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| Que lisez-vous en décembre ? | |
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Auteur | Message |
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tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 0:05 | |
| J'ai terminé avec Lois Lowry et "Le passeur" et j'ai commencé avec "Des anges sur la pointe d'une aiguille", satire du Samizdat russe jouant à Moscou, de Iouri Droujnikov. Cela promet beaucoup et commence très bien!!! | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 9:44 | |
| - domreader a écrit:
- Après avoir fini l'Elégance du Hérisson et aussi un essai sur l'histoire de l'hygiène depuis le moyen-âge jusqu'à nos jours (Le Propre et le Sale), je viens d'entamer La Promesse de Sorj Chalandon.
Deux merveilleux souvenirs de lecture pour moi (le Hérisson et La promesse) lus au même moment ... Je te souhaite de les apprécier tout autant Domreader | |
| | | Madame B. Zen littéraire
Messages : 5352 Inscription le : 17/07/2008 Age : 51
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 11:31 | |
| Alors là, coup de coeur. Je lis Stasiland d'Anna Funder (éditée chez Héloïse d'Ormesson). L'ouvrage se présente comme un roman mais il s'agit plus d'une petite histoire de la Stasi. C'est passionnant car on y apprend beaucoup de choses (qui parfois semblent tout à fait incroyables) et pour ceux qui ont vu La vie des autres, cela permet de compléter des informations et de comprendre cette univers et "l'obéissance" de tout un peuple guidé par des dirigeants paranoïaques et fous. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Que lisez vous en décembre Dim 7 Déc 2008 - 14:27 | |
| C'est un témoignage sur la STASI ou une étude historique ? | |
| | | Madame B. Zen littéraire
Messages : 5352 Inscription le : 17/07/2008 Age : 51
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 15:51 | |
| Voici une interview de l'auteure sur Evene: - Citation :
- La (vraie) vie des autres
INTERVIEW D’ANNA FUNDER
Bardé de prix, le ‘Stasiland’ de l’Australienne Anna Funder arrive en France aux éditions Héloïse d’Ormesson. Rencontre avec l’auteur d’un essai palpitant sur la Stasi et le système ex-RDA, qui louvoie entre terreur et ridicule. Ou quand un gouvernement décide d’appliquer les cauchemars d’Orwell.
Au Wonderland, le pays des merveilles d’Alice, la Reine de pique tue avant de juger, et abuse de son droit de vie et de mort, se comporte comme une écervelée impulsive et déconnectée du monde. Dans le ‘Stasiland’ d’Anna Funder, une bande de vieux bureaucrates s’est substituée à la reine, les soldats-cartes à jouer se sont mués dans des dizaines de milliers d’espions, capables de contrôler une population comme jamais personne ne l’avait fait dans l’histoire de l’humanité. Au milieu de ça, Anna et son essai, qui raconte ce qui n’avait jamais réellement été raconté.
D’où vous vient cette attirance pour l’Allemagne, et particulièrement la RDA ?
Je ne sais pas vraiment... Dès ma scolarité, j’ai été très attirée par la langue. Etudiante, je suis allée à Berlin, avant la chute du mur donc, et j’ai trouvé que c’était une ville passionnante. J’ai croisé des écrivains et des peintres de RDA qui avaient leur famille ou leur passé de l’autre côté du mur, à moins d’un kilomètre de là, mais tout cela leur était inaccessible, c’était étrange. Quand j’étais à l’école en Australie, on étudiait la littérature de l’Allemagne de l’Ouest et celle de l’Allemagne de l’Est, cette séparation était complètement artificielle. Par exemple, Goethe considéré comme un écrivain de la RDA ! Je suis attirée par les histoires un peu absurdes je pense…
Pour enquêter, vous passez une petite annonce pour rencontrer des anciens de la Stasi, en plus de vos rencontres avec leurs victimes. Comment ont-ils vécu vos questions ?
Du fait de mon système de petites annonces, ne m’ont parlé que ceux qui avaient décidé de le faire. Mais je me souviens de l’un d’eux, tellement nerveux que j’ai cru qu’il allait avoir une crise cardiaque sous mes yeux. Ils étaient dressés au secret. Ceux qui me parlaient étaient en général fiers, ils sont encore aujourd’hui persuadés que leur système est le meilleur. Ces hommes, car c’étaient tous des hommes, étaient entraînés à ne parler à personne de ce qu’ils faisaient. C’est pour ça qu’ils trouvent mon livre proprement scandaleux : ils ont mené un procès contre moi et mon éditeur allemand lorsque le livre est sorti là-bas.
