individuelles des protagonistes qu’il met en scène, il entend clamer à la face du monde le scandale de la misère et du déterminisme social. La thèse soutenue par Hugo est la suivante : la violence exercée par le corps social sur l’homme est telle qu’elle le prive à la fois d’espoir et de justice, à quelques rares exceptions près. Constat pessimiste mais non nihiliste, puisqu’il n’exclue nullement le réformisme politique et la rédemption des âmes, but poursuivis respectivement par l’auteur et son héros Jean Valjean. Au-delà de l’histoire de ces misérables, c’est l’Histoire avec un grand H qui m'a intéressé. L’auteur nous livre en effet ses meilleures pages lorsqu’il narre la bataille de Waterloo, le régime louis-philippien ou encore l’insurrection parisienne de juin 1832. Consacrant plusieurs chapitres à la dernière bataille livrée par Napoléon Ier, Hugo nous offre plusieurs moments épiques saisissants, tels la célèbre charge des cuirassiers sur les carrés anglais, la dernière charge de la Garde ou encore l’anéantissement du dernier carré français. Partons sans attendre avec lui au cœur des combats : « Ney tira son épée et prit la tête. Les escadrons énormes s’ébranlèrent. Alors on vit un spectacle formidable. Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonnes par division, descendit, d’un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d’un bélier de bronze qui s’ouvre une brèche, la colline de la Balle-alliance, s’enfonça dans le fond redoutable où tant d’hommes étaient déjà tombés, y disparut dans la fumée, puis, sortant de cette ombre, reparut de l’autre côté du vallon, toujours compacte et serrée, montant au grand trot, à travers un nuage de mitraille crevant sur elle, l’épouvantable pente de boue de Mont-Saint-Jean. Ils montaient, graves, menaçants, imperturbables (…). On croyait voir de loin s’allonger vers la crête du plateau deux immenses couleuvres d’acier ; cela traversa la bataille comme un prodige. Rien de semblable ne s’était vu depuis la prise de la grande redoute de la Moskova par la grosse cavalerie ; Murat y manquait, mais Ney s’y retrouvait. Il semblait que cette masse était devenue monstre et n’eût qu’une âme. Chaque escadron ondulait et se gonflait comme un vaste anneau du polype. On les apercevait à travers une fumée déchirée çà et là ; pêle-mêle de casques, de cris, de sabres, bondissements orageux de croupes des chevaux dans le canon et la fanfare, tumulte discipliné et terrible ; là-dessus les cuirasses, comme des écailles sur l’hydre. » (p. 341-342) Tout simplement grandiose ! Le combat final de la barricade de la rue de la Chanvrerie, où l’on retrouve Jean Valjean, Enjolras, Marius, Gavroche et Javert s’avère tout aussi épique, dramatique illustration des tactiques de contre-insurrection urbaine employées à cette époque. | |
| | | Igor Zen littéraire
Messages : 3524 Inscription le : 24/07/2010 Age : 71
| Sujet: Re: Victor Hugo Dim 13 Jan 2013 - 10:05 | |
| C'est toujours un plaisir de lire un commentaire sur Les misérables. Œuvre phare chez Victor Hugo et plus largement dans la littérature. Roman noir par excellence selon mon point de vue. Pris par la trame dramatique on (j'ai) tendance à passer sur les pages dont tu parles un peu rapidement et c'est un tord. Merci pour cet éclairage qui donnent la tentation d'une relecture. | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Victor Hugo Jeu 4 Avr 2013 - 16:31 | |
| Claude Gueux
Claude Gueux est un ouvrier qualifié, bon, simple et intelligent. Et illettré. Un jour que le feu et la nourriture vinrent à manquer, Claude fut contraint de voler. Par nécessité. Il en résultat trois jours de pain pour sa compagne et son enfant et cinq ans de prison pour lui-même. C’est à Clairvaux qu’il fut incarcéré sous la surveillance de M.D., le directeur de l’atelier auquel Claude fut affecté.
Prisonnier modèle, Claude s’attire néanmoins la haine du directeur en raison de la grande influence qu’il exerce sur ses codétenus. A de nombreuses reprises, l’autorité fut obligée de s’en remettre à lui pour débloquer des situations dangereuses, résoudre des conflits, désamorcer des rebellions, éviter que l’étincelle conduise à l’incendie. Et l’autorité, fière et tyrannique, ne lui pardonnera pas. Et se plaira à le harceler, à le rabaisser. Et prendra plaisir à l’humilier. Et lui ôter Albin, son bon camarade avec lequel il avait développé une relation fraternelle.
Claude en souffrit au-delà des mots. Il supplia longtemps le directeur de lui rendre son ami et comprit que ce dernier n’avait été transféré que pour lui nuire. Fort de sa condition, l’autorité ne se laissa pas fléchir, et goûta le sel de la vengeance. Petit rictus satisfait d’un côté, haine froide et déterminée de l’injustice de l’autre. Duel qui se termina par l’assassinat de l’autorité et la décapitation de la rébellion.
