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Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Sam 4 Aoû 2012 - 22:30
[quote="Marko"]
coline a écrit:
J'ai écouté des passages de ce CD tout à l'heure dans un magasin:
Et finalement j'en ai acheté un autre...
Dommage il est très bien. Mais je te ferai une copie.
mais
J'ai pris un autre CD de Renée Flemming
Merci pour Le Temps de l'horloge!... Moi j'aime bien écouter Renée Flemming...surtout pour ses aigus...mais ses graves ne m'ont pas encore heurtée...
Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Sam 4 Aoû 2012 - 22:35
Écoute les Zemlinsky au-dessus. Le premier poème a une chute... Glaçante !
coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Sam 4 Aoû 2012 - 22:46
Marko a écrit:
Écoute les Zemlinsky au-dessus. Le premier poème a une chute... Glaçante !
Oui, j'ai écouté...J'aime particulièrement le premier justement.
Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Sam 4 Aoû 2012 - 23:01
coline a écrit:
Marko a écrit:
Écoute les Zemlinsky au-dessus. Le premier poème a une chute... Glaçante !
Oui, j'ai écouté...J'aime particulièrement le premier justement.
Anne-Sophie Von Otter à enregistre les 6 poèmes avec des lieders de Mahler.
animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Jeu 30 Aoû 2012 - 22:07
je percute à la bourre (merci le fil Poe)... je ne cacherai pas non plus que c'est un peu bruyant : Annihilator - Ligeia
animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Dim 2 Déc 2012 - 11:59
finalement je ne connais que le dessin animé, mais aujourd'hui je suis tombé sur : Tom Sawyer - Rush
animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 8 Jan 2013 - 21:50
changement de genre : Ekoué - Pâques à New-York (de Blaise Cendrars)
Constance Zen littéraire
Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 9 Juil 2013 - 10:49
Je tombe je tombe je tombe
Avant d'arriver à ma tombe
Je repasse toute ma vie
Il suffit d'une ou deux secondes
Que dans ma tête tout un monde
Défile tel que je le vis
Ses images sous mes paupières
Font comme au fond d'un puits les pierres
Dilatant l'iris noir de l'eau
C'est tout le passé qui s'émiette
Un souvenir sur l'autre empiète
Et les soleils sur les sanglots
Ô pluie Ô poussière impalpable
Existence couleur de sable
Brouillard des respirations
Quel choix préside à mon vertige
Je tombe et fuis dans ce prodige
Ma propre accélération
Louis Aragon
(Extrait de "Le roman inachevé"/NRF/Poésie Gallimard)
Extrait du dernier album "Champ libre", avant dissolution du groupe :
anagramme Agilité postale
Messages : 909 Inscription le : 29/08/2008
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 9 Juil 2013 - 12:49
Pas mal !
Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 9 Juil 2013 - 23:39
Frank Martin: Monologues from Jedermann (1911) d'après Hugo Von Hofmannsthal. Texte en allemand et anglais sur les vidéos. Verdier l'a réédité en 2010.
Verdier a écrit:
Jedermann, l'Homme, voit venir à l'improviste sa dernière heure : comment l'emploiera-t-il pour mettre de l'ordre dans le désordre de sa vie ? Sur cette idée simple, inspirée d'une " moralité " anglaise du Moyen Âge qu'il a entièrement réécrite et enrichie de toute la tradition du drame baroque allemand, Hugo von Hofmannsthal (1874-1929) a conçu ce qui est devenu, avec Électre (1903) et L'Homme difficile (1921), sa pièce la plus jouée. Créée à Berlin en 1911 sous un chapiteau de cirque par le célèbre metteur en scène Max Reinhardt, représentée chaque été à Salzbourg depuis 1920 (date de la fondation du Festival par Hofmannsthal, Richard Strauss et Max Reinhardt) et régulièrement donnée un peu partout aujourd'hui en Autriche et en Allemagne, sur des parvis de cathédrales ou d'églises, tant par des troupes professionnelles que par des amateurs, c'est l'une des pièces où le poète autrichien a mis le plus de lui-même tout en parvenant à une totale maîtrise du temps et de l'espace de la représentation. La nouvelle traduction de Daniel Hurstel, en prose, s'attache à suivre au plus près les nuances de ce chef-d'oeuvre. Elle a été conçue spécifiquement pour la scène et a remporté un grand succès lors de sa création en août 2007 avec Pierre Forest dans le rôle principal.
