Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Frederick Exley

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Exini
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MessageSujet: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptySam 31 Déc 2011 - 11:04

Grâce au message de Darkanny, ce fil a vu le jour!

Frederick Exley  A326

Frederick Exley, dit « Fred » Exley (28 mars 1929 – 17 juin 1992) est un auteur américain qui est devenu célèbre grâce à son premier roman, Le Dernier stade de la soif (en version originale : A Fan's Notes).

Source et suite


Je voulais VRAIMENT faire cette critique moi-même ! Et puis à cause du temps passé depuis la lecture, par peur de ne pas savoir retranscrire ce que j'avais ressenti, ou peut-être par flemme, je ne me suis pas lancé.

Frederick Exley  A330

LE DERNIER STADE DE LA SOIF

Citation :
« A ce livre colle la puanteur d'une vie réelle qui a pris le chemin d'un véritable désastre ; c'est pour cette raison qu'il s'agit d'un chef d'œuvre. » Auteur de la préface du Dernier Stade de la soif (éditions Monsieur Toussaint Louverture), Nick Hornby vous aura prévenu. Et on ne pouvait rêver d'une meilleure introduction à la vie et à l'œuvre de Frederick Exley, inconnu en France, mais que ces "mémoires fictives" ont rendu (relativement) culte aux Etats-Unis.

Exley a une singularité, nous dit Hornby, grande figure du "roman confession à la première personne" : ayant renoncé à s'attirer la sympathie du lecteur (à l'inverse de la plupart des écrivains), lui s'aventure sur le « terrain de la vérité ».
Quelle vérité ? Allons, des échecs cuisants, des cuites mémorables. La vie d'un type marginal qui n'a qu'une seule vraie passion : les New York Giants, équipe de football dont il ne manque aucun match (et qui dit match dit : boire). Seule constante dans ce récit qui déjoue toute forme de chronologie, cette obsession pour les Giants - et plus particulièrement pour un joueur dénommé Frank Gifford - en dit long sur le malaise de Fred Exley : « C'est mon sort, mon destin, ma fin que d'être un supporter ». Être supporter, comme être groupie : vivre dans l'ombre d'un autre, se repaître des victoires (de la gloire) qu'on a soi-même renoncé à remporter.
Au fil des souvenirs qu'il voudra bien nous livrer, on apprendra du fan qu'il est lui-même le fils d'un athlète de bon niveau, une célébrité locale dans sa jeunesse. Il ne s'agit pas de mettre du Freud là où il n'y en a pas, mais les passages dans lesquels Exley - « Ex » - évoque son père sont parmi les plus forts du roman, peut-être même des images-clés pour comprendre sa propre maladie - désespoir chronique, défaistisme incurable. Evoquant la mort de son père, Exley a chassé bien loin toute forme de pathos, avouant ne pas être capable de savoir s'il l'a aimé vraiment.

Ce n'est pas parce qu'il ne larmoie pas que Fred Exley ne nous brise pas le cœur de ses histoires d'amour, vomi, ami, lose, et psy. Racontés avec une lucidité terrifiante, ses multiples séjours à l'asile (un endroit sordide appelé Avalon Valley) le font définitivement basculer du côté de ceux qui ne s'en sortiront jamais. « Ces récidivistes incarnaient la laideur, la décrépitude et la putréfaction », écrit-il à propos des autres pensionnaires. « A présent, j'étais persuadée de comprendre : ils n'avaient pas leur place dans l'Amérique d'aujourd'hui. Cette Amérique était ivre de beauté physique. L'Amérique était au régime. L'Amérique faisait du sport. » Pas de place donc dans ce pays au sourire éclatant pour les freaks, les solitaires, les ratés qu'Exley se retrouve naturellement à fréquenter. Il y a l'Avocat, radié de sa profession pour une moindre erreur ; Paddy The Duke, mystérieux sage rencontré chez les fous ; Mister Blue, petit homme spectaculaire obsédé par le cunnilingus. Il y a les potes ; et Ex ne l'oublie pas, il y a les femmes aussi, Lottie, Bunny, et puis Patience qui porte si bien son nom. Ex se marie avec cette dernière, a deux enfants avec elle. Il se donne le rôle du salaud dans l'affaire conjugale, imperméable à tout sentiment de paternité, promettant un roman auquel il ne travaille pas, pendant que son épouse s'occupe « de toute la dimension matérielle de (leur) relation ». Avant de tailler la route pour de bon, Ex composera le pastiche suivant pour la douce Patience (il ne le lui donnera jamais) :

« Tu m'as donné le pain, tu m'as donné le lait,
Tu m'as donné plein de bons trucs à manger ;
Seul problème, tu en conviendras
C'est que la poule au pot, très peu pour moi ».

