Que lisez-vous en juillet 2007?

J'ai commencé "La Défense Lincoln" de Connely.

yeaaah

vraiment bien accroché sur celui là !

ce qui me rappelle un anecdotique rapprochement idiot ou non qui m'est passé par la tête l'autre jour...

les personnages et les intrigues louches, les manigances impliquant des supérieurs, le personnage de Harry Bosch et le flic à la Bullit ?

l'enchainement étant le suivant : envie de musique -> lalo schiffrin -> bullit (facile à trouver la vidéo de la poursuite... j'adore le début... la partie avec la musique !)-> michael connely

Chimère a écrit:

j'ai fais l'acquision du Brodeur de Huê de Kien Nguyen, un auteur vietnamien, je n'avais encore jamais lu donc je suis très curieuse de savoir ce que ça va donner.

Boo en a dit beaucoup de bien sur son blog!
De mon côté, j'ai commencé "dans les bras du vent" de Patrick Cauvin. C'est amusant, c'est en regardant sa bibliographie aujourd'hui que j'ai percuté que j'avais lu non pas un mais deux livres de lui, du fait qu'il écrit aussi parfois sous son vrai nom, Claude Koltz.

J'ai lu "Le brodeur de Huê" l'an dernier et c'est vraiment très très bien! Une fois le nez dedans, on n'a plus envie de lâcher le bouquin!

Je vais relire le beau roman de Pat Conroy The prince of tides (le prince des marées). Merci à Marie qui m'en a donné l'idée avec une de ses énigmes . Je prévois quelques larmes qui iront garnir le fil des pleureuses...

Ensuite Le manuscrit trouvé à Saragosse, de Jean Potocki.

Et puis Alexandra David-Néel, Au Coeur des Himalayas, Le Népal

Je termine Rhinocéros, de Ionesco, et je poursuis ma relecture d'A rebours, de Huysmans, qui est toujours aussi bien.
Depuis mon bug de connexion, j'ai aussi lu Fils unique, que j'ai vraiment beaucoup aimé, ainsi que les Célibataires, de Montherlant.

J'ai commencé ce matin Tu Mio de Erri de Luca...
Pour un peu je n'aurais rien envie de faire d'autre que de lire...

Mot de l'éditeur :

Les femmes et la lecture dans l'art occidental. « Les livres ne sont pas des objets comme les autres pour les femmes ; depuis l'aube du christianisme jusqu'à aujourd'hui, entre nous et eux, circule un courant chaud, une affinité secrète, une relation étrange et singulière tissée d'interdits, d'appropriations, de réincorporations. », Laure Adler. L'histoire de la lecture féminine se reflète dans la peinture et la photographie. Les artistes de toutes les époques ont représenté des femmes en train de lire. Pourtant, il aura fallu des siècles avant qu'il soit accordé aux femmes de lire à leur guise. Ce qui leur incombait d'abord, c'était de broder, de prier, de s'occuper des enfants et de cuisiner. Dès l'instant où elles envisagent la lecture comme une possibilité de troquer l'étroitesse du monde domestique contre l'espace illimité de la pensée, de l'imagination, mais aussi du savoir, les femmes deviennent dangereuses. En lisant, elles s'approprient des connaissances et des expériences auxquelles la société ne les avait pas prédestinées. C'est ce chapitre captivant de l'histoire de la lecture féminine que Laure Adler et Stefan Bollmann explorent, avec un soin particulier du détail. Le fil de l'analyse conduit du Moyen Âge au temps présent, en s'attachant plus spécialement à certaines oeuvres de Rembrandt, Vermeer, mais aussi Manet, Matisse ou Hopper, jusqu'à la fameuse photographie d'Eve Arnold montrant Marilyn Monroe en train de lire Ulysse de James Joyce. De courts textes de commentaire accompagnent ce choix de peintures, de dessins et de photographies.

Je viens de commencer "une odeur d'herbe folle" de Michel Jeury, un roman de terroir qui se passe dans le Périgord à la fin des années 40. Je vais le lire avec curiosité, puisque Michel Jeury a pendant longtemps été un auteur reconnu de science-fiction, puis il a eu un tournant dans les années 80 et se consacre désormais avec pas mal de succès aux romans de terroir. Pas banal, non?

Je ne connais pas cet auteur (encore un tiens! ). Il est certain que de passer de la SF au roman du terroir est un changement peu banal! J'attends tes impressions de lecture...cela fait longtemps que je n'ai pas lu de littérature du terroir.

J'ai lu il y a longtemps des nouvelles de science-fiction de Michel Jeury qui était considéré à l'époque, avec Philippe Curval comme un des auteurs-phares de la S.F française des années 70. Je n'ai toujours pas compris ce revirement littéraire de la S.F vers la littérature de terroir .

Je viens de refermer le passionnant et romanesque "Assam" de Gérard de Cortanze et vais maintenant entamer "Merveilleuse Plante" de William Goyen.

Le Bibliomane a écrit:

J'ai lu il y a longtemps des nouvelles de science-fiction de Michel Jeury qui était considéré à l'époque, avec Philippe Curval comme un des auteurs-phares de la S.F française des années 70. Je n'ai toujours pas compris ce revirement littéraire de la S.F vers la littérature de terroir .

Et elles étaient comment, ses nouvelles de SF?

ça y est ! j'ai commencé cette après-midi Les grandes gueules (le Haut Fer (qui semble être le titre original)), je n'ai jamais vu le film dont je n'avais pas plus entendu parlé que du livre...

je commence enfin un José Giovanni... les premières pages sont à la hauteur des attentes et quelques phrases les dépassent le plus naturellement du monde... ça s'annonce...

J'avais aussi lu un livre de SF assez confus de Michel Jeury à la fin des années 70 sous le titre prometteur de : Soleil chaud poisson des profondeurs. Je n'en garde pas un bon souvenir, Curval était bien meilleur il me semble.

Bibliomane, mais qui est donc ce Willima Goyen ? Connais pas du tout, ça m'intrigue.

J'ai presque fini de lire Kiran Desai - The inheritance of Loss (le dernier Booker), et j'ai un avis un peu réservé, je mettrai un fil quand je l'aurai terminé. :?: Question: Kiran Desai est indienne, elle écrit en anglais et je crois qu'elle vit aux US ou en Angleterre, je vérifierai. Dans quelle rubrique doit-elle apparaître ? Dans le pays où le livre est paru en premier ? :?: