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shanidar a écrit:

L'une de mes premières rencontres avec la littérature d'Amérique latine et un très gros coup de cœur !! Bonne lecture, Quasimodo !

Merci !! Après L'oreiller de plume et Les bateaux suicides, je suis déjà conquis.

jack-hubert bukowski a écrit:

- Choix de poèmes réunis par l'auteur, Paul Celan

Le même choix de poèmes que l'édition poésie-gallimard ? C'est pas toujours facile d'accès, je trouve. J'aimerais bien te lire à son sujet.

- Correspondance des routes croisées. 1945-1964, Nicolas Bouvier et Thierry Vernet

J'imagine que c' est passionnant, Jack. Et en plus une célébration de l' amitié.

L'homme que l'on croyait de Paul Pavlowitch (le neveu de Romain Gary qui a joué le rôle d'Emile Ajar).

Quasimodo a écrit:

jack-hubert bukowski a écrit:

- Choix de poèmes réunis par l'auteur, Paul Celan

Le même choix de poèmes que l'édition poésie-gallimard ? C'est pas toujours facile d'accès, je trouve. J'aimerais bien te lire à son sujet.

Bien justement, j'ai déjà fait part de mes réticences à ce sujet. Je veux les vérifier. Je me disais que le choix de Celan devait vouloir dire qu'il voulait léguer quelque chose à notre attention. J'ai plusieurs recueils de la collection Points, ce qui pourrait m'aider à cheminer dans la compréhension des recueils de Celan. Après tout, le recueil rétrospectif de Michaux, L'espace du dedans est une réussite. Il faut aller vers ce qui nous résiste dans un premier temps et déchiffrer nos impressions.

bix229 a écrit:

- Correspondance des routes croisées. 1945-1964, Nicolas Bouvier et Thierry Vernet

J'imagine que c' est passionnant, Jack. Et en plus une célébration de l' amitié.

Pour avoir eu un aperçu de cette complicité ineffable entre les deux protagonistes dans L'usage du monde, cette correspondance devrait être fort instructive. Remarquez, cette brique fait plus de 1000 pages et il y a une période d'une année ou deux qui fait plus de 700 pages, voire 800... ça risque de comporter son lot de découvertes. Ça augure bien pour cette session, pendant que j'étudie la problématique des récits de voyages et reviens sur mes expériences de flânerie. L'ouvrage est publié aux éditions Zoé. Habituellement, ils ont tendance à publier des choses intéressantes.

C' est vrai, Zoé  est un très bon éditeur suisse qui reflète bien la littérature de son pays.

jack-hubert bukowski a écrit:

Bien justement, j'ai déjà fait part de mes réticences à ce sujet. Je veux les vérifier. Je me disais que le choix de Celan devait vouloir dire qu'il voulait léguer quelque chose à notre attention. J'ai plusieurs recueils de la collection Points, ce qui pourrait m'aider à cheminer dans la compréhension des recueils de Celan. Après tout, le recueil rétrospectif de Michaux, L'espace du dedans est une réussite. Il faut aller vers ce qui nous résiste dans un premier temps et déchiffrer nos impressions.

Je suis tout à fait d'accord et je veux y revenir. D'autant plus que j'adore un des poèmes.
Mais j'ai sûrement un peu trop survolé le recueil, qui demande sans doute plus d'attention que ça. Après les affinités suivront ou pas ...

Ramené d'Emmaüs :
R. Musil : "Oeuvres pré-posthumes (titre curieux et tampon pilon de médiathèque )
R-M. Rilke : "Elégies à Duino" et "Sonnets à Orphée" (parce que j'ai entendu l'autre jour à France Inter Sandrine Bonnaire lire le début de la première élégie et que cela m'a ému)
Pour la distraction "Dans les archives secrètes de la police", parce qu'en le feuilletant, je suis tombé sur un registre de la Sûreté générale de 1937 au sujet "du nommé Breton, André, signalé comme extrémiste révolutionnaire"

Elégies à Duino peut être le chef d'oeuvre de Rilke.

Quasimodo a écrit:

jack-hubert bukowski a écrit:

Bien justement, j'ai déjà fait part de mes réticences à ce sujet. Je veux les vérifier. Je me disais que le choix de Celan devait vouloir dire qu'il voulait léguer quelque chose à notre attention. J'ai plusieurs recueils de la collection Points, ce qui pourrait m'aider à cheminer dans la compréhension des recueils de Celan. Après tout, le recueil rétrospectif de Michaux, L'espace du dedans est une réussite. Il faut aller vers ce qui nous résiste dans un premier temps et déchiffrer nos impressions.

Je suis tout à fait d'accord et je veux y revenir. D'autant plus que j'adore un des poèmes.
Mais j'ai sûrement un peu trop survolé le recueil, qui demande sans doute plus d'attention que ça. Après les affinités suivront ou pas ...

Michaux a été original dès le début, meme si l' humour de Plume a presque disparu après la guerre de 1940 et la mort de sa femme.
A ceux qui en commencent la lecture de Michaux, je recommande Ecuador son premier livre publié.

La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan

Sympa ton Emmaüs Arensor ! Les oeuvres pré-posthumes, je l'ai lu l'an passé, il ne m'en reste pas grand-chose, si ce n'est la sensation de quelque chose à la fois agréable, ardu, et qui me dépassait.

Dreep a écrit:

La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan

ah ah j'espère que tu nous en diras quelques mots !

shanidar a écrit:

Dreep a écrit:

La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan

ah ah j'espère que tu nous en diras quelques mots !

Ah oui je suis curieuse aussi de ton commentaire !

Ah oui, je le commence après avoir terminé Le Pavillon des Cancéreux (c'est-à-dire aujourd'hui ou demain), l'édition est magnifique déjà... mais venant de Monsieur Toussaint Louverture...

Le feu aux poudres de Philippe Huet.