Expositions vues par les parfumés

Exposition / Francesca Woodman - On being an angel / Fondation Cartier Bresson

Une artiste météore, née en 1958 et suicidée en 1981. Le sujet principal de ses photos est son propre corps, surtout en noir et blanc, dans des poses, des lieux, d'une grande beauté, mais qui génère un malaise, laissent entrevoir une souffrance. Mise en scène de la femme, travail autour de ses représentations et images, qui finit par renvoyer à quelque chose de contraint.

Une belle exposition, même si j'ai été un peu surprise par la petite taille de la plupart des photos.

merci pour ces deux visites
maintenant on attend Aériale avec ses impressions pour Paula

Merci pour ce résumé d'expo sur Francesca Woodman, Arabella. Je comprends qu'il puisse y avoir l'expression d'un malaise mais bon, ça me semble quand même assez brut, rafraîchissant d'un point de vue artistique quoique la nudité... il me semble que ça passe bien au niveau de la sobriété de la représentation?

merci Aériale, Arabella et toi, vous donnez envie de voir cette expo

maintenant je t'attends sur le fil de Marie Darrieussecq

 non, non, je ne suis pas celle avec le fouet

kenavo a écrit:

merci Aériale, Arabella et toi, vous donnez envie de voir cette expo

maintenant je t'attends sur le fil de Marie Darrieussecq

 non, non, je ne suis pas celle avec le fouet

Ro, tu es terrible! Il t'en faut toujours plus toa

moi? terrible? nooooon...

jack-hubert bukowski a écrit:

Merci pour ce résumé d'expo sur Francesca Woodman, Arabella. Je comprends qu'il puisse y avoir l'expression d'un malaise mais bon, ça me semble quand même assez brut, rafraîchissant d'un point de vue artistique quoique la nudité... il me semble que ça passe bien au niveau de la sobriété de la représentation?

Sur la distance d'une exposition, avec l'accumulation des images, il finit par se produire une sensation de souffrance et de malaise, d'enfermement finalement dans le corps, vécu comme une contrainte, aussi une image imposée de l'extérieur. Enfin, c'est mon impression.

Arabella a écrit:

jack-hubert bukowski a écrit:

Merci pour ce résumé d'expo sur Francesca Woodman, Arabella. Je comprends qu'il puisse y avoir l'expression d'un malaise mais bon, ça me semble quand même assez brut, rafraîchissant d'un point de vue artistique quoique la nudité... il me semble que ça passe bien au niveau de la sobriété de la représentation?

Sur la distance d'une exposition, avec l'accumulation des images, il finit par se produire une sensation de souffrance et de malaise, d'enfermement finalement dans le corps, vécu comme une contrainte, aussi une image imposée de l'extérieur. Enfin, c'est mon impression.

Je n'en doute pas une seule seconde. Ça doit être de quoi de le voir en vrai et aussi dans le cadre d'une exposition, où nous sommes complètement immergé-e-s...

Marc Petit, au jardin de l'Evéché (Limoges, the place to be).

Cadre magnifique (jardin botanique autour), pour mettre en valeur des scultures assez sombres (je déconseille d'aller les voir sous la pluie).
Assez impressionnant.



clic !

pour ce genre de choses en tout cas c'est plus the place to be que Tours !

Je ne retrouve plus l'exposition Van Gogh d'Arles vue avec Arturo.....?

c'est planqué sur l'autre fil : clic !

Merci Animal et mes excuses pour la recherche

Seydou Keita au Grand Palais, du 31 mars 2016 au 11 Juillet 2016


 
 

Citation :

"Seydou Keïta (1921-2001) est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands photographes de la deuxième moitié du XXe siècle. La valorisation de ses sujets, la maîtrise du cadrage et de la lumière, la modernité et l’inventivité de ses mises en scène lui ont valu un immense succès. Il prend sa retraite en 1977, après avoir été le photographe officiel d’un Mali devenu indépendant. Son oeuvre constitue un témoignage exceptionnel sur la société malienne de son époque." (http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/seydou-keita)

 


Les photos sont grandes, très belles. Mais il s'agit de tirages argentiques récents.



Il n'y a généralement qu'une indication de date, rarement de commentaire, car les gens photographiés n'ont rien de particulier, ce sont de simples clients...

     

On verra à plusieurs reprises qu'il réussit à faire rire les enfants, ou à leur faire prendre des expressions très singulières.

         

De temps à autre, une petite phrase de Keita :



Il a bien raison !

 

    

    

Vers la fin de l'exposition, on verra plusieurs autoportraits.