Le Café Littéraire - ici on cause....

monilet a écrit:

C'est où ? On dirait Salzburg.

je t'adore.. toutes les femmes viennent - chouette, belle vue, il y a du soleil, on va s'installer, boissons, ... et puis Monilet - question technique
Mais tu as tout à fait raison - Salzburg!!
(Malheureusement je n'ai pas encore eu la chance de visiter - mais d'après des images et reportages de ma copine qui vit à Vienne, c'est adorable...)

kenavo a écrit:

monilet a écrit:

C'est où ? On dirait Salzburg.

je t'adore.. toutes les femmes viennent - chouette, belle vue, il y a du soleil, on va s'installer, boissons, ... et puis Monilet - question technique

C'est ce que je me suis dit en rigolant toute seule! c'est bien une question de mec ça
D'abord: Se situer dans l'espace...

aériale a écrit:

D'abord: Se situer dans l'espace...

Ah mais ça c'est étrange.. et va nous ramener au thème littéraire
Quand je lis - je n'aime pas quand l'auteur me laisse dans le vague point de vue 'situation dans l'espace'
Par exemple il y a un des rares romans de Modiano qui ne se déroule pas à Paris mais se situe sur la petite enclave espagnole sur le continent africain - mais il ne le dit pas - et la première fois quand j'ai lu ce roman, je ne connaissais pas cette situation - mais je devenais dingue parce que je ne pouvais pas 'situer' la situation de ce roman dans ma tête..
Cela vous arrive-t-il ou est-ce seulement moi qui est 'à côté de la plaque'??

Spoiler:

Pas technique du tout : je suis tombé amoureux de cette ville(seul cas d\'amour fou pour une ville dans ma vie) à ma première visite en 1967. Ça ne s\'est pas démenti lors de deux visites ultérieures.
Ma question laconique : c\'était l\'émotion.

monilet a écrit:

Pas technique du tout : je suis tombé amoureux de cette ville(seul cas d'amour fou pour une ville dans ma vie) à ma première visite en 1967. Ça ne s'est pas démenti lors de deux visites ultérieures.

je peux te comprendre.. pour moi ce coup de coeur serait Rome dans le sud et Londres un peu plus dans le nord

Pour cette fois aériale : à côté de la plaque en ce qui me concerne

monilet a écrit:

Pour cette fois aériale : à côté de la plaque en ce qui me concerne

pauvre aériale.. c'était kenavo qui a demandé

C'est con, en revoyant cette photo, ce paysage, j'ai le coeur qui flambe.

monilet a écrit:

C'est con, en revoyant cette photo, ce paysage, j'ai le coeur qui flambe.

Mais... mais... mais... Qu'est-ce que ce relâchement dans votre langage Monsieur Monilet?...Le coeur qui chavire et hop...

Une image, coline, une image (je suis sage comme...)

kenavo a écrit:

Quand je lis - je n'aime pas quand l'auteur me laisse dans le vague point de vue 'situation dans l'espace'
Par exemple il y a un des rares romans de Modiano qui ne se déroule pas à Paris mais se situe sur la petite enclave espagnole sur le continent africain - mais il ne le dit pas - et la première fois quand j'ai lu ce roman, je ne connaissais pas cette situation - mais je devenais dingue parce que je ne pouvais pas 'situer' la situation de ce roman dans ma tête..
Cela vous arrive-t-il ou est-ce seulement moi qui est 'à côté de la plaque'??

Oui, tu n'es pas la seule Kenavo à être à côté de la plaque
Je repense aux romans de Philippe Claudel...En général il reste dans le flou niveau géographique...et moi qui n'ai aucun sens de l'orientation et suis plutôt planante quand je dois me situer, dans les romans cela me gène!

Ah...le printemps et Monilet...toujours amoureux notre homme

aériale a écrit:

Je repense aux romans de Philippe Claudel...En général il reste dans le flou niveau géographique...et moi qui n'ai aucun sens de l'orientation et suis plutôt planante quand je dois me situer, dans les romans cela me gène!

oui.. c'est bien que tu nommes Claudel - c'est entre autre avec ses romans que j'ai ce 'problème'..

oui... cela doit être le printemps

kenavo a écrit:

oui.. c'est bien que tu nommes Claudel - c'est entre autre avec ses romans que j'ai ce 'problème'..

oui... cela doit être le printemps

Surtout dans "la petite fille de Monsieur Linh...Ca m'a génée vraiment (et pourtant c'est plus logique puisqu'il traite ses histoires comme des fables )
Et c'est pas tout...il lit "torride " au lieu d'"horrible"sur un autre fil très sérieux

aériale a écrit:

Surtout dans "la petite fille de Monsieur Linh...Ca m'a génée vraiment (et pourtant c'est plus logique puisqu'il traite ses histoires comme des fables )

oui.. à toutes les reprises je me dis - c'est pas si grave.. mais je remarque que je peux pas si bien 'entrer' dans un livre quand l'auteur me laisse dans le vague concernant l'endroit

aériale a écrit:

Et c'est pas tout...il lit "torride " au lieu d'"horrible"sur un autre fil très sérieux

monilet a écrit:

Une image, coline, une image (je suis sage comme...)

Oh mais nous savons bien que tu es sage...