Chaine lecture mai 2012 ?

Merci Cassiopée !!!
Accabadora, ne trouves-tu pas que cela fait penser à une formule magique ???, m'a enchantée, je le relirai certainement. accabadora
Maintenant, il me reste à plonger dans le second livre autrement plus ardu à lire : "les vieilles dames et les loisirs" de Jacques Faizant
Ces chaînes de lecture m'ont permis de lire de très bons ouvrages et de faire de très belles découvertes. C'est quand la prochaine ????

zazy a écrit:

Ces chaînes de lecture m'ont permis de lire de très bons ouvrages et de faire de très belles découvertes. C'est quand la prochaine ????

Vous allez m'achever, à ce rythme. D'autant plus que certains non même pas encore eu leur proposition.
Et qu'on avait dit qu'on laissait l'été pour poster son commentaire.

Pas avant septembre pour la prochaine.

Et tu n'avais pas un livre en retard d'une chaine précédente zazy ?

zazy a écrit:

Merci Cassiopée !!!
Accabadora, ne trouves-tu pas que cela fait penser à une formule magique ???, m'a enchantée, je le relirai certainement. accabadora
Maintenant, il me reste à plonger dans le second livre autrement plus ardu à lire : "les vieilles dames et les loisirs" de Jacques Faizant

Contente de t'avoir fait plaisir avec mes propositions!

Exini a écrit:

colimasson a écrit:

Quant à la Commedia, je devrais pouvoir l'emprunter à la bibliothèque jeudi. Mais pas avant...

Ben moi, j'aurais pas "Le gynophage" avant la fin de la semaine chez mon libraire. On commencera à peu près en même temps.

Ca me rassure ! Et puis si on a tout l'été pour le commentaire, ça va, pas de précipitation...

@ Mimi
J'ai fini le livre de Michel Schneider !
Merci Mimi, j'ai passé un moment agréable avec ces deux héros!
Euh , encore une question ridicule ... Où rédige-t-on son commentaire (je n'ai noté que quelques idées pour l'instant!) ?

En principe on poste le commentaire à la fois ici, et également sur le fil de l'auteur pour en garder trace, y compris pour ceux qui ne participent pas à la chaine.

Et il n'y a pas de questions ridicules.

Merci de ta réponse Arabella.
Au boulot, donc!

mais où est donc passé Scarpeta ?

Esperluette a écrit:

@ Mimi
J'ai fini le livre de Michel Schneider !
Merci Mimi, j'ai passé un moment agréable avec ces deux héros!
Euh , encore une question ridicule ... Où rédige-t-on son commentaire (je n'ai noté que quelques idées pour l'instant!) ?

Contente que ce livre t'ai plu.
Je trouve qu'il a été injustement oublié à sa parution. Je l'ai lu pour le jury fnac avec grand bonheur .

Kierkegaard a écrit:

mais où est donc passé Scarpeta ?

Faudrait que quelqu'un s'occupe de Kierkegaard. Krys, qui devait proposer à scarpeta ? Qu'en penses-tu Arabella ?

mimi54 a écrit:

Esperluette a écrit:

@ Mimi
J'ai fini le livre de Michel Schneider !
Merci Mimi, j'ai passé un moment agréable avec ces deux héros!
Euh , encore une question ridicule ... Où rédige-t-on son commentaire (je n'ai noté que quelques idées pour l'instant!) ?

Contente que ce livre t'ai plu.
Je trouve qu'il a été injustement oublié à sa parution. Je l'ai lu pour le jury fnac avec grand bonheur .

Oui ce livre m'a plu mais il me laisse tout de même une étrange impression de malaise indéfinissable. Je dois creuser. J'ai découvert un auteur grâce à toi. J'ai repensé, en cours de lecture à L'homme qui m'aimait tout bas de Fottorino qui m'avait davantage touché.


De très beaux passages pour tenter de comprendre et de faire revivre par les mots et à travers les mots un frère, son faux frère, comme il l’appelle, parti trop vite, hanté par la guerre d’Algérie.

