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| Alexandre Sokourov | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Sam 23 Juin 2012 - 22:45 | |
| Je suis totalement passée à côté de Faust, je rejoins d’ailleurs assez bien Animal dans son appréciation : brouhaha, discours abscons d’un ennui assommant, trop dense aussi bref on étouffe, on manque vite d’oxygène et on pique du nez après ¾ d’heure de vision. J’ai été frustrée de devoir écouter des dialogues auxquels je n’y comprenais pas grand-chose sans pouvoir me concentrer comme je le voulais sur la richesse des images, engendrant à force une grande frustration et un découragement à poursuivre la vision de cette œuvre. Je retiens une beauté des images et la succession de tableaux évoquant la peinture des siècles passés mais aussi un ennui vertigineux et une logorrhée totalement indigeste. Remarque en passant mais qui a son importance : je ne l’ai pas vu au cinéma mais sur petit écran, je pense que cela n’aide pas à apprécier ce genre de film. Je l’ai finalement abandonné à mi-parcours… |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Sam 23 Juin 2012 - 22:52 | |
| c'est un peu pareil mais dans l'autre sens on dirait... j'aurais plus volontiers délaissé les images pour garder le texte ? | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Sam 23 Juin 2012 - 22:54 | |
| - Arabella a écrit:
- Marko a écrit:
- Les critiques expriment le même clivage radical. Souvent le signe d'œuvres importantes.
Ou alors d'impostures.
c'est vrai Bien que les impostures entraînent plus souvent des louanges unanimes avec quelques voix discordantes qu'on ne veut pas entendre. C' est intessant de voir les films qui provoquent à Cannes des combats de bravos et de sifflets simultanés. Ce sont souvent des films fabuleux à mon goût. Et la postérité les remet à leur place. Proust parle très bien de ce phénomène et l'histoire des arts est pleine de ces affrontements. Ok pour la sensibilité de chacun à tel type de cinéma plutôt qu'un autre. On ne pourrait plus s'opposer avec conviction si on aimait les mêmes choses. D'ailleurs le cinéma de Sokourov n'est pas celui que je préfère (Le cheval de Turin me subjugue aussi davantage) mais ce Faust est un objet incroyable. Mon cinéaste préfère reste Tsai Ming Liang et Apichatpong Weerastehakul est en train de le rejoindre.
Dernière édition par Marko le Sam 23 Juin 2012 - 22:59, édité 1 fois | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Sam 23 Juin 2012 - 22:58 | |
| - sentinelle a écrit:
- Je suis totalement passée à côté de Faust, je rejoins d’ailleurs assez bien Animal dans son appréciation : brouhaha, discours abscons d’un ennui assommant, trop dense aussi bref on étouffe, on manque vite d’oxygène et on pique du nez après ¾ d’heure de vision. J’ai été frustrée de devoir écouter des dialogues auxquels je n’y comprenais pas grand-chose sans pouvoir me concentrer comme je le voulais sur la richesse des images, engendrant à force une grande frustration et un découragement à poursuivre la vision de cette œuvre. Je retiens une beauté des images et la succession de tableaux évoquant la peinture des siècles passés mais aussi un ennui vertigineux et une logorrhée totalement indigeste. Remarque en passant mais qui a son importance : je ne l’ai pas vu au cinéma mais sur petit écran, je pense que cela n’aide pas à apprécier ce genre de film. Je l’ai finalement abandonné à mi-parcours…
c'etait mon ressenti initial également (j'ai aussi failli sortir) mais la seconde partie a tout emporté sur son passage. Et quelle fin quand même! Il y a des films qui demandent des efforts mais ça en vaut la peine. P.S. Je vous conseille le numéro des Cahiers du cinéma qui consacre sa une au film. Je l'ai lu cet après midi et c'est très instructif. P.S.2 et jetez egalement un œil au cercle de canal +. Marie sauvion est géniale comme d'habitude dans son éreintement du film qui a été une épreuve pour elle aussi! | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 18:09 | |
| - animal a écrit:
- la question serait sans le sujet de départ pour la richesse que resterait-il ?
