Le Café Littéraire - ici on cause....

je ne vois guère en dire plus à ce sujet: la peur de manquer est toujours là, les librairies ou bouquineries ne sont que sirènes impossible à éviter (même à Rome!) . Ah, une bizarrerie: il n'y a pas de disputes conjugales lors de l'empaquetage des livres...devinez pourquoi
Biblio est pareil...du coup ça nous fait un gros sac en plus!

Chatperlipopette a écrit:

je ne vois guère en dire plus à ce sujet: la peur de manquer est toujours là, les librairies ou bouquineries ne sont que sirènes impossible à éviter (même à Rome!) . Ah, une bizarrerie: il n'y a pas de disputes conjugales lors de l'empaquetage des livres...devinez pourquoi
Biblio est pareil...du coup ça nous fait un gros sac en plus!

Moi aussi, évidemment, je prends trop de livres; envrion 5 pour un week-end de 2 jours
Mais je ne me fais pas dispuer car j'en prends aussi pour Monsieur, et puis de toute façon, il ne vérifie pas mon sac

kenavo a écrit:

Avec les vacances qui se rapprochent, je me demande comment vous faites pour les lectures pendant les semaines de vos vacances?
Emportez-vous des livres? ou pas? Votre lecture 'normale'? ou plus 'allégée'?

Je disais donc que, pour un week-end, j'emmène environ 5 livres, au cas où...(je n'aimerais pas 4 livrs/5, je m'ennuierais ou que sais-je encore)

J'emmène forcément des livres.
Quand je vais en métropole, un peu moins car j'en achète énormément sur place.

A l'étranger, j'emmène au moins un livre dont l'action se passe dans le pays où je vais.

Dans tous les cas, je prends trop, pour avoir le choix selon l'envie du moment, si le livre ne me plaît pas. Et je ne prends presque que des poches, question de place, donc parfois, j'abandonne un livre broché avant mes vacances pour le reprendre à mon retour.

Moi aussi j'emmene des livres !

Si je pars dans un pays dont je connais la langue, j'en achète sur place, pour me forcer à lire un peu en VO. J'avais fait ça en Espagne, il y a 2 ans, et j'avais été étonnée de voir avec quelle facilité j'avais finalement réussi à m'y mettre (après quelques chapitres le dico sous le coude quand même ...).

L'année dernière, vacances à Venise, je ne parle pas Italien, alors pas d'achat de livre. J'en avait emmené 8, je crois ... J'avais eu le temps de tout lire. J'adore lire sur la plage !!

Dans 1 mois, quelques jours à Valencia, en Espagne ... peut-etre l'occasion d'un achat ... Si toutefois je trouve quelque chose dans le dialecte de ce que j'ai appris à l'école ... (le catalan ou le castillan, je ne sais jamais ...).

Dolce.vita a écrit:

Si toutefois je trouve quelque chose dans le dialecte de ce que j'ai appris à l'école ... (le catalan ou le castillan, je ne sais jamais ...).

Ce ne sont pas des dialectes mais des langues... Et à l'école, ce que l'on t'a enseigné c'est le castellano, le castillan...

coline a écrit:

Dolce.vita a écrit:

Si toutefois je trouve quelque chose dans le dialecte de ce que j'ai appris à l'école ... (le catalan ou le castillan, je ne sais jamais ...).

Ce ne sont pas des dialectes mais des langues... Et à l'école, ce que l'on t'a enseigné c'est le castellano, le castillan...

Merci, je ne sais jamais lequel c'est des deux ...
Dans ce cas, si je ne m'abuse, à Barcelone, c'est le catalan ... On comprenait rien aux panneaux ...

Dolce.vita a écrit:

Dans ce cas, si je ne m'abuse, à Barcelone, c'est le catalan ... On comprenait rien aux panneaux ...

