Journal de ce que j'apprends chaque jour

le film "avec la poubelle bleue" (oublié le titre) ? ou ... Mud ? ou.... d'autres trucs moins récents ?

colimasson a écrit:

J'me suis cru dans un film de Clint Eastwood, l'espace d'un instant.

Gran Torino..?

Que je pratiquais sans le savoir la bibliothérapie. Si, ça existe ou alors une romancière l' a inventée pour
faire son interessante à LGL...

Le concept avait déjà été évoqué dans l'île des gauchers d'Alexandre Jardin, nul doute que d'autres écrivains ont dû y penser également bien avant!

ArturoBandini a écrit:

Le concept avait déjà été évoqué dans l'île des gauchers d'Alexandre Jardin, nul doute que d'autres écrivains ont dû y penser également bien avant!

Des écrivains ? Je pense plutot aux lecteurs dans leur grande majorité.

analepse veut dire flash-back, pour la littérature.

Ah voilà ce que cela veut dire!

topocl a écrit:

analepse veut dire flash-back, pour la littérature.

(Et son antonyme : prolepse. En voilà deux pour le prix d'un ! )

Sigisbèe : homme jeune accompagnant en public une femme mariée avec l'accord du mari. Pratique courante au XVIII° siècle surtout en Italie, mais aussi à Nice qui à l'époque n'était pas rattachée à la France. Je suis tombé sur ce mot en lisant des textes de Tobias Smollett un romancier écossais. Renseignements pris cette attitude aurait connu une levèe de boucliers des aficionados du risorgimento nourri des idées révolutionnaires françaises avec des hommes tel Garibaldi
lire ce qu'en dit de façon savoureuse wikipédia : ici

Que Talisma Nasreen, écrivain et livre penseur, avait subi de nouvelles menaces de mort de la part des islamistes radicaux et qu' elle
devra une fois de plus s' exiler.

Que  Kenzaburo Oé, en 2012, avait présenté au Premier ministre japonais, une pétition de plus de 7 millions de signatures pour
l' abandon de l' énergie nucléaire.

Acédie : genre de mélancolie, le Larousse dit qu'elle serait dûe à l'indifférence, au découragement ou au dégoût.
En lisant le livre d'Anne Pons sur James Cook je suis tombé sur ce terme, Cook en souffrait. L'auteure motive la violence de Cook à la fin de sa vie, la cruauté des châtiments qu'il infligeait à ses marins, les punitions de plus en plus violentes infligées aux indigènes par la présence de cette maladie. Si bien que son equipage s'éloigna de lui et que les indigènes le défièrent de plus en plus jusqu'à en arriver à le tuer de façon horrible et à se livrer à de l'anthropophagie...
Le film avec Russell Crowe : Master and Commander, de Peter Weir, se rapprocherait du personnage de Cook...

Je suis entrain de lire Chateaubriand, et le personnage souffre un peu de maux similaires, selon l'auteur la seule voie vers la guérison et la rédemption est de se plonger avec piété dans la religion... (point d'anthropophagie cependant dans ma lecture, il faut plutôt aller chez Conrad )

Cette maladie serait aussi liée à la religiosité, je n'ai pas fini le livre sur Cook et il ne semble pas que ce soit son problème principal..

plutôt que lié à la religiosité c'est que c'est un terme utilisé dans un contexte spirituel non ?