Que lisez-vous en Septembre 2012?

Aïe. j'essaierai mais ça ne sera pas facile, surtout que à aujourd'hui je ne connais (c'est surestimé comme façon de le dire) que ce petit texte.

J'ai laissé après une bonne moitié "Le temps ou nous chantions". Je l'avais trouvé trop lent avec beaucoup de verbiage mais surtout j'avais d'autres soucis en ce temps là et sa lecture n'arrivait pas à m'emporter.

Beaucoup de mal avec Malraux. Là aussi les conditions du moment ne sont pas bonnes pour un tel livre...

Powers est sur ma Pal...

Là, je vais commencer (et emporter en vacances) la Trilogie de Marseille de Jean Izzo!

Encore un petit Freud avec L'interprétation des rêves... (lu il y a longtemps déjà, besoin de me rafraîchir la mémoire).

Artis Fioretos, Le dernier Grec

Citation :

Yannis Georgiadis est un jeune Grec né dans un petit village perdu dans les montagnes de Macédoine qui émigre en Suède dans l'espoir de trouver une solution technique à un problème d'alimentation en eau. A travers son histoire, Aris Fioretos compose une fresque pleine d'humour et de poésie sur le destin tragique des Grecs exilés depuis le grand incendie de Smyrne. Une fable existentielle bouleversante et délirante, au ton à la fois détaché et intimiste. Le roman est constitué d'une centaine de fiches confiées à l'auteur après la mort de celui qui les aurait établies, un certain Kostas Kezdoglou. La belle-mère de ce dernier aurait en effet été l'instigatrice d'un grand projet collectif visant à recenser de façon exhaustive les différents destins des Grecs expatriés dans le monde après la Première Guerre mondiale. Sans toucher à la chronologie désordonnée de ces fiches, l'auteur les présentent telles quelles. Elles retracent l'histoire de l'ami d'enfance de Kostas Kezdoglou, un jeune Grec nommé Yannis Georgiadis, né dans un petit village perdu dans les montagnes de Macédoine où sont venus s'installer son père et sa grand-mère après l'incendie de Smyrne en 1922. On suit le jeune rêveur jusqu'en Scanie où il émigre dans l'espoir de trouver une solution technique au problème d'alimentation en eau de son village natal. Là, il est accueilli chez un médecin compatriote, sa femme autrichienne et leurs deux fils. Bientôt il saura jouer au croquet, faire du patin à glace et communiquer ses pensées, toujours débordantes, en suédois. Un mariage raté plus tard, Yannis finira par quitter la Suède dans une vieille Saab avec sa fille de six mois, pour retrouver son village et, plus important encore, sa chèvre bien-aimée. Ce sera le dernier voyage de Yannis Georgiadis... De cette fresque complexe se dégage une poésie cocasse et une grande sensibilité. Malgré une trame mélancolique digne de la tragédie grecque, l'humour et l'espièglerie ironique de l'auteur sont omniprésents. Une maîtrise parfaite de la structure permet à l'auteur de jouer avec le lecteur, de le balader dans l'imaginaire débordant du narrateur. Un surprenant voyage existentiel aux multiples facettes

Après Nocturne Indien (Tabucchi ; bien), j'ai commencé La Vie et l'oeuvre du compositeur Foltyn (Karel Capek).

Fini A Bonne école de Muriel Sparks :jemetat e: :essayez en peut-être un autre.

Essayé la voie royale de Malraux.
Il y a quelque chose entre Malraux et moi, qui fait que je n'ai jamais pu finir ni la condition humaine, ni l'espoir, sans trop savoir pourquoi(Ou peut-être est-ce justement qu'il n'y a rien entre Malraux et moi). Ces 2 échecs de lecture me font l'effet de ce que Arabella a appelée frustration sur un autre fil: de ne pouvoir arriver à m'approprier ces 2 romans qui sont présentés partout comme des monuments, lus, aimés et estimés par des gens de goûts et d'attentes très différents.
Après le commentaire de Shanidar j'ai donc essayé la voie royale . Une fois de plus, je ne suis absolument pas arriver à y entrer. J'ai donc relu le commentaire de Shanidar et trouvé finalement ce qui me gêne dans le livre et je vais remettre pour voir si affrontant les choses en connaissance de cause je vais pouvoir passer par-dessus.

Igor a écrit:

J'ai laissé après une bonne moitié "Le temps ou nous chantions". Je l'avais trouvé trop lent avec beaucoup de verbiage mais surtout j'avais d'autres soucis en ce temps là et sa lecture n'arrivait pas à m'emporter.

Beaucoup de mal avec Malraux. Là aussi les conditions du moment ne sont pas bonnes pour un tel livre...

C'est peut-être plus une question de disponibilité pour toi en ce moment qu'un problème venant des lectures elles-mêmes...
Mais on ne peut pas tout apprécier non plus...

Je lis Miniatures de Saadallah Wannous.

coline a écrit:

Igor a écrit:

J'ai laissé après une bonne moitié "Le temps ou nous chantions". Je l'avais trouvé trop lent avec beaucoup de verbiage mais surtout j'avais d'autres soucis en ce temps là et sa lecture n'arrivait pas à m'emporter.

Beaucoup de mal avec Malraux. Là aussi les conditions du moment ne sont pas bonnes pour un tel livre...

C'est peut-être plus une question de disponibilité pour toi en ce moment qu'un problème venant des lectures elles-mêmes...
Mais on ne peut pas tout apprécier non plus...

J'avais quand même trouvé à la relecture que les 100 premières pages étaient ardues, ne pas hésiter à persévérer !

J'ai commencé Ni d'Eve ni d'Adam d'Amélie Nothomb et je suis étonnée de trouver ça si doux venant d'elle, au début je me disais de ne pas trop m'attacher aux personnages car à tout moment, je sentais que j'allais apprendre que l'un d'eux est un psychopathe. Donc je trouve ça divertissant disons mais sans plus... Ca m'étonne car généralement, j'adhère très bien à la "littérature grand public".

Sinon, je continue les Conférences d'introduction à la psychanalyse de Freud et je devrais bientôt me replonger dans les déferlantes que j'ai laissé un peu en stand by par manque de temps...

Après La Vie et l'oeuvre du compositeur Foltyn (Karel Capek ; c'est un auteur que j'aime décidément bien), je vais commencer (et ça va me prendre plus de temps, sauf si je pose un RTT ou deux...) L'Education Sentimentale (Flaubert).

topocl a écrit:

Fini A Bonne école de Muriel Sparks :jemetat e: :essayez en peut-être un autre.

J'en ai essayé un autre mais pas très convaincue moi non plus...
Et pour Malraux, bon courage. Ce qui m'a poussé à m'investir dans La condition humaine, c'était la perspective du bac français il y a quelques années...

shéhérazade a écrit:

Sinon, je continue les Conférences d'introduction à la psychanalyse de Freud

Youpi, tu vas venir garnir le fil de Freud alors !

Satan, d'un auteur anonyme, mais publié chez P.J.Oswald.
Très court, donc déjà fini (39 p.), pièce de théâtre en un tableau.

Après le dramtique Jude l' obscur...je vais lire quelque chose de léger et d' abord terminer Chagrin d' école que j' pprécie. Oui oui !