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Je vais gâcher quelques kilos de farine mais j'y arriverai un jour à faire un bagel potable !

Nezumi a écrit:

Je vais gâcher quelques kilos de farine mais j'y arriverai un jour à faire un bagel potable !

pour ce soir, pas besoin de farine.. tu vas au bar et tu te sers

Craqué pour La vaine attente de Nadeem Asmal

Trouvé sur priceminister une "boutique" qui vendait tout plein de livres état neuf ( du moins il paraît, je ne les ai pas encore reçus ) pour quelques euros chacun. Et achété 10 livres pour 22 euros hors frais de port. A ce prix ce n'est pas grave s'ils sont abîmés comme souvent nt par la Poste. Et cela me permet de lire des ouvrages que je n'aurais pas achetés au prix fort. ( plus d'autres pour lesquels j'ai craqué ! )

Pour la détente :

Dominique Sylvain : Passage du désir et L'absence de l'ogre

Arnaldur Indridason : La femme en vert

Kirino Natsuo : Monstrueux

Leonardo Padura : Vents de Carême

Et plus sérieux :

Christiance Desrochs Noblecourt : La femme au temps des pharaons

Hélène Berr : Journal , 1942-1944 suivi de Hélène Berr, une vie confisquée par Mariette Job

Hubert Selby : Le saule ( Marko ! )

Aharon Appefeld : L'amour soudain

David Lodge : Un tout petit monde.

Armor-Argoat a écrit:

Kirino Natsuo : Monstrueux

Alors je t'attends sur son fil, qui est bien désert . Pourtant c'est un auteur très intéressant.

Nezumi a écrit:

Armor-Argoat a écrit:

Kirino Natsuo : Monstrueux

Alors je t'attends sur son fil, qui est bien désert . Pourtant c'est un auteur très intéressant.

Il va falloir y remédier!

Tu l'as lue, Marko ?

Nezumi a écrit:

Tu l'as lue, Marko ?

Non mais je viens de lire ton post grâce à l'intervention d'Armor Argoat et ce que tu en dis me tente beaucoup...

Ah tant mieux!

Il me reste à lire le roman qui l'a fait vraiment connaître: Out.

J'avais déjà tilté sur ces couvertures étranges et un peu morbides, vaguement lynchiennes...

- Car l' adieu c' est la nuit : Emily Dickinson, Coll. Poésie / Gallimard

- Le Journal de Tchernoievitch : Milos Tsernianski, L' Age d' homme

Beatrix de Balzac

Une histoire littéraire suédoise (Den svenska litteraturhistorien, Göran Hägg), et un (nouveau) très vieux dictionnaire, directement en import.
Si les frais postaux n'étaient pas si élevés, j'aurais bien aimé re-découvrir l'Enfant Brulé de Dagerman avec le texte original et acheter un ou deux titres de Hjalmar Söderberg... (ce qui attendra un prochain voyage...)

Je sais...je n'aurais pas du.
J'en ai encore plein en attente et d'autres à venir (cerclage qui commence) mais je me suis retrouvée toute indécise et en manque après le dernier Narayan sans arriver à choisir sereinement.
C'est terrible cette sensation. Vous la connaissez au moins?

Suis ressortie de chez le libraire avec conseillé par une amie

Citation :

Ils cohabitent dans un luxueux lotissement résidentiel de la région parisienne. Ils sont aisés, cultivés. Ils ont eu dans les années 1980 et 1990 des trajectoires politiques et sentimentales diverses, mais plutôt prestigieuses : le père de la narratrice est éditorialiste dans un quotidien de gauche, un voisin est officier de marine, la mère a failli faire une carrière de concertiste. C'est la chronique acide et pétillante d'une génération qui a su arranger son passé pour s'accommoder du présent. Pour observer la vie de la communauté, la narratrice retrouve, à vingt ans de distance, le regard de la fillette qu'elle était alors - ce qui donne à la fresque une tonalité de fausse ingénuité particulièrement savoureuse. Au fil d'une quarantaine de brefs chapitres chacun consacré à un événement en apparence anodin - des vacances à Belle-Île, la visite d'un inspecteur des impôts, la découverte de la liaison entre la mère et un voisin. - nous assistons à l'effritement des idéaux proclamés, minés au quotidien par les petites malhonnêtetés, les petites lâchetés, les mensonges, les compromis - voire les compromissions. Les arrangeurs est le récit humoristique, mais aussi parfois un peu mélancolique et désabusé de ces années qui ont vu la chute du Mur, la première guerre d'Irak, la fin des utopies généreuses. C'est aussi un adieu ironique et sensible à l'enfance et à ses illusion

Et celui-ci qui a emballé Kenavo (encore un Zulma, ben oui )

aériale a écrit:

C'est terrible cette sensation. Vous la connaissez au moins?

ah oui.. trop bien

aériale a écrit:

Et celui-ci qui a emballé Kenavo (encore un Zulma, ben oui )

son fil est ici

J'ai craqué pour un petit livre Lettres à mon libraire... Hâte de le lire.