Justement, comment l’Allemagne a-t-elle reçu ‘Stasiland’ ?
L’essai y est paru en 2004, et j’ai fait une petite tournée dans dix villes de l’est et de l’ouest pour le présenter. A l’est, ç’a été très difficile. Je l’ai présenté dans l’ancien QG de la Stasi à Leipzig, là où le livre débute : j’étais contente du symbole fort que cela représentait. Au premier rang, face à moi, il y avait une dizaine d’anciens de la Stasi qui prenaient des notes. Ils sont partis lorsque le débat qui a suivi la présentation du livre a commencé : ils n’étaient pas là pour parler mais juste pour me faire peur. J’ai eu droit plusieurs fois à des réflexions de la part de journalistes déjà en poste sous la RDA, et donc naturellement proches du pouvoir de l’époque, inquiets que le monde entier connaisse leurs secrets : ”Qu’est-ce qui vous donne le droit de faire ça ? Occupez-vous plutôt du problème aborigène !” Ils n’ont toujours pas l’habitude que les écrivains aient le droit de dire ce qu’ils veulent. Quand ils partaient, il y avait presque toujours une personne qui se levait, me remerciait de mon travail parce qu’il n’y avait pas de livre comme ça en Allemagne et qu’ironiquement, il avait fallu une Australienne pour que quelqu’un raconte le point de vue des dissidents. En Allemagne, beaucoup d’ouvrages parlent de la Stasi et de l’ex-RDA, mais jamais de ce point de vue.
Quelle est la question que les Allemands vous posaient le plus souvent ?
J’ai eu droit 5 ou 6 fois à une question terrible : on me demandait ce que le fait d’avoir vu s’enchaîner, en Allemagne, la dictature nazie et le régime totalitaire de la RDA, signifiait sur les Allemands. Je n’avais évidemment pas de réponse, on ne peut pas généraliser sur les Allemands, la dictature totalitaire n’est pas une exception allemande. Mais le noyau de cette question recèle une extraordinaire tristesse, une tragédie, un doute énorme de toute une nation envers elle-même.
Vous évoquiez un procès avec les anciens de la Stasi, que s’est-il passé ?
Dans mon livre, je raconte le comportement de ces hommes après la chute du mur : ils ont continué de harceler les dissidents pendant les années 1990, allant jusqu’à saboter les freins de leurs voitures, ou leur livrant du porno à domicile pour les décrédibiliser. C’est sur ce passage qu’ils ont attaqué, et gagné : ces informations ont été retirées de la version allemande. J’en suis furieuse, parce que tout ce que je dis est évidemment vrai. Seulement, ces gens ont l’habitude du pouvoir, et ont très vite assimilé les méthodes démocratiques. Ils défendent ainsi une réputation à laquelle ils n’ont pas le droit, et c’est la loi allemande sur la vie privée qui leur permet ça, alors que c’est exactement la vie dont ils ont privé les citoyens ! L’ironie est cruelle.
A la lecture de ‘Stasiland’, on hésite parfois entre horreur et ridicule. Les faits surpassent parfois Orwell, et certains comportements, comme cet espion déguisé en faux aveugle, frisent l’absurde. Vous vous attendiez à trouver tout ça ?
Non, c’est pour ça que je me suis avant tout intéressée aux personnages, pour ne pas perdre la réalité de vue. Au début, j’étais partie pour écrire un roman inspiré d’une histoire vraie. Mais je me suis retrouvée face à tellement d’absurdités que je ne pouvais pas mettre tout cela dans un roman. Ecrire un roman, c’est rendre l’invraisemblable vraisemblable, or là ce n’était plus possible tant ce monde était délirant. Je n’aurais même pas pu inventer ça pour un roman ! Orwell l’a très bien fait, mais sans ces détails si concrets qu’ils en deviennent irréels. On oscille en effet entre le ridicule et le terrifiant quand on parle des échantillons d’odeurs que les membres de la Stasi collectaient sur les suspects, ou les irradiations de prisonniers à leur insu. J’ai donc opté pour la non-fiction, mais en tentant de faire ressentir au lecteur ce que je raconte, qu’il comprenne ce que c’était de se retrouver interrogé par la Stasi ou de tenter de franchir le mur.
Que pensez-vous de la théorie qui décrit le régime de la RDA comme un prolongement du régime nazi ?
