Notre café littéraire.. ici on cause

Je me suis trompé.(dernière phrase)
La version première était:
Le train arriva à l'heure prévue et stoppa.... Il n"avait aucun retard. Pierre gagna l'emplacement que le plan indiquait pour la voiture 32...

Merci coline (est-ce délicat de repasser au passé simple ?)

monilet a écrit:

Je me suis trompé.(dernière phrase)
La version première était:
Le train arriva à l'heure prévue et stoppa.... Il n"avait aucun retard. Pierre gagna l'emplacement que le plan indiquait pour la voiture 32...

Ecoute ce que te dis Bellonzo...

Le nouveau Transfuge vient de sortir

Citation :

GRAND ENTRETIEN
Ce mois-ci, Transfuge consacre son Grand Entretien à l’auteur Claudio Magris à l’occasion de la parution de son roman « Vous comprendrez donc » aux éditions Gallimard.

DOSSIER CINEMA
Retrouvez également dans Transfuge un important dossier sur Clint Eastwood pour la sortie de son thriller « L’Echange ».
Sur les écrans le 12 novembre.

Une longue interview du cinéaste polonais Jerzy Skolimowski et enfin des interviews et portraits de Ian McEwan, Kevin Vennemann, Mathias Enard… ainsi que toute l’actualité littéraire et cinéma.

Animal, il m'arrive surtout le soir d'être obligée de relire une phrase pour en saisir tout le sens, mes yeux s'appesantissent et finalement je préfère fermer le livre, meme si celà me contrarie.
Je veux être "dans ma lecture" et à ces moments là je me retrouve comme si j'étais un peu pompette et que tout coule sur moi sans s'imprimer.

là c'est quand j'ai très sommeil.

Le Monde des Livres ne semble pas trop trop emballé par le Prix Renaudot:

à lire ICI

kenavo a écrit:

Le Monde des Livres ne semble pas trop trop emballé par le Prix Renaudot:

à lire ICI

Je n'ai pas envie de lire ce roman...
Ce lien me permet de rappeler le roman de Sylvie Germain, L'inaperçu... qui m'a convaincue mais qui est lui même passé inaperçu (ou presque)...Les fans de Sylvie Germain que je connais se sont ditsdéçus, moi non...
L'inaperçu

"Tel Rothko sous le signe duquel est placé ce roman, Sylvie Germain observe, scrute, explore pour nous conduire "dans l'inaperçu de drames où le visible et l'invisible, la lumière et la nuit se frôlent, en s'éraflant ou se caressant, où les couleurs se meuvent à fleur d'immobilité (...) où une aventure silencieuse se joue dans l'inconnu d'un espace en expansion".
(Le Monde)

coline a écrit:

Ce lien me permet de rappeler le roman de Sylvie Germain, L'inaperçu... qui m'a convaincue mais qui est lui même passé inaperçu (ou presque)...Les fans de Sylvie Germain que je connais se sont ditsdéçus, moi non...
L'inaperçu

puisque j'achète le 'support papier', j'ai lu l'article sur Sylvie Germain ce matin - et j'ai pensé à toi..

kenavo a écrit:

j'ai lu l'article sur Sylvie Germain ce matin - et j'ai pensé à toi..

...Super!...Le mot Sylvie Germain fait penser coline...C'est trop...

coline a écrit:

kenavo a écrit:

j'ai lu l'article sur Sylvie Germain ce matin - et j'ai pensé à toi..

...Super!...Le mot Sylvie Germain fait penser coline...C'est trop...

mais pas seulement Sylvie Germain me fait penser à toi.. Pascal Quignard.. et tout de suite après Sophie Nauleau.. et puis Laurent Mauvignier (que je n'ai toujours pas lu.. mais cela n'empêche que je pense à toi) .. surtout Rebecca Dautremer et ...... bien d'autres

C'est d'ailleurs amusant de voir combien certaines références littéraires, musicales cinématographiques ou autres peuvent nous rappeller chaque parfumé.

Je suis toujours touchée de le constater, car ces petits clins d'oeil révèlent surtout l'attention que chacun porte à l'autre dans ce forum.

Et ça me fait tout chose

aériale a écrit:

C'est d'ailleurs amusant de voir combien certaines références littéraires, musicales cinématographiques ou autres peuvent nous rappeller chaque parfumé.