L’auteur a beau se dédoubler, tenter de sortir de lui comme pour montrer cette volonté de comprendre, il n’est pas dupe du stratagème et sait pertinemment qu’il est impossible de comprendre quelqu’un que l’on aime. Tout au long du roman, par touches successives, il évoque la présence de ce frère torturé, cet étrange lien qui les unit tous deux. Lien par un père qui restera à jamais inconnu, par les femmes surtout – L. en particulier, par la musique. Une sorte de fascination un peu perverse mêlée d’admiration enveloppe la présence de ce frère séduisant et vulgaire.

Je comprends ce besoin impérieux d'écrire les blessures d'enfance qui résonnent comme des battements de coeur malmené par une histoire familiale pour le moins délabrée.

Exini a écrit:

Kierkegaard a écrit:

mais où est donc passé Scarpeta ?

Faudrait que quelqu'un s'occupe de Kierkegaard. Krys, qui devait proposer à scarpeta ? Qu'en penses-tu Arabella ?

Non mais je ne veux pas me plaindre mais scarpeta a disparu des membres enregistrés donc je suis surpris

Ce que j'avais l'intention de faire, c'était envoyer un autre MP à Scarpeta et lui laisser jusqu'à dimanche pour réagir, et après suggérer que Krys fasse des suggestions à Kierk. Elle avait déjà participé, et cela avait sans problème, et elle m'avait contactée pour demander les nouvelles dates et a affirmé vouloir y participer. Elle peut avoir un soucis, et ne ne voudrais pas la mettre hors jeu trop vite.

Après, il a l'air de se passer de drôles de choses avec les participants puisque Queenie vient d'être informée qu'elle est radiée.

Esperluette a écrit:

mimi54 a écrit:

Esperluette a écrit:

@ Mimi
J'ai fini le livre de Michel Schneider !
Merci Mimi, j'ai passé un moment agréable avec ces deux héros!
Euh , encore une question ridicule ... Où rédige-t-on son commentaire (je n'ai noté que quelques idées pour l'instant!) ?

Contente que ce livre t'ai plu.
Je trouve qu'il a été injustement oublié à sa parution. Je l'ai lu pour le jury fnac avec grand bonheur .

Oui ce livre m'a plu mais il me laisse tout de même une étrange impression de malaise indéfinissable. Je dois creuser. J'ai découvert un auteur grâce à toi. J'ai repensé, en cours de lecture à L'homme qui m'aimait tout bas de Fottorino qui m'avait davantage touché.


De très beaux passages pour tenter de comprendre et de faire revivre par les mots et à travers les mots un frère, son faux frère, comme il l’appelle, parti trop vite, hanté par la guerre d’Algérie.

L’auteur a beau se dédoubler, tenter de sortir de lui comme pour montrer cette volonté de comprendre, il n’est pas dupe du stratagème et sait pertinemment qu’il est impossible de comprendre quelqu’un que l’on aime. Tout au long du roman, par touches successives, il évoque la présence de ce frère torturé, cet étrange lien qui les unit tous deux. Lien par un père qui restera à jamais inconnu, par les femmes surtout – L. en particulier, par la musique. Une sorte de fascination un peu perverse mêlée d’admiration enveloppe la présence de ce frère séduisant et vulgaire.

Je comprends ce besoin impérieux d'écrire les blessures d'enfance qui résonnent comme des battements de coeur malmené par une histoire familiale pour le moins délabrée.

il est intéressant ton commentaire Esperluette, il me donnerait presque envie de relire un Schneider et cette phrase : il est impossible de comprendre quelqu'un qu'on aime me laisse tout particulièrement songeuse (et réceptive)...

ouh là là, trouver des livres pour un fan de Kierkegaard, moi qui n'ai pas lu dix pages du concept de l’angoisse

bon, si jamais, je propose quand même des titres pour Kierk (le nôtre hein) :

Zulu, de Caryl Ferey
Instruments des ténèbres, de Nancy Huston
La puissance des vaincus, de Wally Lamb
Le pays des merveilles, de JC Oates