wikipedia a écrit:
Dieu voyant qu’on ne le respecte plus décide d’envoyer la Mort sur la Terre pour rappeler sa puissance à l'humanité. Il donne à la Mort l'ordre d’aller trouver chacun (Jedermann) et de l'amener devant ses juges suprêmes. Un jour, „Jedermann“ ordonne à son majordome de lui apporter un sac d’or pour payer le terrain qu’il veut acheter. Il veut y faire faire un jardin d'agrément et de plaisir pour sa maîtresse (le personnage appelé Buhlschaft). Sur son chemin il rencontre un voisin miséreux qui lui demande l’aumône. Mais Jedermann ne lui donne qu’une petite pièce d’un Schilling. Lorsque le voisin fait appel à sa bonté chrétienne et rappelle qu’il a été lui-même riche, Jedermann le chasse. Peu après, il rencontre l’un de ses débiteurs qui le prie de déchirer la lettre de créance. Mais Jedermann s’y refuse et le fait jeter en prison. Jedermann ne connaît aucune pitié mais l'épouse du débiteur pleurant si amèrement, il accepte de lui verser une pension pour qu’elle puisse subvenir à ses besoins et ceux de ses enfants. Après cette rencontre, Jedermann n’a plus envie de voir le jardin et décide d’aller retrouver sa Maîtresse. À peine sorti de la maison, il rencontre sa mère qui lui reproche comme souvent son attitude négligente envers Dieu. Sa mère partie, sa maîtresse arrive pour l’emmener à la fête organisée en son honneur. Au cours de la fête, Jedermann se sent faible et a des apparitions étranges. Personne n’entend la cloche que Jedermann entend sans arrêt. Lorsqu'il dit qu'on appelle son nom, sa maîtresse pense qu’il a de la fièvre. En se retournant il aperçoit derrière lui un inconnu qui prétend être la Mort et l’invite à se préparer pour son dernier voyage. Ce n’est qu’en cet instant que Jedermann prend conscience de sa mauvaise nature et il supplie la Mort de lui laisser le temps de chercher un ami qui témoignera en sa faveur devant le tribunal divin. Après de longues tractations, la Mort lui donne une heure. Tout d’abord, il demande à un Ami, (le personnage appelé Geselle, c'est-à-dire Compagnon) si celui-ci ne veut pas lui rendre un service car il doit partir pour un long voyage. L'Ami déclare être prêt à lui rendre n’importe quel service mais se rétracte et refuse lorsqu’il apprend qu’il devrait l’accompagner devant le tribunal divin. Ses deux neveux n’agissent pas différemment. Se sentant abandonné de tous, il veut au moins emporter son argent dans le Royaume éternel. Sortant de son coffre, Mammon, le personnage représentant la richesse, refuse lui aussi de l’accompagner. Jedermann est désormais seul et désespéré. Il entend une voix faible qui l’appelle. Se retournant, il aperçoit une femme frêle qui lui dit être ses Bonnes œuvres et veut bien l’accompagner dans l’au-delà. Elle est cependant trop faible car il l’a toujours négligée. Elle est prête à prier sa sœur la Foi de le faire à sa place. La Foi lui rappelle l’immense bonté de Dieu et conseille à Jedermann de lui demander grâce. Jedermann se raccroche à ce dernier espoir et essaie, aidé par un moine, de retrouver le chemin menant à Dieu après des années passées dans l’impiété. Sur ce, le Diable vient, sûr de pouvoir emporter en enfer l’Âme chargée de péchés de Jedermann mais il doit s’avouer vaincu lorsqu’il découvre qu’elle lui échappe par la Grâce de Dieu. Peu après, Jedermann revient lavé de ses péchés et peut enfin se présenter devant Dieu accompagné des Bonnes œuvres et de la Foi.
Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 17 Sep 2013 - 22:51
Nouvelle belle découverte grâce à Frank Martin. Celle du poème de Rainer-Maria Rilke constitué de 27 strophes en prose: Die Weise von Liebe und Tod des Cornets Christoph Rilke. Il semblerait qu'il soit difficile d'en trouver une traduction française mais le livret du CD la propose en 23 strophes. Il existe une version pour baryton (ce CD) ou pour contralto (extrait YouTube ou autres CDs disponibles):
Extrait: 14e, 15e et 16e strophes
14- Bist du die nacht?
Quelqu'un, vêtu de soie blanche, sent qu'il ne peut s'éveiller, car il est réveillé et égaré par la réalité. Peureusement, il se réfugie dans le rêve, et le voici dans le parc, solitaire dans le parc noir. Et la fête est loin. Et la lumière ment. La nuit toute proche de lui, est fraîche. Et il interroge une femme qui se penche vers lui: "Es-tu la nuit?" Elle sourit. Et voici qu'il a honte de sa robe blanche. Et il voudrait être loin et seul, en armes. Tout en armes.
15- Hast-Du vergessen?
"As-tu oublié que tu es mon page pour cette journée? Veux-tu me quitter? Où t'en vas-tu? Ta robe blanche me donne droit sur toi..." "As-tu regret de ton grossier uniforme?" "Tu frissonnes? - T'ennuies-tu de ton pays?" La comtesse sourit. Non. Mais c'est parce que l'enfance lui est tombée des épaules, cette douce et sombre robe. Qui l'a emportée? "Toi?" questionne-t-il d'une voix qu'il n'avait encore jamais entendue. "Toi?" Et maintenant il n'y a rien sur lui. Il est nu tel qu'un saint. Clair et mince.
16- Die Turmstube
La chambre du donjon est sombre. Mais ils s'éclairent au visage avec leurs sourires. Ils tâtonnent devant eux comme des aveugles et ils trouvent l'autre comme une porte. Presque comme des enfants qui ont peur de la nuit, ils se serrent l'un dans l'autre. Et pourtant ils n'ont pas peur. Il n'est rien qui soit contre eux: pas d'hier, pas de lendemain: car le temps s'est effondré. Et ils fleurissent hors de ses ruines. Il ne demande pas: "Ton époux?" Elle ne demande pas: "Ton nom?" Car ils se sont trouvés pour être l'un pour l'autre une trace nouvelle. Ils se donneront cent nouveaux noms et se les retireront l'un à l'autre, doucement comme on détache une boucle d'oreille.
Marko Faune frénéclectique
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Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mer 18 Sep 2013 - 21:40
Wolfgang Rihm me conduit de son côté vers Nietzsche avec son opéra créé en 2010: Dionysos. Rihm a écrit lui-même l'opéra à partir des poèmes de Nietzsche tirés des Dithyrambes pour Dionysos. Autre belle réussite de la musique contemporaine.
Texte intégral
Citation :
LES DITHYRAMBES DE DIONYSOS datent de 1889. Ils sont le dernier ouvrage que Nietzsche est parvenu à mener à bien. Il s’agit d’un recueil de neuf poèmes lyriques en l’honneur de Dionysos. Chacun relève à sa manière de l’éruption et des conséquences de la phusis dionysiaque dans et sur l’homme occidental. Sur les neuf poèmes, six ont été écrits à l’époque du Zarathoustra (1883-1885). Trois y figurent dans une forme légèrement différente. Nietzsche les reprend et les remanie partiellement en 1888 en vue de ses Dithyrambes. Ce recueil est sans doute le moins (et le plus mal) commenté de Nietzsche. Centré qu’il est sur Dionysos, il est de part en part mythique, musical, tragique, pour ne pas dire labyrinthique ou phusique. Il dépasse par maints côtés les limites de la philosophie et par suite effraie, voire déroute les hommes rationnels.
Marko Faune frénéclectique
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Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Mar 8 Oct 2013 - 22:20
Edgar Poe inspire les musiciens français...