Plus explicitement, il écrira encore plus tard dans une lettre qu'il n'enverra jamais : « mon cœur penchera toujours du côté de l'ivrogne, du poète, du prophète, du criminel, du peintre, du fou, de tous ceux qui aspirent à s'isoler de la banalité du quotidien (...) je ne me sentirais jamais plus à l'aise dans autre chose que des nippes de bas étage, qui rappellent les odeurs, les goûts, les rires et les larmes d'Avalon Valley. »
Exley s'exprime comme un écrivain maudit. Problème : à ce moment-là, il n'a encore rien écrit. Paradoxe : c'est ce genre d'imposture qui fera son grand roman. Les échecs et les mensonges ont fait de bons écrivains. Exley en est un. Malgré les comparaisons évidentes dont il a fait l'objet (Bukowski et la clique des soifards de génie), son Dernier Stade de la soif est tout sauf un simple livre sur la vie dans le caniveau. C'est la confession magnifique d'un triste salaud. La somme désordonnée d'une existence toute cabossée. Un récit sans début ni fin, qui fait débander les hommes trop sûrs, pleurer les filles naïves.

Frederick Exley, Le Dernier Stade de la soif, Monsieur Toussaint Louverture, 2011.

Céline Ngi

Cette critique a été prise sur le site fluctuat.

C'est la meilleure que j'ai pu trouver pour retranscrire ce qu'on vit en lisant ce livre. Toutefois, il est utile d'ajouter quelques précisions. Même si c'est une bonne critique, elle ne traduit pas tout l'humour qu'on peut y trouver. D'autre part, ce "salaud" qui "s'autoflagelle", je m'y suis attaché, et même parfois reconnu. Sa vision de la société est peut-être (sûrement) noire et glauque, mais si vraie la plupart du temps, et son dégoût pour cette société et pour lui-même (parfois) est toujours contrebalancée par son amour pour les hommes qui l'entourent (son père, son beau-père, Paddy the Duke, l'Avocat, Patience, etc...) même si au départ, ça n'est pas forcément gagné. Attention, certains en prennent aussi plein la tronche (il sait alors se faire passer pour un véritable con sans pour autant que l'on éprouve la moindre sympathie ou compassion pour les gens visés). Certains personnages qu'il rencontre lors de ses séjours à Avalon Hill ( Les alcooliques à l'époque en Amérique étaient soignés en hôpital psychiatrique, d'après ce que m'a dit mon libraire) sont parfois proches de ceux qu'on a pu voir dans "Vol au dessus d'un nid de coucou" (Blanche-Neige dans son langage peu châtié et son attitude peut passer pour celui qui était joué par Christopher Lloyd)

Un livre que j'ai adoré. J'espère vous avoir mis l'eau à la bouche.

Un petit passage pour finir ?

