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| Victor Hugo | |
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Auteur | Message |
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kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Victor Hugo Ven 19 Fév 2010 - 12:55 | |
| peint par Léon Bonnat - Citation :
- Fils d'un général d'Empire souvent absent, Victor Hugo est élevé surtout par sa mère. Alors qu'il est encore élève au lycée Louis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier recueil de poèmes, 'Odes' et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII.
Chef d'un groupe de jeunes écrivains, il publie en 1827 sa première pièce de théâtre en vers, 'Cromwell', puis 'Orientales' et 'Hernani'.
Il s'impose comme le porte-parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier.
En 1831, il publie son premier roman historique, 'Notre-Dame de Paris', et en 1838 son chef-d' oeuvre romantique 'Ruy Blas'.
En 1841, il est élu à l'Académie française.
En 1843, la mort de sa fille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser son action.
Il entame une carrière politique. Elu à l'assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l'entoure : la peine de mort, la misère, l'ordre moral et religieux.
C'est en 1862 que Victor Hugo termine 'Les Misérables', immense succès populaire à l'époque.
Fervent opposant au coup d'Etat du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l'exil jusqu'en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit 'Les Châtiments', et 'Les Contemplations'.
De retour en France, à plus de 60 ans, il entame la rédaction de 'La Légende des siècles'. Poète romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques, et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs.
source: evene.fr on a deux fils qui parlent de Victor Hugo: dans la section Poésieet dans la section: L'humain, la société, la nature...mais il manquait celui pour parler du romancier.. et Sentinelle voudrait bien poster son commentaire sur Les Misérablesc'est fait, tu peux y aller - Citation :
- Bibliographie/Index (Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages)
Romans Luc-Olivier Merson (1846-1920), illustration pour Notre-Dame de Paris, 1881. 1818 : Bug-Jargal 1823 : Han d'Islande 1829 : Le Dernier Jour d'un condamné Pages 21831 : Notre-Dame de Paris Pages 11834 : Claude Gueux Page 31862 : Les Misérables Pages 1, 3, 4, 1866 : Les Travailleurs de la mer Pages 31869 : L'Homme qui rit Pages 21874 : Quatrevingt-treize Pages 3Théâtre 1819 ou 1820 : Inez de Castro 1827 : Cromwell 1828 : Amy Robsart 1830 : Hernani Pages 11831 : Marion de Lorme 1832 : Le roi s'amuse 1833 : Lucrèce Borgia 1833 : Marie Tudor 1835 : Angelo, tyran de Padoue 1838 : Ruy Blas 1843 : Les Burgraves 1882 : Torquemada 1886 : Théâtre en liberté (à titre posthume) Autres textes 1834 : Étude sur Mirabeau 1834 : Littérature et philosophie mêlées 1842 : Le Rhin, éd. J. Hetzel-A. Quantin (Paris), 1884, t. 1 disponible sur Gallica et t. 2 disponible sur Gallica 1852 : Napoléon le Petit (pamphlet) éd. J. Hetzel (Paris), 1877 disponible sur Gallica 1855 : Lettres à Louis Bonaparte 1864 : William Shakespeare 1867 : Paris-Guide 1874 : Mes Fils 1875 : Actes et paroles - Avant l'exil 1875 : Actes et paroles - Pendant l'exil 1876 : Actes et paroles - Depuis l'exil 1877 : Histoire d'un crime - 1re partie 1878 : Histoire d'un crime - 2e partie 1883 : L'Archipel de la Manche - Citation :
- Mise à jour le 08/08/2013, page 4
Dernière édition par kenavo le Jeu 8 Aoû 2013 - 13:41, édité 3 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Les misérables Ven 19 Fév 2010 - 13:19 | |
| Merci pour ce fil Kenavo Les misérables« Les misérables » est un roman foisonnant au possible : les digressions y sont fréquentes et s’il existe un fil conducteur principal (l’histoire de Jean Valjean allant de sa sortie du bagne en 1815 à sa mort en 1833), cette composition centrale est sans cesse interrompue par les multiples sinuosités imposées par l’auteur. Et si Victor Hugo n’hésite pas à abandonner son sujet principal pour mieux emprunter les chemins de traverse, c’est pour mieux aborder une multitude de thèmes qui lui sont chers : évocation de l’année 1817 et description de la bataille de Waterloo, condition de détention au bagne et vie du proscrit (marqué à jamais par son infamie et pour lequel les possibilité de rédemption et de réhabilitation sont nulles et non avenues), discussion sur le vocabulaire argotique, portrait de Paris ou présentation du couvent du Petit Picpus, remémoration des barricades lors des journées révolutionnaires de 1832 sans oublier une traversée des égouts de Paris des plus épiques. Par ailleurs, l’auteur n’hésite jamais à nous rappeler sa présence tout au long du récit, ne se privant pas d’exprimer ses opinions personnelles sur la politique, la