Il resterait probablement tout ce que Sokourov a mis des mois ou des années à élaborer en faisant son Faust. Je me dis qu'un cinéaste aussi singulier et exigeant que lui ne peut certainement pas se contenter de faire de l'esbrouffe ou de l'illustration vide et vaine. Après on peut ne pas aimer et s'y ennuyer mais il a certainement beaucoup à nous apprendre et à nous transmettre qui me donne envie d'approfondir. Dans ce qu'il révèle de Goethe et dans ce qu'il en fait. Dommage que cet approfondissement on ne le tente pas ensemble ici par exemple. Chercher et creuser en même temps que douter et résister... En voyant le film j'ai senti énormément de choses au niveau sensoriel mais je me sens encore sur le seuil. Des échos à l'art occidental, à d'autres cinéastes, à d'autres philosophies que ce mythe concentre dans cette lecture qu'il en donne au XXIe siècle. Cette incompatibilité entre une humanité jouissante et grotesque et une nature hiératique écrasante (ces étendues minérales, ces eaux absorbantes ou éruptives, cette forêt proliférante...), ce néant absolu magnifique (y compris de la connaissance) recouvert par la laideur de cette cacophonie maladive et grouillante qui cherche à s'en détourner. C'est un cauchemar existentiel où des figures maléfiques et angéliques métaphoriques se croisent et s'affrontent devant des êtres humains à moitié fous et ne cherchant que le plaisir avant de se décomposer. L'écriture de Goethe s'incarne ici dans une vision qui revisite la tradition esthétique pour la dépasser dans un langage purement cinématographique. Le fait de passer par tous ces stades de l'agitation insupportable et chaotique rendue par le mouvement perpétuel de la caméra et de la musique à ces moments suspendus dans la forêt ou à l'égarement final met le spectateur dans un état d'inconfort où une partie de ce qui a consitué artistiquement et intellectuellement l'histoire de l'humanité nous traverse. Différents climats, états d'âme, représentations du monde. Je ne sais pas comment décrire ça mais il était probablement nécessaire de nous exaspérer et nous écoeurer dans un premier temps pour mieux nous terrasser dans les scènes finales. C'est une quête absurde qui n'a pas de fin, pas de réponse, pas de révélation spirituelle ou métaphysique même si l'amour était envisagé comme un espoir peut-être. Il n'y a que du vide et d'ailleurs les corps de l'homme et de la femme enfin unis sont absorbés par cette eau opaque et sans fond (image magnifique). J'en suis là et je sens bien qu'il y a encore bien plus. Dans le texte, dans la forme, dans ce langage cinématographique qui donnera droit à des thèses entières dans le futur c'est évident. Il faut du temps pour digérer une monstruosité aussi géniale. Pour en révéler les merveilles. Mais de pouvoir déjà en sentir la puissance est une expérience que je ne regrette pas même s'il m'a donné un peu de mal. Pas tant que ça finalement d'ailleurs. Mais ça n'est pas à un voyage confortable qu'il nous a invités. Tant mieux! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 19:01 | |
| - Marko a écrit:
- sentinelle a écrit:
- Je suis totalement passée à côté de Faust, je rejoins d’ailleurs assez bien Animal dans son appréciation : brouhaha, discours abscons d’un ennui assommant, trop dense aussi bref on étouffe, on manque vite d’oxygène et on pique du nez après ¾ d’heure de vision. J’ai été frustrée de devoir écouter des dialogues auxquels je n’y comprenais pas grand-chose sans pouvoir me concentrer comme je le voulais sur la richesse des images, engendrant à force une grande frustration et un découragement à poursuivre la vision de cette œuvre. Je retiens une beauté des images et la succession de tableaux évoquant la peinture des siècles passés mais aussi un ennui vertigineux et une logorrhée totalement indigeste. Remarque en passant mais qui a son importance : je ne l’ai pas vu au cinéma mais sur petit écran, je pense que cela n’aide pas à apprécier ce genre de film. Je l’ai finalement abandonné à mi-parcours…
c'etait mon ressenti initial également (j'ai aussi failli sortir) mais la seconde partie a tout emporté sur son passage. Et quelle fin quand même! Il y a des films qui demandent des efforts mais ça en vaut la peine. Bon, tu m'as convaincue Marko : je vais tenter de voir cette seconde partie qui semble avoir tout emporté sur son passage, histoire de vérifier par moi-même - Marko a écrit:
- P.S. Je vous conseille le numéro des Cahiers du cinéma qui consacre sa une au film. Je l'ai lu cet après midi et c'est très instructif.