Je n’ai pas approfondi le sujet. Mais il est évident que le régime de Honecker a réutilisé beaucoup de structures en vigueur sous le IIIe Reich. C’est particulièrement visible au niveau de l’encadrement de la population : comme sous Hitler, les enfants sont pris en charge dès leur plus jeune âge, et ce jusqu’à l’âge adulte, dans des institutions comparables aux Jeunesses hitlériennes. On attend des enfants qu’ils racontent ce que disent papa et maman, ce qu’on regarde à la télévision, etc. A ce niveau-là, seule la couleur du drapeau change, il passe de noir à rouge. Après, les régimes étaient politiquement différents, idéologiquement opposés, mais pour les habitants ça ne changeait pas grand chose : aller à l’université, écrire ou penser était impossible. Envers le reste du monde par contre, ce n’est pas comparable, de même sur des sujets comme les Juifs. Mais il ne faut pas dire qu’il n’y avait pas de racisme non plus en RDA : les “frères” nord-viêtnamiens venus pour travailler vivaient par exemple dans des conditions terribles.
Vous évoquez dans le livre le syndrome du “mur dans la tête”, toujours présent chez les Allemands de l’est, et qui reste un frein pour l’évolution de la région. La crainte de ce régime n’a pas disparu.
L’Allemagne de l’Ouest a fait beaucoup pour digérer le IIIe Reich, indemniser les victimes, reconnaître ce qui leur était arrivé. La pression internationale et la présence des Alliés en Allemagne ont certes facilité cette prise de conscience, mais elle a bien eu lieu. Ce n’est pas le cas pour les victimes de la RDA. Les anciens cadres du parti ou de la Stasi se sont mieux retrouvés que les anciennes victimes. Ils osent même manifester dans les rues : ils ont par exemple fait de grandes manifestations devant l’ancienne prison pour qu’elle soit détruite au lieu de devenir un lieu de mémoire. Ils soutiennent qu’elle n’abritait pas de prisonniers politiques, mais des criminels, car ils étaient jugés selon le droit est-allemand, alors que ce droit est ridicule. Les victimes, elles, se battent pour leur pension, pour une indemnisation, mais c’est extrêmement difficile. L’Allemagne n’a pas encore fait pour eux ce qu’elle a fait pour les victimes du nazisme.
On entend plus les bourreaux que les victimes…
Oui ! Si l’on regarde par exemple les films sur le IIIe Reich, ils mettent la plupart du temps en scène les bourreaux, les nazis. Depuis Spielberg et ‘La Liste de Schindler’, on a assisté à un retour des films sur les victimes, mais ils restent minoritaires.
C’est encore le cas avec ‘La Vie des autres’, sorti l’an dernier sur le sujet qui nous concerne.
‘La Vie des autres’ est un très beau film, j’en ai pleuré, et je l’ai vu plusieurs fois. Mais si l’on ne comprend pas que ce film est une fiction, on n’a pas compris comment fonctionne un système totalitaire et on n’honore pas le courage incroyable des gens qui se sont battus contre lui. Ce qui se passe dans ‘La Vie des autres’ n’aurait pas pu se passer : jamais un agent de la Stasi n’a sauvé ses victimes. Tout est tellement fiché que si quelque chose de ce genre s’était passé, nous le saurions. Ici, un cinéaste de l’ouest réalise un film, et prend comme héros un bourreau. Il fait de ce fonctionnaire un homme de conscience pour nous montrer que l’être humain peut changer. Mais les héros sont chez les dissidents, pourquoi n’a-t-il pas pris une de leurs nombreuses histoires vraies ? Je pense que c’est parce qu’il est très émouvant de pouvoir pardonner quelqu’un qui a fait du mal, et surtout de pouvoir se pardonner ça en tant qu’Allemand. Mais les membres de la Stasi n’étaient pas des hommes de conscience qui n’avaient pas le choix de leurs actes. D’autant que cacher des informations à la Stasi, comme le héros le fait, dissimulant ce qu’il sait sur ceux qu’il surveille, était impossible. Pour une mission de surveillance de ce type, il y aurait eu 15 agents, et non pas un seul, et tous se surveillant mutuellement. Une fois, j’ai rencontré l’un des auteurs d’un film sur Hans et Sophie Scholl, résistants allemands exécutés par Hitler, qui me racontait que 20 ans après la guerre, les parents de ces héros étaient toujours considérés comme des traîtres. Il ne faut pas sous-estimer l’habitude de loyauté à un régime.
Comment analysez-vous cette “Ostalgie”, l’actuelle nostalgie envers le régime de la RDA qui resurgit à l’Est ?