religion, l’économie, l’écologie, la moralité et les améliorations sociales nécessaires pour protéger au mieux les femmes et les petits enfants (car « ce sont eux qui souffrent le plus dans notre société » nous dit-il). L’ensemble n’en est pas pour autant illisible et les personnages – taillés d’une seule pièce, offrant peu de nuances et de subtilités psychologiques mais servant admirablement une vision de l’auteur somme toute assez manichéenne du monde – permettent de servir de points de repère en offrant une certaine continuité au récit. Contre toute attente et malgré le nombre de pages impressionnant, je n’ai pas trouvé le temps long en compagnie de Victor Hugo, que du contraire ! J’ai énormément apprécié me perdre dans les petits détails et les grandes digressions de l’auteur, apportant ainsi tout le sel nécessaire pour relever le plat principal. J’avoue tout de même avoir eu un peu plus de mal au ¾ du récit (chapitres concernant les barricades) et n’aurais pas dédaigné certains raccourcis lors de leurs évocations. Mais ce ne sont vraiment que quelques broutilles tant j’ai apprécié cette lecture dans son ensemble, malgré les affectations exagérées et le style grandiloquent que peut parfois emprunter la plume de l’auteur. Il va sans dire que les misérables se taillent la part de lion dans cette histoire, et si l’auteur éprouve de la sympathie et témoigne en leur faveur en prenant la défense des opprimés, il est assez étonnant que les misérables de Victor Hugo ne soient pas ces ouvriers honteusement exploités en ce début du capitalisme mais essentiellement les plus faibles tels que les femmes, les vieillards et les petits enfants, tel le petit Gavroche : - Citation :
- « Cet enfant était bien affublé d’un pantalon d’homme, mais il ne le tenait pas de son père, et d’une camisole de femme, mais il ne la tenait pas de sa mère. Des gens quelconques l’avaient habillé de chiffons par charité. Pourtant il avait un père et une mère. Mais son père ne songeait pas à lui et sa mère ne l’aimait point. C’était un de ces enfants dignes de pitié entre tous qui ont père et mère et qui sont orphelins.
Cet enfant ne se sentait jamais si bien que dans la rue. Le pavé lui était moins dur que le cœur de sa mère.
Ses parents l’avaient jeté dans la vie d’un coup de pied.
Il avait tout bonnement pris sa volée. »
Pour terminer ce billet, je ne vous ferais pas l’affront de vous présenter les personnages principaux dans la mesure où tout le monde les connaît tant ils sont devenus des archétypes mais j’aimerai revenir sur l’un d’eux, le très âgé mais néanmoins truculent M. Gillenormand, qui est un de mes personnages préférés : - Citation :
- « M. Gillenormand, lequel était on ne peut plus vivant en 1831, était un de ces hommes devenus curieux à voir uniquement à cause qu’ils ont longtemps vécu, et qui sont étranges parce qu’ils ont jadis ressemblé à tout le monde et que maintenant ils ne ressemblent plus à personne. C’était un vieillard particulier, et bien véritablement l’homme d’un autre âge, le vrai bourgeois complet et un peu hautain du dix-huitième siècle, portant sa bonne vieille bourgeoisie de l’air dont les marquis portaient leur marquisat. Il avait dépassé quatre-vingt-dix ans, marchait droit, parlait haut, voyait clair, buvait sec, mangeait, dormait et ronflait. Il avait ses trente-deux dents. Il ne mettait de lunettes que pour lire. Il était d’humeur amoureuse, mais disait que depuis une dizaine d’années il avait décidément et tout à fait renoncé aux femmes. Il ne pouvait plus plaire, disait-il ; il n’ajoutait pas : Je suis trop vieux, mais : Je suis trop pauvre. »
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| | | LunaStella Envolée postale
Messages : 224 Inscription le : 11/04/2010 Age : 30 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Victor Hugo Ven 16 Avr 2010 - 21:02 | |
| Merci pour ce fil ! Je viens de terminer le dernier tome des Misérables hier soir et je pleurais tellement que j'avais du mal à lire les dernières pages . J'en garde un excellent souvenir , c'est un des plus beaux livres que j'ai lu jusqu'ici . Cet ouvrage m'a vraiment marqué et il est , je pense , un pilier de la littérature française . Me livrer à une analyse est impensable , tous les adjectifs du monde ne réussiraient pas encore à décrire le génie dont Hugo fait preuve dans ce livre . Cet ouvrage est basé , selon moi , sur les innombrables combats que livre Jean Valjean avec sa propre conscience, qui vont à chaque fois marquer un véritable tournant dans l'histoire . Et puis , le fait de pouvoir mêler la dénonciation de l'injustice sociale dans la France du XIX ème à l'importance de l'amour et de la compassion , je trouve cela juste magnifique . C'est tout simplement sublime d'avoir pu réunir en un seul livre tant de messages , de valeurs ... Sans parler du style de Victor Hugo , remarquable .
