Nos lectures de novembre 2013

L'ange gonflable de Zaza Burchuladze

Marko a écrit:

Me voilà enfin replongé dans la lecture avec La symphonie de Leningrad de Sarah Quigley. C'est distrayant. Des chapitres courts. Une écriture fluide ni trop plate ni trop recherchée. Une façon de découvrir cette époque et l'univers de la musique de Chostakovitch de façon très vivante (il n'était pas tendre avec Prokofiev ou Wagner...). Je continue!

Je l'avais vu dans une librairie mais en le feuilletant j'ai eu l'impression qu'il s'agissait surtout de dialogues... entourant peu de textes... du coup je l'ai reposé... je vais donc suivre ton commentaire.

Actuellement, j'ai commencé une nouvelle série de lectures. Poursuivi les anciennes de ma liste... en ai rajouté d'autres au passage... Je lis Deborence de Ramuz... Entre Gracq et Ramuz, j'ai bien l'impression qu'on parle de deux plumes différentes. Celle de Ramuz est plus conventionnelle à l'univers littéraire. Il en résulte un côté qui me laisse supposer que Ramuz ne s'est pas dépassé dans ce livre comme Gracq l'aurait fait dans Le rivage des syrtes.

Outre ceci, mon attention va aux livres suivants :

- Elke Winter, Max Weber et les relations ethniques. Du refus du biologisme racial à l'État multinational suivi de Le débat sur «race et société» au premier Congrès de la Société allemande de sociologie (1910)
- Jean-Michel Maulpoix, Par quatre chemins. Francis Ponge, Henri Michaux, René Char, Saint-John Perse

Je lis L'un des nôtres de Willa Cather, sans en tirer le plaisir intense que j'en attendais (malgré certains passages à la sensibilité fort touchante. et puis, ça parle de famille, alors...)

shanidar a écrit:

Marko a écrit:

Me voilà enfin replongé dans la lecture avec La symphonie de Leningrad de Sarah Quigley. C'est distrayant. Des chapitres courts. Une écriture fluide ni trop plate ni trop recherchée. Une façon de découvrir cette époque et l'univers de la musique de Chostakovitch de façon très vivante (il n'était pas tendre avec Prokofiev ou Wagner...). Je continue!

Je l'avais vu dans une librairie mais en le feuilletant j'ai eu l'impression qu'il s'agissait surtout de dialogues... entourant peu de textes... du coup je l'ai reposé... je vais donc suivre ton commentaire.

Chez Dostoïevski aussi il y a beaucoup de dialogues   Mais ici c'est une écriture classique de roman de distraction. Pas sûr que ce soit de la grande littérature mais ça se lit bien. J'y reviendrai.

coline a écrit:

shanidar a écrit:

Aral de Cécile Ladjali

Je lirai avec plaisir ton commentaire. 

lu 140 pages hier sans pouvoir m'arrêter, je suis complètement sous le charme de cette écriture qui parle de passion, de musique et de disparition...

Un fantasme : Paresse, histoire d'un péché capital d'André Rauch.

jack-hubert bukowski a écrit:

Je lis Deborence de Ramuz... Entre Gracq et Ramuz, j'ai bien l'impression qu'on parle de deux plumes différentes. Celle de Ramuz est plus conventionnelle à l'univers littéraire. Il en résulte un côté qui me laisse supposer que Ramuz ne s'est pas dépassé dans ce livre comme Gracq l'aurait fait dans Le rivage des syrtes.

Je viens de terminer La Beauté sur la terre et me faisais aussi la même réflexion à propos de Ramuz que j'ai mis en parallèle avec Gracq, à propos de leurs sublimes descriptions bien qu'ils ne se ressemblent pas. J'avoue mon faible pour Ramuz qui fait chanter la montagne tandis que Gracq me semble plus sophistiqué dans son Rivage des Syrtes.

Ayant été séduite par les commentaires de Bix, j'ai commencé Italo SVEVO, La Conscience de Zeno.

Flibustière a écrit:

jack-hubert bukowski a écrit:

Je lis Deborence de Ramuz... Entre Gracq et Ramuz, j'ai bien l'impression qu'on parle de deux plumes différentes. Celle de Ramuz est plus conventionnelle à l'univers littéraire. Il en résulte un côté qui me laisse supposer que Ramuz ne s'est pas dépassé dans ce livre comme Gracq l'aurait fait dans Le rivage des syrtes.

Je viens de terminer La Beauté sur la terre et me faisais aussi la même réflexion à propos de Ramuz que j'ai mis en parallèle avec Gracq, à propos de leurs sublimes descriptions bien qu'ils ne se ressemblent pas. J'avoue mon faible pour Ramuz qui fait chanter la montagne tandis que Gracq me semble plus sophistiqué dans son Rivage des Syrtes.

Ayant été séduite par les commentaires de Bix, j'ai commencé Italo SVEVO, La Conscience de Zeno.

Il est dans ma PAL depuis des lustres .....J'attends tes commentaires avec impatience !

églantine a écrit:

Flibustière a écrit:

jack-hubert bukowski a écrit:

Je lis Deborence de Ramuz... Entre Gracq et Ramuz, j'ai bien l'impression qu'on parle de deux plumes différentes. Celle de Ramuz est plus conventionnelle à l'univers littéraire. Il en résulte un côté qui me laisse supposer que Ramuz ne s'est pas dépassé dans ce livre comme Gracq l'aurait fait dans Le rivage des syrtes.

Je viens de terminer La Beauté sur la terre et me faisais aussi la même réflexion à propos de Ramuz que j'ai mis en parallèle avec Gracq, à propos de leurs sublimes descriptions bien qu'ils ne se ressemblent pas. J'avoue mon faible pour Ramuz qui fait chanter la montagne tandis que Gracq me semble plus sophistiqué dans son Rivage des Syrtes.

Ayant été séduite par les commentaires de Bix, j'ai commencé Italo SVEVO, La Conscience de Zeno.

Il est dans ma PAL depuis des lustres .....J'attends tes commentaires avec impatience !

Et moi donc !

Je vous communique mon avis sur La Conscience de Zeno dès que possible !

En parallèle avec Le Roi Lear, La Répétition de Eleanor Catton.

domreader a écrit:

En parallèle avec Le Roi Lear, La Répétition de Eleanor Catton.

J'espère que tu vas prendre plaisir à la lecture de Catton ! il faut absolument que j'édite le com' qui est prêt depuis des mois sur ce livre extrêmement riche et puissant... et qui doit donner sérieusement à penser aux profs !

Je commence avec un livre de Mazarine Pingeot "Pour mémoire".