Je pense que c’est une réminiscence de la partie protectrice de psychologie humaine, qui évite de se souvenir des choses douloureuses. Certains ont gardé une image édulcorée de la RDA, en oubliant qu’au niveau politique, le prix de la relative sécurité dont ils bénéficiaient était énorme, qu’ils étaient privés de liberté. La leçon d’Orwell : le pouvoir appelle le pouvoir, c’est une loi presque naturelle. Aujourd’hui, à l’heure de la “guerre contre la terreur”, on constate encore cette tension entre liberté et sécurité. L’histoire politique de la RDA est un peu une fable inquiétante, qui pourrait s’appliquer partout, alors ne l’oublions pas. | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 16:34 | |
| merci Madame B.
As-tu fini cette lecture ? | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Que lisez vous en décembre Dim 7 Déc 2008 - 18:48 | |
| Le Fil d'une vie de Goliarda Sapienza - Viviane Hamy, 2OO8 - Ce récit autobiographique -en fait 2 récits- me plait bien davantage que l'Art de la joie. Le projet est moins ambitieux mais aussi moins emphatique. Au plus près de la vie d'une femme partagée. J'y reviendrai sur le fil de Goliarda Sapienza. | |
| | | Menyne Agilité postale
Messages : 864 Inscription le : 26/04/2008 Age : 53 Localisation : dis z'y mieux !
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 19:00 | |
| Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part d'Anna Gavalda. Avis mitigé pour l'instant .... Ce soir, j'attaque ...ou plutôt nous attaquons (avec Little Devil ) Le jour avant le lendemain de Jorn Riel vivement ce soir .... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 19:46 | |
| En parallèle d'Une Education libertine, je lis Jitterbug perfume, de Tom Robbins, où les betteraves ("the most intense of vegetables") tiennent la place des tanuki dans Villa Incognito. Toujours réjouissant. |
| | | LaurenceV Agilité postale
Messages : 813 Inscription le : 25/02/2007 Age : 41 Localisation : Liège
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Dim 7 Déc 2008 - 22:33 | |
| J'ai eu l'occasion de terminer Orgueil et préjugés de Jane Austen. Et... j'ai adoré ce livre. C'est tellement agréable à lire et l'histoire est romantique. C'est un bon livre et j'ai hâte de lire d'autres livres de cette auteure.
J'entamerai ce soir ou demain matin Une éducation libertine de Jean-Baptiste Del Amo. | |
| | | Sophie Sage de la littérature
Messages : 2230 Inscription le : 17/07/2007 Age : 48 Localisation : Tahiti
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Lun 8 Déc 2008 - 4:42 | |
| Quand on a lu un livre de Paul NizOn, il est logique de lire ensuite Paul NizAn; ce que je fais, avec La conspiration. | |
| | | majeanne Main aguerrie
Messages : 466 Inscription le : 05/06/2008 Age : 64 Localisation : le Grand Sud
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Lun 8 Déc 2008 - 8:50 | |
| J'ai fini "le pont des soupirs" de Richard Russo. J'avais déjà lu de lui "un homme presque parfait". C'est un auteur avec qui je me sens bien. Je pense que je ne m'arrêterai pas là. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Lun 8 Déc 2008 - 10:25 | |
| - majeanne a écrit:
- J'ai fini "le pont des soupirs" de Richard Russo. J'avais déjà lu de lui "un homme presque parfait". C'est un auteur avec qui je me sens bien. Je pense que je ne m'arrêterai pas là.
Tiens.. Epi va peut être nous en dire aussi un de ces jours un peu plus sur lui.. et on pourrait prévoir de lui ouvrir un fil | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Lun 8 Déc 2008 - 12:45 | |
| Fini le Djamilia de Aitmatov (très moyen, et absolument pas la plus belle histoire d'amour du monde !). Puis Nekotopia, de Fujimori Nekotopia. Le début était marrant, mais ça s'embourbe et c'est très mal écrit, et mal relu par les correceturs. Les dialogues sont globalement catastrophiques, tendance Jap'anim ultra basique (les "voui" prononcés par des présidents, des psychanalistes, etc. N'importe quoi). Vite lu, surtout quand on a une panne d'internet.
Pour relever le niveau (j'espère) : Ramuz, la Grande Peur dans la montagne. | |
| | | Milly Main aguerrie
Messages : 529 Inscription le : 08/09/2007 Age : 46 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Que lisez-vous en décembre ? Lun 8 Déc 2008 - 13:49 | |
| En ce moment, je lis surtout le Magazine Littéraire et Lire. Je pense me choisir un nouveau bouquin ce soir. Je vous en dirais plus à ce moment là.
Dernière édition par Malorie le Lun 8 Déc 2008 - 14:54, édité 1 fois | |
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