Au bout d'un moment, je trouvai un nouvel exutoire pour ma colère grandissante, et c'est grâce à lui que j'évitais de sombrer dans un état auquel on colle volontiers l'étiquette de psychotique. Tous les matins, je cherchais dans le Times l'offre d'emploi la plus absurde, et j'y répondais. Je répondais également à d'autres annonces, mais il fallait que je m'occupe de la première avant de pouvoir me consacrer à celles qui pouvaient raisonnablement constituer un réel espoir d'embauche. Ces offres, les plus idiotes, étaient généralement encadrées, et se trouvaient indifféremment dans la rubrique Emploi, Sports ou Economie :
"Officine cherche jeune homme intelligent et ambitieux voulant devenir rédacteur publicitaire - quelqu'un qui ne s'écroulera pas comme une fleur fanée à la moindre objection, ou à une attaque plus violente, quelqu'un qui ne craint pas les camouflets, bref, quelqu'un capable d'encaisser et de rendre les coups. Adressez votre candidature à ________."
Il m'arrivait parfois de consacrer une ou deux heures à la rédaction de mes réponses, afin qu'elles soient parfaites. Avant de pouvoir postuler aux annonces plus raisonnables, je devais apposer un point final à mon premier courrier, le mettre dans une enveloppe et le cacheter.
"Des coups ? J'ai eu un patron qui me tapait sur la tête par simple plaisir. Cela dit, c'était un sombre crétin. Il ne m'a rien appris, sinon que travailler pour un sombre crétin ne présente aucun avantage - c'est humiliant, détestable et profondément démoralisant. Mais avec vous - il est évident à la lecture de votre annonce que vous êtes un type d'une toute autre envergure -, ce sera différent. Lorsque vous m'enverrez dans les cordes assurez-vous juste que je sache pourquoi. D'accord ? Puis, le temps aidant, je serai aussi omniscient et cynique que vous, et il va sans dire que nous vivrons ensuite dans votre - officine, c'est ça ? - comme deux pauvres cons unis pour la vie."
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptySam 31 Déc 2011 - 18:16

Je note, Exini. Ce n' est pas franchement gai, mais ça sonne juste. Ce que tu écris aussi ...
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MessageSujet: Frederick Eexley E   Frederick Exley  EmptySam 31 Déc 2011 - 20:11

Au contraire, bix, même si l'histoire est présentée comme une déchéance dans la critique, l'auteur transforme cette descente comme une épopée fantastique. C'est justement parce qu'il ne tombe jamais dans le "pathos" que le livre se tient (en fait, je n'ai pas compris cette importance de l'alcool qu'à la moitié du bouquin - même si dès le début, c'est l'alcool qui prend le dessus) car si le personnage fréquente souvent les bars, il ne s'étend pas sur les beuveries, mais plus sur les évènements et les ressentis avant et après cette alcoolisation.
C'est cette pirouette, ce style d'écriture qui "tient" le livre et le lecteur. Exley sait faire sourire, rire, et juste après émouvoir.

De plus, il ne faut pas oublier que ces évènements se déroulent lors des "Trente glorieuses" (après guerre jusqu'à la moitié des années 60). La société de l'"Américan way of life" en prend un coup. D'ailleurs 1968 - c'est la date d'édition americaine, le livre n'a été traduit que cette année - c'est la contre-culture, le rejet de cette époque où pour réussir sa vie, il fallait avoir un bonne femme, un bon métier, de beaux enfants.

"Le dernier stade de la soif", c'est bien sûr la vie de Exley et son auto-critique pleine d'auto-dérision, avec en toile de fond une description ironique de la vision de la réussite sous les 30 glorieuses, mais aussi celle de cette contre-culture qui va arriver.

La meilleure explication réside dans cette phrase "Frederick EXLEY est né en 1929 et mort en 1992. Entre ces deux instants, il a eu une vie que peu de gens aimeraient vivre, mais que presque tout le monde aimerait lire."
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptySam 13 Avr 2013 - 12:21

Le dernier stade de la soif de Frederick Exley

Quoi de mieux que ce fil pour en parler car il est dit que Frederick Exley est l'homme d'un seul livre.
Et tant mieux, non pas parce que le livre est mauvais bien au contraire mais parce qu'il me semble que l'auteur y a résumé tout son être et sa dimension intérieure.

Dans les année 50 aux EU, un homme (il se nomme Frederick) jeune mais plus trop, marié mais plus trop, père mais plus trop, se débat à travers une vie chaotique faites de déboires à la fois professionnels, intimes et autres.
C'est un grand supporter des Giants (et franchement je ne me suis jamais ennuyée quand il en parlait), il passe tous ses WE à boire et à attendre fébrilement les matchs de son équipe phare, emmenée par Frank Gifford qui fréquenta la même université que lui.