Oui...Et si tu parles le castillan à des catalans proches de la frontière française, ils te répondent en Français...(Cela m'est arrivé plusieurs fois!).
La première fois j'ai pensé que je parlais trop mal l'espagnol...J'en étais un peu étonnée parceque je me débrouille assez bien dans cette langue. Après j'ai compris que c'était le moyen d'affirmer l'existence de leur langue.

oups, Kenavo peux-tu supprimer mon dernier post stp je ne vois pas la possibilité de le faire.

je croyais le sujet des livres en vacances terminé.

je remettrai plus tard mon post.

merci

Bédoulène a écrit:

oups, Kenavo peux-tu supprimer mon dernier post stp je ne vois pas la possibilité de le faire.

je croyais le sujet des livres en vacances terminé.

je remettrai plus tard mon post.

merci

Mais non, ma chère Bédoulène.. tu as tout à fait le droit de poser une autre question/un autre sujet.. si elle se perd, parce que pour le moment on est encore en train de parler d'autres choses, tu peux bien la reposer.. mais sinon.. je veux bien laisser ton message.. c'est un peu comme ça au café littéraire, non

Bonjour tous , bonne journée , bon week-end

je voulais partager avec vous, ceci.

Avant hier, j'écoutais parler Madame Sylvie Desrosiers
(invitée à une émission de radio) parler de ce
qu'elle a vécu tout au long de sa vie, en présence d'Animaux.

elle a même écrit un bouquin, qui ma foi semble très intéressant.

je note le titre pour un éventuel achat.

le titre : La perruche qui miaulait

L’œuvre de Sylvie Desrosiers regorge d’aventures rocambolesques,
d’histoires incroyables et de héros malicieux. Sa vie quant à elle est
peuplée… d’animaux! Dans son nouveau livre, La perruche qui miaulait,
c’est justement à travers les animaux domestiques qui l’ont accompagnée
tout au long de son existence plutôt mouvementée que l’auteure et
scénariste se raconte. Il en résulte un recueil de 15 récits dits
« zoobiographiques » pleins d’humour et d’émotion.

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ODE À LA VIE
C’est ces petits êtres vivants qu’elle a eu envie de décrire dans ce
nouveau roman. «C’est un hymne à la vie qui m’entoure, commente-t-elle.
Les animaux sont la preuve que ça continue pendant qu’on s’accroche et
qu’on se débat.»L’écriture, cette fois, s’est dotée d’un élément nouveau. Pour la
première fois, les mots n’ont pas suffi et Sylvie Desrosiers a eu envie
d’ajouter des illustrations pour qu’on voie bien la frimousse de ses
compagnons.«On dit que l’écriture est thérapeutique. Pour moi,
l’illustration l’a été bien davantage.»La perruche qui miaulait raconte toute cette vie qui a fait du bien à
la sienne. «On donne peu aux animaux par rapport à ce qu’on reçoit
d’eux, dit-elle. Dans les moments de silence, ils sont là à respirer, à
jacasser. Quand j’écris, mon chien se pose à mes pieds. Il donne
bellement!«Nous nous sommes fermés à la beauté du monde. On voit les animaux
comme une nuisance. Pourtant, ils font partie de la vie et nous sortent
de nos solitudes, souvent difficiles à supporter.» ---
une lecture qui je crois m'apportera beaucoup de joie

je ne sais plus où j'avais fait la remarque sur la violence (suite à la lecture de William Goyen). Si on doit parler de culture et de lecture. Avec la littérature américaine j'ai tendance à bloquer sur la violence donc et le communautarisme... très très présent. Je bloquais, je bloque.... de lectures en lectures cependant le blocage se teinte de "en fait c'est peut être le contexte"... très différent du miens, plus récent, très différent.

(cette pensée fait suite à la lecture en cours de Everyman de Philip Roth et l'évocation, de la famille, du passé, de la communauté.)

Amapola, merci, je note ce titre car j'ai très envie de lire ce livre.

Animal, comme tu le dis c'est certainemet le contexte.

Puisque je suis toujours partante de donner une chance aux petites maisons d'éditions, aux idées un peu à part, je ne pouvais faire autrement que prendre en main ce petit livre:


Une série de photographies dont il ignore tout est confiée à un écrivain. Il s'aventure alors dans l'écriture d'un roman où ces photographies croiseront la vie du héros pour la transformer.

Et un livre qui commence avec la citation
"...Et que la nuit glisse sur le bleu de ta jupe
Comme mon amour pour toi s'est glissé en mon coeur..." Tim La Poisse

et dont la collection est dirigée par une certaine Jeanne Benameur - il était plus que sûr que j'allais succomber

Vive la légèreté chez les Parfumés.. le photo roman est arrivé

Une nouvelle maison d'édition, Liz éditions, pointe le bout de son nez en lançant sa collection "Pink attitude": des livres, qui semblent fort beaux et attrayants, regroupant par thème de couleur, des clichés de photographes amateurs éclairés et de professionnels. A suivre donc...