Bref , vous l'aurez compris , j'adore ce livre . Je terminerai en citant la phrase de Victor Hugo placée en exergue à son roman, qui donne le ton du livre : une lutte épique contre la misère .
Tant qu’il existera, par le fait des lois et des moeurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.
Hauteville-House, le 1er janvier 1862 | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Victor Hugo Ven 16 Avr 2010 - 21:32 | |
| C'est beau ce genre de découverte, cela fait du bien | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Victor Hugo Ven 16 Avr 2010 - 21:33 | |
| Ton enthousiasme fait plaisir à lire LunaStella |
| | | LunaStella Envolée postale
Messages : 224 Inscription le : 11/04/2010 Age : 30 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Victor Hugo Ven 16 Avr 2010 - 22:56 | |
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| | | odrey Sage de la littérature
Messages : 1958 Inscription le : 27/01/2009 Age : 46
| Sujet: Re: Victor Hugo Sam 17 Avr 2010 - 11:14 | |
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| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 16:27 | |
| Je suis un peu surpris par ce fil : ouvert récemment et moins étoffé que je ne m'attendais à le trouver. Victor Hugo est l'un des auteurs qui me posent problème. Je n'ai lu que Notre Dame de Paris. Et encore, il m'a fallu m'y reprendre à deux fois. Les descriptions sont interminables, et le livre me tombe des mains. L'épaisseur des Misérables m'a toujours tenu à une distance respectable. Je ne me sens pas à l'aise, j'angoisse... Notre-Dame de ParisVoici bien des années, j'ai échoué dans la lecture de Notre Dame de Paris, succombant au milieu de la fête des fous, avant l'élection de Quasimodo. J'ai de nouveau tenté ma chance il y a peu et fait une seconde lecture. Je me suis accroché et suis arrivé au bout, dans la cave du gibet de Montfaucon. Non sans mal, toutefois. Magnifique histoire, très belle love story, critique de cette époque sordide où l'Eglise est toute puissante et brûle et pend à tour de bras... Mais l'écriture de Hugo est souvent fastidieuse. Beaucoup de longueurs pendant lesquelles je me suis passablement ennuyé : la fête des fous qui manqua de m'être fatal une seconde fois, la description minutieuse de la cathédrale... Lecture en diagonal, des pages sautées pour ne pas craquer encore. Mon ressenti est malgré tout positif et j'en garderai un souvenir agréable quoiqu'un peu douloureux. Content tout de même d'être arrivé au bout de ce long tunnel. | |
| | | Igor Zen littéraire
Messages : 3524 Inscription le : 24/07/2010 Age : 71
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 17:38 | |
| Oui, souvent c'est long, surtout au regard de l'écriture actuelle, mais il te faut absolument lire "L'homme qui rit". Il est d'ailleurs assez court pour un roman de Hugo. Et bien sûr "les Misérables", très long je te l'accorde, mais tu peux le lire en plusieurs fois. Les caractères des personnages sont tellement forts dans ce roman qu'on les oublis pas... Je le considère comme LE roman noir ! | |
| | | Hexagone Envolée postale
Messages : 260 Inscription le : 18/01/2010 Age : 53 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 18:14 | |
| La fin des misérables est magnifique. Valjean sur son lit avec sentiment du devoir accompli, un bel exemple de dignité que je n'ai jamais oublié. Je me dis osuvent qu'il faut que je relise ce livre, et puis ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 19:47 | |
| Et oui, il y a quelques longueurs, mais quelles pépites aussi ! Cela vaut la peine de les débusquer (d'autant plus que ce n'est pas une tâche bien difficile tant elles abondent), quitte à tourner un peu plus vite quelques pages Il ne reste que j'ai aimé la plupart de ses digressions |
| | | Onuphrius Main aguerrie
Messages : 551 Inscription le : 29/10/2010 Age : 35 Localisation : Seine-Maritime
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 20:19 | |
| Ma culture hugolienne n'est pas immense, mais j'ai toujours aimé ce que j'ai lu : Hernani, Marie Tudor, Lucrèce Borgia, Ruy Blas, la préface de Cromwell et William Shakespeare.
