derniers livres achetés / reçus en cadeau

Kenavo a écrit:

Citation :

Madame B. a écrit:



4e de couverture très intriguant.. tu vas nous dire

Je pense que cela va être ma prochaine lecture.

Australia Underground, d'Andrew McGahan
Cette vie ou une autre, de Dan Chaon
La ballade de Lila K, de Blandine Le Callet
Paysages aléatoires, de Peter Stamm
Les petites fées de New York, de Martin Millar

de bien beaux livres... mais je suis surtout curieuse pour ton avis sur celui-ci

krys a écrit:

Cette vie ou une autre, de Dan Chaon

en espérant qu'il va te plaire

krys a écrit:

La ballade de Lila K, de Blandine Le Callet

Lecture récente pour moi.
Très, très sympa !

âmes perdues de Poppy Z. Brite et Neuromancien de William Gibson

J'ai les deux journaux 'Journal d'adolescence' et "Journal intégral" de Virginia Woolf aussi. Je dois aussi être atteinte de la "Woolfmania" . Toutefois, j'ai renoncé à lire le "journal intégral" de A à Z, je lis souvent une page au hasard, souvent, le matin avant de me lever.
La partie "travail de l'écrivain" m'interessait et j'ai lu par contre "Journal d'un écrivain" en entier. J'ai une grande toquade pour les journaux d'écrivain.
Et là, je suis entrain de lorgner sur la correspondance avec Vita Sackville-West, mais mon porte-monnaie crie grâce.

Josef Skvorecky

Qui mène l'enquête et Deux meurtres dans ma double vie.

Le nouveau livre d'Antonio Lobo Antunes en allemand, je continue dans cette langue avec lui, Maralde Meyer-Minnemann est depuis des années sa traductrice.. elle fait un travail sublime

Libera nos a malo de Luigi Meneghello

Citation :

Libera nos a malo (« Délivrez-nous du mal») (1963) est le roman du pays de Malo (Vénétie), des années 1920 jusqu’à l’après-guerre. Mosaïque de récits drolatiques d’une enfance italienne sous le fascisme, bribes de fictions et d’épopées autobiographiques, digressions philologiques et burlesques sur la religion, les courses de bicyclettes, l’amitié, les petites amoureuses ou la mort, le livre nous révèle une Italie disparue dont le héros est la langue. Cette langue minuscule de Malo, dont l’extraordinaire richesse vient télescoper l’italien officiel des instances de pouvoir et dire l’universalité des récits de l’enfance et du souvenir.

De la dignité de l’homme de Giovanni Pico della Mirandola

Citation :

Lorsqu’il écrit l’Oratio de hominis dignitate, qui aurait dû introduire ses Neuf cents thèses philosophiques, théologiques et cabalistiques, Pico della Mirandola (1463-1494) a vingt-quatre ans. Bien conscient du fait que « ses façons ne répondent ni à son âge, ni à son rang », c’est pourtant une philosophie nouvelle qu’il propose à ses aînés ; philosophie ouverte, accueillant tout ce qui, depuis les Mystères antiques jusqu’aux religions révélées, émane de ce que l’on pourrait appeler la « volonté de vérité ».
L’homme est au centre de cette philosophie, en ce que le divin a déposé en lui ce ‘vouloir’, cette volonté dont il use à sa guise, le créant « créateur de lui-même ». Et cette puissance du vouloir, cette volonté de « se connaître soi-même », Pico la retrouve chez les Sages grecs et orientaux, mais aussi dans la cabale juive, la pensée arabe, la scolastique et les auteurs chrétiens. S’agit-il pour autant d’un œcuménisme sans discernement ? Plutôt de la fusion en l’homme de cette intelligence, dévoilée dans le contact entre les différentes sagesses. L’Oratio reste inédite ; les thèses sont publiées en 1486, mais l’Église ne voudra pas entendre – quelle église pourrait vouloir entendre ? Pico devra s’exiler en France avant d’être fait prisonnier et incarcéré au donjon de Vincennes en 1487.
Dans sa ferveur juvénile, le propos de Pico demeure intact, vierge, intempestif. Il fait appel, encore et toujours, à l’homme digne, vagabond de la vérité, lui offrant « l’un des plus sincères monuments de la philosophie morale de la Renaissance italienne».

à l'occasion d'une rencontre organisée par la librairie (Le Livre) avec Les éditions de l’éclat (qui donne envie de lire).

site de l'éditeur : www.lyber-eclat.net

animal a écrit:

Libera nos a malo de Luigi Meneghello

Citation :

Libera nos a malo (« Délivrez-nous du mal») (1963) est le roman du pays de Malo (Vénétie), des années 1920 jusqu’à l’après-guerre. Mosaïque de récits drolatiques d’une enfance italienne sous le fascisme, bribes de fictions et d’épopées autobiographiques, digressions philologiques et burlesques sur la religion, les courses de bicyclettes, l’amitié, les petites amoureuses ou la mort, le livre nous révèle une Italie disparue dont le héros est la langue. Cette langue minuscule de Malo, dont l’extraordinaire richesse vient télescoper l’italien officiel des instances de pouvoir et dire l’universalité des récits de l’enfance et du souvenir.

j'avais noté celui-ci après ton message concernant la rencontre.. tu vas nous dire

Une collègue m'a prêté La vierge noire, de Jorn Riel. Quelqu'un connaît ?

krys a écrit:

Une collègue m'a prêté La vierge noire, de Jorn Riel. Quelqu'un connaît ?

Elle a raison, la collègue : Ce livre fait partie des "Racontars" écrits par Jorn Riel, autrement dits
des contes droles et émouvantrs sur une bande de copains trapeurs perdus sur la banquise...
C' est très agréable !

krys a écrit:

Une collègue m'a prêté La vierge noire, de Jorn Riel. Quelqu'un connaît ?

sur son fil - ici - il y a plusieurs commentaires pour ce livre (page 2, 3, 5...)