Merci de l'info. - Marko a écrit:
- P.S.2 et jetez egalement un œil au cercle de canal +. Marie sauvion est géniale comme d'habitude dans son éreintement du film qui a été une épreuve pour elle aussi!
Vu. J'aime beaucoup Marie Sauvions, ces commentaires sont toujours savoureux et non dénués d'humour. Je m'y retrouve assez dans ce qu'elle dit mais pas totalement non plus, disons que je trouve au film quelques qualités, contrairement à elle qui le descend totalement. |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 19:16 | |
| Tu vas rentrer dans la salle à mi-séance? tu avais vu la scène du cimetière et toute la forêt ? | |
| | | Invité Invité
| | | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 19:35 | |
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| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 19:40 | |
| J'ai trouvé ce joli commentaire d'une blogeuse qui revenait de voir l'opéra de Gounod et qui trouve bien sa place ici à mon avis. - Citation :
- Cet opéra très moralisateur, très chrétien est assez éloigné finalement du Faust original de Gœthe. Pourtant, dès la première ligne du livret tout est dit :
« Rien!... -- En vain j'interroge, en mon ardente veille, La nature et le Créateur; Pas une voix ne glisse à mon oreille Un mot consolateur! J'ai langui triste et solitaire, Sans pouvoir briser le lien Qui m'attache encore à la terre!... Je ne vois rien! -- Je ne sais rien!... »
C'est vraiment drôle comme ce "rien" et ce "je ne sais rien" entraînent le pauvre Docteur Faust dans le cynisme, le mal qui est ici vu comme la recherche éperdue des plaisirs, alors qu'ailleurs (je pense à l'Orient bien sûr), ce même "rien" serait accueilli avec Joie et sérénité. Le rien de Faust est le néant et le nihilisme qui fait si peur à l'Occident comblé et angoissé par le Faire. Alors que le rien peut être aussi la liberté, le simple être… encore faut-il se laisser aller. D'où cette fin mystique, de rédemption, puisque ici nous ne sommes pas capable (encore ?) de penser hors du dualisme… bien et mal, faire et être, tout et rien. Au-delà du rien, il faut voir ce lien qui attache, source de nos conflits internes et de toutes nos souffrances. C'est ce "Faire" que filme Sokourov par ce mouvement continu et incessant qui rend le final d'un silence et d'un calme d'éternité d'autant plus mystérieux et émouvant. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 20:25 | |
| Autre commentaire pris au hasard des lectures sur le net et qui suggère que le travail plastique est en lui-même porteur de sens. J'aime bien cette notion de cauchemar chromatique qui permet de rendre compte de la dimension organique de l'oeuvre (on pourrait presque être à l'intérieur d'un corps humain) dont le texte proliférant constituerait plutôt la dimension métaphysique devenue stérile. Le spectateur étant déchiré entre cette pensée envahissante et de plus en plus hermétique jusqu'à l'absurde et un vécu sensoriel viscéral comme l'expérimente Faust lui-même. A l'arrivée reste cette énigme existentielle sous la forme d'un chemin qui s'enfonce dans la montagne vers un ailleurs inconnu avec la mort pour seule certitude. - Citation :
- En cela, "Faust" n'est pas une simple tache de couleur vert-marron que Sokourov se serait amusé à aplatir sur ses plans du début à la fin. Surtout que le film s'illumine au fur et à mesure. Comme on peut le voir dans le numéro de juin des "Cahiers du Cinéma", Sokourov prépare tout un étalonnage chromatique pour ses films, des nappes de couleurs qui englobent successivement chaque plan, et marquent à l'intérieur même des séquences des ruptures de ton. Le film se transforme en tableau vivant, un tableau qui pourrirait de l'intérieur. Il impose une approche sensorielle qui est liée à cet étalage de matière, que ce soit la chair directement présentée ou les nuances de couleurs, et par là, il est donc primordial de voir "Faust" en salle. Toute son efficacité vient de son effet physique sur le spectateur qui a ainsi l'impression de voyager dans un cauchemar chromatique. Aspect, encore une fois, organique de l’œuvre qui s'oppose à sa réflexion métaphysique, c'est le dilemme de "Faust".
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| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 23:12 | |
| - Marko a écrit:
- J'ai trouvé ce joli commentaire d'une blogeuse qui revenait de voir l'opéra de Gounod et qui trouve bien sa place ici à mon avis.