Je suis toujours touchée de le constater, car ces petits clins d'oeil révèlent surtout l'attention que chacun porte à l'autre dans ce forum.

Et ça me fait tout chose

voilà ce qui est bien dit.. et c'est vrai.. et c'est beau que ce soit ainsi

kenavo a écrit:

coline a écrit:

kenavo a écrit:

j'ai lu l'article sur Sylvie Germain ce matin - et j'ai pensé à toi..

...Super!...Le mot Sylvie Germain fait penser coline...C'est trop...

mais pas seulement Sylvie Germain me fait penser à toi.. Pascal Quignard.. et tout de suite après Sophie Nauleau.. et puis Laurent Mauvignier (que je n'ai toujours pas lu.. mais cela n'empêche que je pense à toi) .. surtout Rebecca Dautremer et ...... bien d'autres

...Chacun de nous évoque ce qu'il a défendu ardemment...

(merci ici aussi pour des réponses !)

et je reviens avec une impression, j'essaye de lire vos avis et les extraits que vous proposez, d'ailleurs quand le temps ou la capacité manque j'essaye de faire un effort sur les extraits. L'impression c'est de lire beaucoup de belles phrases, ou des phrases avec de beaux mots de belles images... peut être une question d'âge, de moment, où de je ne sais quoi (je ne sais quoi qui me ferait me poser des questions), c'est beau, c'est bien fait, assez souvent tentant même... cependant ça m'a l'air très lointain, comme un jeu qui se nourrit de lui même. Pour mélanger avec une autre réflexion, ça me rappelle dans une certaine mesure ma lecture des Ames grises de P. Claudel (avec qui en avons nous brièvement parlé à Nantes ?)... ça a l'air parfois décroché du monde toutes ces lignes.

Un drôle de vertige ?

animal a écrit:

(merci ici aussi pour des réponses !)

et je reviens avec une impression, j'essaye de lire vos avis et les extraits que vous proposez, d'ailleurs quand le temps ou la capacité manque j'essaye de faire un effort sur les extraits. L'impression c'est de lire beaucoup de belles phrases, ou des phrases avec de beaux mots de belles images... peut être une question d'âge, de moment, où de je ne sais quoi (je ne sais quoi qui me ferait me poser des questions), c'est beau, c'est bien fait, assez souvent tentant même... cependant ça m'a l'air très lointain, comme un jeu qui se nourrit de lui même. Pour mélanger avec une autre réflexion, ça me rappelle dans une certaine mesure ma lecture des Ames grises de P. Claudel (avec qui en avons nous brièvement parlé à Nantes ?)... ça a l'air parfois décroché du monde toutes ces lignes.

Un drôle de vertige ?

Animal, je ne suis pas sûre de bien comprendre ce que tu veux dire mais je tente la réponse qui me vient...d'après ce que j'ai cru saisir et qui m'étonne parce que je n'ai jamais pensé que la littérature était "décrochée du monde"...Elle ne choisit les mots et les tournures que pour en parler encore et toujours, en mieux et en profondeur...

animal a écrit:

(merci ici aussi pour des réponses !)

et je reviens avec une impression, j'essaye de lire vos avis et les extraits que vous proposez, d'ailleurs quand le temps ou la capacité manque j'essaye de faire un effort sur les extraits. L'impression c'est de lire beaucoup de belles phrases, ou des phrases avec de beaux mots de belles images... peut être une question d'âge, de moment, où de je ne sais quoi (je ne sais quoi qui me ferait me poser des questions), c'est beau, c'est bien fait, assez souvent tentant même... cependant ça m'a l'air très lointain, comme un jeu qui se nourrit de lui même. Pour mélanger avec une autre réflexion, ça me rappelle dans une certaine mesure ma lecture des Ames grises de P. Claudel (avec qui en avons nous brièvement parlé à Nantes ?)... ça a l'air parfois décroché du monde toutes ces lignes.

Un drôle de vertige ?

C'est ça qui est bon dans la lecture non? Une jouissance avec des mots. Un vertige, un décrochage du réel. Pour le reste autant lire de la philosophie ou des essais. En gros il y a la littérature qui tendrait vers la poésie et une littérature qui tendrait vers le récit historique ou l'essai philosophique. Certains font le grand écart entre les 2 et c'est balèze!