Nos lectures de novembre 2014

topocl a écrit:

églantine a écrit:

De joyeuses funérailles :  Ludmila Oulitskaïa

Ca me plait, ce titre.

Hum....Si j'ai trouvé assez jubilatoire pendant une petite moitié du livre , "la sauce " ne tient pas dans la dernière moitié !
Pas désagréable dans le genre" loufoque tendre" , mais il manque un peu de corps dans tout ça !

J'attaque La limite de l'oubli de Sergueï Lebedev.

coline a écrit:

J'attaque La limite de l'oubli de Sergueï Lebedev.

Le thème donne envie.

Epi a écrit:

Sullien a écrit:

Dreep a écrit:

Je suis un peu circonspect à l'approche de Victor Hugo, une première lecture de Notre-dame de Paris (il m'est tombé des mains) il y a quelques temps m'avait laissé la désagréable impression d'un récit surfait.

Je n'avais pas trop aimé Notre-Dame de Paris non plus. Très lourd, très architectural (même s'il offre des clés de lecture pour comprendre les enjeux de son écriture, comme le concept d'anankè). Si l'envie t'en prend, essaie Quatre-vingt treize pour voir...

J'avais beaucoup aimé Notre-Dame de Paris moi mais mon plus beau souvenir de Victor Hugo reste La fin de Satan, lu il y a plus de 30 ans mais rien que d'y penser j'en ai des frissons.
J'espère un jour me plonger dans Les misérables, je crois n'avoir lu que des extraits.

J'y suis moi Epi dans les Misérables, dans les égouts avec Jean Valjean . C'est une relecture, je redécouvre des choses, c'est tellement foisonnant et riche.

Madame B. a écrit:

Epi a écrit:

Sullien a écrit:

Dreep a écrit:

Je suis un peu circonspect à l'approche de Victor Hugo, une première lecture de Notre-dame de Paris (il m'est tombé des mains) il y a quelques temps m'avait laissé la désagréable impression d'un récit surfait.

Je n'avais pas trop aimé Notre-Dame de Paris non plus. Très lourd, très architectural (même s'il offre des clés de lecture pour comprendre les enjeux de son écriture, comme le concept d'anankè). Si l'envie t'en prend, essaie Quatre-vingt treize pour voir...

J'avais beaucoup aimé Notre-Dame de Paris moi mais mon plus beau souvenir de Victor Hugo reste La fin de Satan, lu il y a plus de 30 ans mais rien que d'y penser j'en ai des frissons.
J'espère un jour me plonger dans Les misérables, je crois n'avoir lu que des extraits.

J'y suis moi Epi dans les Misérables, dans les égouts avec Jean Valjean . C'est une relecture, je redécouvre des choses, c'est tellement foisonnant et riche.

Quel épisode que celui des égoûts ! je ne te dis pas comment il va se terminer bien sûr...
On est en pleine aventure avec les Misérables, du début à la fin.

Madame B. a écrit:

J'y suis moi Epi dans les Misérables, dans les égouts avec Jean Valjean . C'est une relecture, je redécouvre des choses, c'est tellement foisonnant et riche.

Oui, ça ne m'étonne pas, avec ce genre de livre, une seule lecture suffit rarement. Je le programme mais je ne sais pas encore pour quand.

Album de famille de Lascano Tegui.

Après Le Voyage dans le passé (Zweig ; bien supérieur au film de Patrice Leconte), j'ai commencé La Belle au Bois (pièce de théâtre de Supervielle).

Marko a écrit:

coline a écrit:

J'attaque La limite de l'oubli de Sergueï Lebedev.

Le thème donne envie.

Oui, je l'ai trouvé très original pour poursuivre mon chemin en littérature russe.

Editeur:
Le premier roman de Sergueï Lebedev (né en 1981) se présente comme une enquête. Ayant survécu, enfant, à la morsure d’un chien grâce à une transfusion sanguine, le narrateur cherche à connaître l’identité de celui dont le sang coule désormais dans ses veines et dont la personnalité recèle un mystère.
Ayant grandi pendant la période de transition qui a suivi la perestroïka et la chute du régime, Lebedev appartient à une génération héritière d’une mémoire historique « trouée » pour laquelle la violence politique − pourtant centrale dans la conscience collective des Russes − demeure fiction ou cauchemar.
La Limite de l’oubli est le premier roman d’un jeune auteur qui a su s’affranchir des limites imposées par l’effacement des années soviétiques. Il a mis au service de ce projet non seulement son talent littéraire, mais également son expérience de géologue qui l’avait conduit, à travers l’immensité de l’espace russe, vers les vestiges des camps et les paysages du Grand Nord, magistralement évoqué dans leur dimension à la fois mythique et politique.

Arabella a écrit:

Album de famille de Lascano Tegui.

couverture de Caillebotte... et un résumé intéressant... j'attends tes impressions

Après le divertissant moment passé avec Les plus belles mains de Delhi, je suis plongée dans un policier très prenant mais beaucoup plus mélancolique, Le retour de Robert Goddard.

L'envoûtement de Lily Dahl de Siri Hustvedt

Un peu décevant l'Ivresse de la métamorphose... Il m'a coupé l'envie de lire un Zweig de plus, et pourtant, le Monde d'Hier m'attend toujours dans ma bibliothèque.

J'ai de plus en plus de mal à lire en ce moment, problèmes de concentration. Pourtant, Moby Dick s'avère être carrément génial. Les septs fous intéressant et immersif. En revanche, L'homme sans qualités je suis pas encore tout à fait dedans. Et Le Château est un peu poussif pour l'instant.

Et bien je ne suis pas complètement dans Le désert des Tartares. Le rythme un peu trop haché ou alors le lecteur qui a du mal à ralentir (et à durer, tendance à m'endormir sur ma lecture à peu près tous les soirs).