Que lisez vous en septembre?

Marko a écrit:

Queenie a écrit:

(Tu devais pas me filer le Houellebecq déjà ?)

Oui! C'est bien au programme mais on tarde à me le rendre... Je vais lui tirer les oreilles. Au pire je te l'amène à Bxl

Ok, pas de problème. Tant que t'oublies pas, tout va bien.

Je lis L'infortunée de Wesley Stace et là surprise ! Si je m'attendais à des références dickensiennes, je ne pensais pas du tout retrouver des références à Mervyn Peake mais il y a un peu du château de Gormenghast dans cette demeure familiale des Loveall

shanidar a écrit:

Chouette a écrit:

"La Maîtresse de Brecht" de Jacques-Pierre Amette[b]

Peinture de Berlin après la guerre, en 1948 Bertolt Brecht revient à Berlin...le régime communiste compte sur lui pour créer un théâtre prolétarien et socialiste mais la Stasi se méfie de lui : il a passé quinze ans aux Etats-Unis. Il rencontre une jeune actrice, Maria Eich, marionnette docile au service de la Stasi...
J-P Amette a reçu le Goncourt 2003 pour ce roman

pas un très bon souvenir pour moi, le style Amette m'avait échappé... impossible d'éprouver de l'intérêt pour cette histoire qui pourtant avait l'air passionnante. Dommage mais tu auras peut-être une lecture plus captivée...

Je suis en pleine lecture : c'est l'atmosphère qui m'envoûte, ce monde triste, ces plages de la Baltique, ces personnages : Brecht (dont je ne connais rien sinon le nom ) cette Maria Eich si docile, si triste, si belle... même l'officier de renseignements Hans Trow, les zones d'ombre de chacun des personnages. L'écriture sobre : vraiment j'aime beaucoup.

@ Chouette
Tu peux présenter "La Maîtresse de Brecht" sur le fil de Jacques-Pierre Amette. Je t'y rejoindrai car j'ai aussi apprécié ce roman.

Orientale a écrit:

je reviens avec un enorme plaisir aux Annees difficiles d'Henry Bauchau.

Cher Henry Bauchau...

J'ai terminé Je suis un ange venu du Nord de Linn Ullmann (fille de Liv Ullmann et Ingmar Bergman), très bien. Je préciserai après lui avoir ouvert un fil, je crois qu'il n'y en a pas encore...
Je suis passée ensuite à Rosa Candida de Audur Ava Olafsdottir...Il me plaît...J'en ai lu ce matin la moitié sans m'arrêter...

Je lis Invisible d'Auster.

coline a écrit:

J'ai terminé Je suis un ange venu du Nord de Linn Ullmann (fille de Liv Ullmann et Ingmar Bergman), très bien. Je préciserai après lui avoir ouvert un fil, je crois qu'il n'y en a pas encore...

le fil t'attend ici

kenavo a écrit:

coline a écrit:

J'ai terminé Je suis un ange venu du Nord de Linn Ullmann (fille de Liv Ullmann et Ingmar Bergman), très bien. Je préciserai après lui avoir ouvert un fil, je crois qu'il n'y en a pas encore...

le fil t'attend ici

Parfait!...Merci!

sentinelle a écrit:

Je lis L'infortunée de Wesley Stace et là surprise ! Si je m'attendais à des références dickensiennes, je ne pensais pas du tout retrouver des références à Mervyn Peake mais il y a un peu du château de Gormenghast dans cette demeure familiale des Loveall

Je le note , merci

Missa sine nomine, d'Ernst Wiechert

krys a écrit:

Missa sine nomine, d'Ernst Wiechert

Je suis curieux de lire ton avis ...

Mon "Netherland " de Joseph o'Neill me tombe des mains , je suis déçue car j'en attendais beaucoup

je crois que je vais entamer "Corpus delicti" de Juli Zeh

quand Thoreau rentre un peu plus dans le consistant ça s'arrange, j'ai maintenant l'espoir de la disparition de mes craintes. et je crois que j'aime bien son insistance ?

darkanny a écrit:

Mon "Netherland " de Joseph o'Neill me tombe des mains , je suis déçue car j'en attendais beaucoup

Ha mince, il est dans ma Pal... Je continue Irving (plus que 300 pages).

Après Brigitta (Stifter), Une vague inquiétude (Akutagawa). Et puis aussi Le Singe nu (Desmond Morris), étude sur l'homme considéré comme un animal comme un autre, c'est bien rigolo :

Citation :

"Non, déclare le zoologiste Desmond Morris, nous ne sommes pas une espèce nouvelle née du processus de l'évolution, nous sommes toujours des singes. Et il le démontre.Eliminant les sociétés primitives encore existantes comme étant des « ratés de l'évolution », il observe le singe nu moderne, arboricole, sorti des forêts et devenu carnivore, sous l'angle de la sexualité, de l'éducation, de la combativité et de la recherche du confort (où il assimile hardiment la quête des poux chez les primates aux menus propos mondains dans un effet scientifico-comique irrésistible).Pour élaborer cette thèse originale, il lui a suffi d'étudier le comportement humain dans la même optique que celui des animaux, et en utilisant le même vocabulaire. Le résultat est extraordinaire de précision scientifique, de logique... et d'humour.Quand on se regarde dans une glace, après avoir lu ce livre, on ne se voit plus de la même façon.Arthur Koestler."