Hernani
Forcément, on connaît de nom "la bataille d'Hernani", au cours de 1830. Mais la pièce est sans doute l'un des plus beaux drames romantiques, avec Ruy Blas et surtout Lorenzaccio.
Si le personnage d'Hernani apparaît comme finalement assez classique, j'ai toujours aimé Don Carlos, dont l'évolution est sublime. Que dire de son monologue de l'acte IV scène 2, pour moi l'une des plus belles scènes du théâtre français. Elle mériterait d'être citée intégralement, mais 4 pages grand format fait beaucoup!
Et puis si la versification est désarticulée, on n'échappe pas à quelques pépites, du style : "C'est la noce des morts, la noce des tombeaux !", ou bien "Je suis une force qui va"...
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| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 16 Nov 2010 - 22:54 | |
| - Igor a écrit:
- Oui, souvent c'est long, surtout au regard de l'écriture actuelle, mais il te faut absolument lire "L'homme qui rit". Il est d'ailleurs assez court pour un roman de Hugo.
Et bien sûr "les Misérables", très long je te l'accorde, mais tu peux le lire en plusieurs fois. Les caractères des personnages sont tellement forts dans ce roman qu'on les oublis pas... Je le considère comme LE roman noir ! Je suis en train de lire L'homme qui rit et quand même 800 pages (coll.GF) faut avoir le goût des longs 'transports'; ceci dit le livre est d'une force quasi herculéenne. J'ai cru lire qu'il était le préféré d'Hugo himself (je me permets l'anglicisme puisque l'histoire se déroule en Angleterre et que d'ailleurs Hugo joue habilement du dictionnaire, chatham devient je t'aime et greenbowl boulingrin...). J'y reviendrai plus longuement quand je l'aurai achevé... mais incontestablement Hugo est un maître de la nature (humaine)... Quant à Hernani je l'avais étudié à la fac (de Rouen !?!) et il m'en reste une histoire d'escalier dont j'ai gardé l'incroyable saveur et la vision textuelle car le mot était à l'époque imprononçable sur une scène de théâtre. La puissance d'Hugo me fait rêver ainsi que son ironie saisissante... | |
| | | Igor Zen littéraire
Messages : 3524 Inscription le : 24/07/2010 Age : 71
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 17 Nov 2010 - 8:02 | |
| Des réflexions intéressantes sur l'œuvre de Victor Hugo dans une émission re-diffusée sur France -Culture (Les nouveaux chemins de la connaissance) peuvent être encore écoutées en podcast sur les liens suivants: 1-Biographie et écrits politiques 2-Les Misérables 3-L'Homme qui rit 5-Les Contemplations et les Châtiments
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| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 17 Nov 2010 - 9:57 | |
| - Igor a écrit:
- Oui, souvent c'est long, surtout au regard de l'écriture actuelle, mais il te faut absolument lire "L'homme qui rit". Il est d'ailleurs assez court pour un roman de Hugo.
Je n'ai rien contre les pavés. Je les aime, même. Mais j'avoue qu'avec Notre Dame de Paris, j'ai plusieurs fois failli succomber aux longues (interminables) descriptions purement narratives, sans aucune action avec des paragraphes s'étalant sur plusieurs pages sans alinéas... Je trouve que ce n'est que du remplissage d'auteurs payés à la ligne. Mais Hugo jouit d'une telle aura que je lui donnerai sans aucun doute une seconde chance. Peut-être par le biais de nouvelles dans un premier temps. | |
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| Sujet: Re: Victor Hugo | |
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| | | | Victor Hugo | |
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