Dit comme ça, je comprends bien que ça n'éveille pas en vous une grande curiosité ni un intérêt des plus vifs.
Et pourtant.....quel talent, quel naturel dans sa prose.
Il peut vous parler de tout, rien n'est artificiel, tout se lit avec intérêt, ses souleries, ses différents passages en HP, ses multiples emplois, les villes qu'il évoque (magnifique ressenti sur Chicago).
Un ton très personnel, très peu de dialogues, mais une grande acuité sur tout ce qui l'entoure, les êtres, les choses, les villes, les paysages.
Pas vraiment de plan dans ce livre, on vit avec lui, on partage.
Rarement je n'ai eu l'impression de tant partager avec quelqu'un dans un livre, Frederick Exley arrive à vous faire croire à ce qu'il raconte, sans se forcer, tout naturellement.

Ce héros qui n'en est pas un restera à jamais "supporter"mais ça fait la richesse du livre.
J'ai beaucoup, beaucoup aimé.
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 7:17

darkanny a écrit:
Quoi de mieux que ce fil pour en parler car il est dit que Frederick Exley est l'homme d'un seul livre.
[,,,]
J'ai beaucoup, beaucoup aimé.
ce n'est pas grave d'ouvrir même un fil pour un auteur qui n'a écrit qu'un livre... surtout que tu sembles avoir tellement aimé.. que d'autres vont avoir envie de le lire et un fil pour en discuter serait bien Wink
mais on va voir pour la suite...
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 8:11

Ouis dans ce cas on déplacera et je ferai une bio.
Je suis sûre que ça te plairait ce livre ainsi qu'à Epi, Aeriale, Topocl peut-être.


Dernière édition par darkanny le Dim 14 Avr 2013 - 10:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 9:09

darkanny a écrit:
Ouis dans ce cas on déplacera at je ferai une bio.
Je suis sûre que ça te plairait ce livre ainsi qu'à Epi, Aeriale, Topocl peut-être.

Topocl note Very Happy !
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 9:41

topocl a écrit:
darkanny a écrit:
Ouis dans ce cas on déplacera at je ferai une bio.
Je suis sûre que ça te plairait ce livre ainsi qu'à Epi, Aeriale, Topocl peut-être.

Topocl note Very Happy !
Kenavo l'a déjà fait Wink
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 10:11

L'a déjà quoi ? lu ? surpris
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 10:49

kenavo a écrit:
ce n'est pas grave d'ouvrir même un fil pour un auteur qui n'a écrit qu'un livre... surtout que tu sembles avoir tellement aimé.. que d'autres vont avoir envie de le lire et un fil pour en discuter serait bien Wink
mais on va voir pour la suite...
Je pense que ça va être nécessaire parce que moi aussi je l'ai noté dentsblanches

Ton commentaire donne vraiment envie Darkanny.
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 11:05

Moi aussi bien sûr je l'ai noté, avec tout ce monde, il faudra un fil Wink
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MessageSujet: Frederick Exley   Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 11:35

Hé hé oui, il va s'imposer ce fil!

Tel que tu le décris, ça donne envie Darkanny, effectivement. Je le note aussi Wink
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 18:54

voilà, avec tout cet intérêt, j'ai divisé tous les messages du OneShot pour lui faire son fil,
Darkanny, tu as pendant 30 jours accès à ton premier message pour lui faire une jolie photo/bio

darkanny a écrit:
Frederick Exley est l'homme d'un seul livre
comme j'ai pu le voir sur wiki ce n'est pas tout à fait le cas, il a écrit 3 livres, même si pour l'instant il n'y a peut-être seulement un traduit en français.. si on va faire assez de pub pour lui, les deux autres vont aussi être traduits??!!

darkanny a écrit:
L'a déjà quoi ? lu ? surpris
mais non, noté!!
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 19:52

Oui kena il a écrit 3 livres, mais on le considère comme l'homme d'un seul livre car je pense que les deux autres n'ont pas bénéficié du même accueil que "Le dernier stade de la soif "qui, paru en 1964, a tout de suite rencontré un vif succès et a valu à FE de nombreux prix et bourses.

Merci d'avoir ouvert le fil et demain je rédige une bio/photo
ça tombe bien, je suis en vacances j'ai le temps.

En attendant n'hésitez pas à le lire !
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MessageSujet: Re: Frederick Exley    Frederick Exley  EmptyDim 14 Avr 2013 - 20:39

Darkanny ce que tu dis évoque un souvenir distant chez moi, je l'avais déjà noté il y a longtemps, je crois mais je n'arrive pas à retrouver.... En tous les cas ton fil me donne envie....
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