André Caplet et Le Masque de la mort rouge: Etude symphonique pour harpe chromatique et orchestre à cordes (1908)
Florent Schmitt et Le Palais Hanté (1904):
Debussy et La Chute de la maison Usher (1908/1917):
Marko Faune frénéclectique
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Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Dim 12 Jan 2014 - 17:36
Les poèmes d'Ingeborg Bachmann écrits pour Hans Werner Henze dans Nachstücke und arien (1957) et chantés ici par Edda Moser:
Citation :
En 1953, Ingeborg Bachmann quitte l'Autriche pour l'Italie, l'île d'Ischia d'abord, où réside le compositeur Hans Werner Henze, puis Rome qui sera sa résidence privilégiée jusqu'à sa mort. Elle y écrira la plupart des poèmes qui paraîtront en 1956 sous le titre Anrufung an den grossen Bären (Incantation à la grande ourse) et des pièces radiophoniques dont Die Zikaden (Les Cigales, diffusée en 1955 avec une musique de H. W. Henze). Elle ne cessera jamais d'écrire des poèmes, dont certains comme La Bohême est au bord de la mer comptent parmi les plus beaux, mais ne les publiera plus en recueil. Désormais, ses principaux travaux seront en prose, l'amenant à renoncer à l'écriture métaphorique pour une forme plus dépouillée.
De son amitié avec Hans Werner Henze naît une collaboration artistique fructueuse : Bachmann écrit les poèmes des Nachtstücke und Arien (Nocturnes et arias, 1957), il compose la musique pour ses pièces radiophoniques, en particulier Der Gute Gott von Manhattan (première diffusion en 1958) pour lequel elle obtient le prix des Aveugles de guerre en 1959.
Marko Faune frénéclectique
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Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales Dim 12 Jan 2014 - 21:40
My Ninth Symphony deals with my German homeland – as it appeared to me when I was a young man, during the war and even earlier. It was written over a period of years, during which time I was intensely involved with the subject, an involvement that I would describe as the most harrowing experience – artistically, too – that I have ever known. This symphony is an apotheosis of terror and anguish, a summation of my creative career, an attempt to come to terms with an arbitrary and incalculable world that assails us at every turn. Instead of hymning joy, the beautiful divine spark, the men and women of my Ninth Symphony spend the evening conjuring up a world of horror and persecution that is still with us today and that continues to cast its shadows over us. This symphony reflects a German reality, but above all it expresses the greatest possible admiration for those people who opposed the Nazis’ Fascist reign of terror and who gave their lives to safeguard freedom of thought. – Hans Werner Henze
Citation :
La Symphonie nº 9 est une symphonie chorale de Hans Werner Henze. Dédiée aux héros et martyrs de l'anti-fascisme allemand sur un texte écrit par le poète Hans-Ulrich Treichel d'après le roman d'Anna Seghers das siebte kreuz (la septième croix) qui relate la tentative d'évasion de sept prisonniers du camp de concentration de Westhofen, elle fut composée en 1997 et créée le 11 septembre 1997 par le chœur de Radio Berlin et l'Orchestre philharmonique de Berlin dirigé par Ingo Metzmacher.
Construction de la symphonie:
Die Flucht (l'évasion) Bei den Toten (au milieu des morts) Bericht der Verfolger (le dossier des bourreaux) Der Platane spricht (le platane parle) Der Sturz (la chute) Nachts in Dom (nuit dans la cathédrale) Die Rettung (le sauvetage)
Citation :
Sept Allemands antinazis, affectés à la colonne d'extermination d'un camp de la région rhénane, s'enfuient dans la brume. Trois sont rapidement repris. Un quatrième, un acrobate, est abattu sur un toit. Un vieux paysan meurt d'épuisement et d'émotion en vue de son village. Le sixième finit par se rendre à la Gestapo. Un seul parvient à passer en Hollande, grâce à la solidarité des ouvriers, de quelques résistants. La septième croix qui l'attend au camp reste inemployée. C'est une brèche dérisoire dans la formidable forteresse nazie. Et c'est pourtant un espoir. Ce roman, dont un manuscrit avait été détruit par la première bombe tombée sur la région parisienne, en juin 1940, a connu un immense succès mondial.
Malheureusement aucun extrait sur le net mais je l'ai écoutée en CD et c'est une symphonie impressionnante qui était la préférée de Henze, la plus engagée et la plus aboutie. Les choeurs sont intenses et déchirants. Je cherche désespérément le roman de Seghers mais il semble épuisé... Des pistes?
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Sujet: Re: Littérature et poésie dans les oeuvres musicales