- Citation :
- Cet opéra très moralisateur, très chrétien est assez éloigné finalement du Faust original de Gœthe. Pourtant, dès la première ligne du livret tout est dit :
« Rien!... -- En vain j'interroge, en mon ardente veille, La nature et le Créateur; Pas une voix ne glisse à mon oreille Un mot consolateur! J'ai langui triste et solitaire, Sans pouvoir briser le lien Qui m'attache encore à la terre!... Je ne vois rien! -- Je ne sais rien!... »
C'est vraiment drôle comme ce "rien" et ce "je ne sais rien" entraînent le pauvre Docteur Faust dans le cynisme, le mal qui est ici vu comme la recherche éperdue des plaisirs, alors qu'ailleurs (je pense à l'Orient bien sûr), ce même "rien" serait accueilli avec Joie et sérénité. Le rien de Faust est le néant et le nihilisme qui fait si peur à l'Occident comblé et angoissé par le Faire. Alors que le rien peut être aussi la liberté, le simple être… encore faut-il se laisser aller. D'où cette fin mystique, de rédemption, puisque ici nous ne sommes pas capable (encore ?) de penser hors du dualisme… bien et mal, faire et être, tout et rien. Au-delà du rien, il faut voir ce lien qui attache, source de nos conflits internes et de toutes nos souffrances. C'est ce "Faire" que filme Sokourov par ce mouvement continu et incessant qui rend le final d'un silence et d'un calme d'éternité d'autant plus mystérieux et émouvant. C'est discutable (aussi) quand même. Il n'y a pas que la recherche des plaisirs; il y a la connaissance et le pouvoir où la maitrise de quelque chose qui sont en jeux (d'ailleurs la perte, l'abandon, de ce pouvoir est une motivation de la "remontée"). C'est une fuite sans fin et qui n'en a heureusement pas. Sinon il n'y aurait pas l'agitation du docteur, Faust avec une liberté en vue ce serait bizarre, on y perdrait la tension. Simplification : condition humaine et ses tourments. Et si on insiste sur le film, avant même de s'endormir, on comprend quand même qu'il est question de la place de l'âme, une place dans un monde physique mais pas seulement puisque travers l'obscure retrait initial c'est une âme figée et figée en dehors de sa place qui est donnée en pâture au lecteur. Et c'est une histoire très axée sur le domaine spirituel et la dualité n'est donc pas si évidente (même si dans le film les morceaux fantastiques sont plus banalisés). La fin est trop post-mortem, ça fait un peu pirouette pour aborder l'enjeu. Enjeu que de façon contradictoire et en reprenant les mêmes mots extrait du livret : quelle position sur ce chemin étrange de la vie si on ne sait rien : position morale effectivement, mais c'est très présent dans le texte, très chahuté et très présent. A côté reste un rien qu'on peut envisager comme une vanité (la quête de pouvoir et de plaisirs sans fin). ça ressemble un peu à cette vision somme toute moralisante du rien pacificateur de l' ainsité (qu'il n'est pas toujours si facile de sortir du faire ou de la morale, orient inclus je crois). Je n'aime pas les images bidouillées à outrance donc (et qui vont en sens inverse de mon sens de l'organique)... mais j'ai été déçu par la texture, plutôt l'absence de texture par rapport au Soleil ou il y en avait de très bien amenées avec des tissus. M'enfin, tant mieux si ça t'a plu | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Dim 24 Juin 2012 - 23:25 | |
| Merci pour ton commentaire. C'est intéressant. Il faut d'ailleurs que je lise Faust maintenant dans ses 2 versions. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Lun 25 Juin 2012 - 15:28 | |
| - Marko a écrit:
Je vous conseille le numéro des Cahiers du cinéma qui consacre sa une au film. Je l'ai lu cet après midi et c'est très instructif. Trouvé dans une station Total à 0,50 € (véridique) | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Alexandre Sokourov Lun 25 Juin 2012 - 16:43 | |
| - traversay a écrit:
- Marko a écrit:
Je vous conseille le numéro des Cahiers du cinéma qui consacre sa une au film. Je l'ai lu cet après midi et c'est très instructif. Trouvé dans une station Total à 0,50 € (véridique) Une promo pour les invendus? | |
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| | | | Alexandre Sokourov | |
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