Ce court roman, incroyablement efficace, est pour Victor Hugo le prétexte à un admirable plaidoyer contre la peine de mort. Un siècle et demi avant que Badinter n’obtienne son abolition. Plaidoyer contre les exécutions, mais aussi appel à une réflexion de l’Etat sur la société française, enjoignant les dirigeants à se pencher du haut de leurs sièges sur le peuple qui souffre. Que le régime se nomme monarchie ou république n’y change rien. Renvoyer les bourreaux pour appointer des instituteurs supplémentaires. Développer l’éducation pour tous et faire reculer l’illettrisme. Fermeture du bagne, refonte du système pénal et carcéral. Inventer une nouvelle société plus juste qui se préoccupe également de la « France d’en bas ». Prendre soin de la tête pour ne pas avoir à la couper.
La verve de Hugo au service du peuple. Un texte moderne et incroyable pour l’époque.
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| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 29 Mai 2013 - 13:23 | |
| Une belle préface de Murielle Szac Que peut-on dire de cette lecture à couper le souffle ? Pour ma part, je serais bien incapable de retranscrire sa puissance émotionnelle avec des mots. Suite à ton commentaire Harelde, je note Claude Gueux. Victor Hugo sait parler de la peine de mort, c'est le moins qu'on puisse dire. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 29 Mai 2013 - 21:55 | |
| - Kannskia a écrit:
- Suite à ton commentaire Harelde, je note Claude Gueux. Victor Hugo sait parler de la peine de mort, c'est le moins qu'on puisse dire.
Oui, c'est vrai. Et en même temps, j'avais pensé qu'il "trichait" un peu, dans Le Dernier jour d'un condamné, car (sauf erreur de ma part : ça fait déjà quelque temps que je l'ai lu), on ne sait pas ce qu'a fait ce condamné à mort... Hugo se garde bien de nous le dire. Il aurait bien décrit, avec tout son talent, une horreur atroce que le condamné aurait commise, est-ce que le lecteur aurait eu ensuite autant d'empathie pour lui, aurait-on souffert avec lui ? Quand on est vraiment opposé à la peine de mort, on doit l'être même en cas du pire crime imaginable, non ? Mais sinon, oui, la peur, l'inhumanité de l'attente, l'enfermement, c'est effrayamment bien décrit. | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Victor Hugo Jeu 30 Mai 2013 - 10:53 | |
| - eXPie a écrit:
- Oui, c'est vrai.
Et en même temps, j'avais pensé qu'il "trichait" un peu, dans Le Dernier jour d'un condamné, car (sauf erreur de ma part : ça fait déjà quelque temps que je l'ai lu), on ne sait pas ce qu'a fait ce condamné à mort... Hugo se garde bien de nous le dire. Il aurait bien décrit, avec tout son talent, une horreur atroce que le condamné aurait commise, est-ce que le lecteur aurait eu ensuite autant d'empathie pour lui, aurait-on souffert avec lui ? Quand on est vraiment opposé à la peine de mort, on doit l'être même en cas du pire crime imaginable, non ? Mais sinon, oui, la peur, l'inhumanité de l'attente, l'enfermement, c'est effrayamment bien décrit. Je pense qu'il ne l'a pas fait pour tricher. Il l'a fait parce qu'il voulait rendre ce condamné universel, que chaque condamné puisse s’identifier et être identifié à lui. Et surtout, il souhaitait qu'on le voit avant tout comme un homme, pas comme un meurtrier. C'était justement pour qu'on souffre avec lui, pour que le lecteur ne le range pas directement dans la case "salopard qui a mérité ce qui lui arrive". A ce moment là, on ferme la porte à la réflexion quant à la torture psychologique infligée et la déshumanisation qu'elle incarne. Victor Hugo a mis un point d'honneur à lui redonner son humanité, à lui donner le statut d'être pensant et point barre. L'image de son meurtre aurait créé un voile opaque occultant la conscience du condamné, surtout à l'époque de la publication du livre j'imagine... On n'est plus un être humain, on est un meurtrier. Or, l'un ne se substitue pas à l'autre, le condamné est, certes, un meurtrier mais il n'en reste pas moins un homme avant tout. Là où tu vois une tricherie, je vois de l'intelligence. | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 5 Juin 2013 - 12:36 | |
| - Harelde a écrit:
- Plaidoyer contre les exécutions, mais aussi appel à une réflexion de l’Etat sur la société française, enjoignant les dirigeants à se pencher du haut de leurs sièges sur le peuple qui souffre. Que le régime se nomme monarchie ou république n’y change rien. Renvoyer les bourreaux pour appointer des instituteurs supplémentaires. Développer l’éducation pour tous et faire reculer l’illettrisme. Fermeture du bagne, refonte du système pénal et carcéral. Inventer une nouvelle société plus juste qui se préoccupe également de la « France d’en bas ». Prendre soin de la tête pour ne pas avoir à la couper.
Oui, toutes les convictions et les conclusions de Claude Gueux se trouvent dans ce que tu dis. Excepté le passage que j'ai moyennement apprécié (la dernière page) : nourrir le peuple d'évangiles et de religion pour que les pauvres se résignent à accepter cette chienne de vie en attendant la suivante, éternelle et divine. Je sais qu'il ne pensait pas à mal vu son combat pour défendre le peuple mais je n'ai pas pu m'empêcher de grincer des dents. Pour le reste, je retrouve des éléments de son plaidoyer dans ton commentaire, l'éloquence de Victor Hugo est extraordinaire. Et après la claque du récit de Claude Gueux, double claque avec les discours et autres lettres qui suivent (dans l'édition Librio). Il emploie les mots qu'il faut, les mots parfaits. | |
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