Fred Vargas

grain de sel a écrit:

c'est qui ma maman ???

je suis responsable des votes des auteurs du mois.. mais je ne vais pas me déclarer maman des votants

grain de sel a écrit:

Merci d'avoir guider ma route aériale et pour ton PM aussi !!
me voilà rose maintenant !!
c'est qui ma maman ???

... de rien Grain de sel!

Maintenant c'est maman Kenavo qui te dirigeras te conseilleras pour les votes notamment ...

Ecoute bien les consignes et vote pour qui tu (peux )veux et pas trop de bêtises, hein?

grain de sel a écrit:

me voilà rose maintenant !!
c'est qui ma maman ???

Ah...Il y a un moment où il faut voler de ses propres ailes...

Je viens de terminer un lieu incertain.

Du bon et beau Vargas dans toute sa splendeur.
Trouvailles et inventivité. Toujours des personnages à la limite de la caricature mais sans exagération étant donné le contexte lui-même du roman (comme le sprécédents).
Je me suis demandée si elle désirait nous entraîner dans le fantastique où la fantaisy... histoire de varier le style. Mais la constante de Vargas : retomber sur ces pieds dans un monde réel, quoi qu'il arrive se vérifie là encore. Comment s'y retrouver via une ligne droite lorsque le commissaire est un "pelleteur de nuages" ?
On retrouve les personnages récurrents, leurs tics et petites manies, et de savoureux ajouts. Les nouveaux n'ont rien à leur envier dont on sent bien que quelques-uns reviendront lors de futures enquêtes, s'insérer à ce méli-mélo brouillon mais pourtant bien encadré à qui sait s'y retrouver.

Je ne raconte rien mais rien de l'histoire, vous laissant la découverte.

C'est du Vargas, de l'excellent après quelques hésitations de l'auteur. (Le dernier - sous les vents de Neptune- étant un bon cru également). J'ai préféré ce lieu incertain.

Je viens d'acheter Un lieu incertain mais mon mari me l'a volé et l'a commencé avant moi (lui aussi c'est un inconditionnel...hélàs !); j'espère seulement qu'il ne va pas mettre trop de temps à le lire, de toute façon je le commence au plus tard pour la rentrée (la mienne : le 4 août !) pour parer la mélancolie de la reprise du travail

Mordicus a écrit:

Achats du matin :



Je commence petit avec Salut et Liberté suivi de La nuit des brutes. En édition de Librio à 2€ et 50 pages.
Et j'oublie pas que c'est une fille.

Un fred Vargas pour seulement 2 euros, il me le faut !

Hier, j'ai trouvé mon homme en train de se laver les dents en lisant Un lieu incertain Il ne pouvait plus s'arrêter...heureusement qu'il a bientôt fini...que je puisse commencer !

J'ai lu Un lieu incertain, j'y ai retrouvé l'univers de Vargas, les personnages de son monde autour d'Adamsberg. Un petit problème à mes yeux : ce monde est mis en place, je connais chaque personnage, ses habitudes, son histoire au fil des livres. Mais Vargas en est au point où elle pense aux nouveaux lecteurs qui découvriraient les personnages avec ce livre. Il y a donc beaucoup de "précisions" sur telles ou telles habitudes d'untel ou unetelle et ça peut être un peu fastidieux à lire par moment (pour moi du moins). Sinon, l'intrigue est passionante, même si la fin est un peu tarabiscotée (comme dans beaucoup de ses romans - à part "Sous les vents de neptune")


J'ai Salut et Liberté suivi de La nuit des brutes dans un livre intitulé Coule la Seine. Il y a en plus cinq francs pièces. Trois nouvelles passionantes ou Adamsberg n'est qu'un prétexte pour découvrir des personnages hauts en couleur...

L'homme à l'envers

Tadamm, j’ai terminé mon deuxième roman de Fred Vargas, deuxième tome également des aventures du commissaire Adamsberg, qui signe là une variation sur le thème de la bête du Gévaudan. Et bien j’aime beaucoup, Fred Vargas nous convie une nouvelle fois à un pur moment de délassement (je me la joue un peu grande connaisseuse alors que je n’ai lu jusqu’à présent que deux de ses romans lol), non pas tellement pour l’intrigue policière mais avant tout pour l’ambiance, les personnages picaresques, l’humour, le décalage de certaines situations, toutes ces petites choses qui donnent tout le charme à ses romans.

Le commissaire Adamsberg est par ailleurs assez peu présent, le personnage principal étant Camille, la fameuse Camille, la dulcinée qui ne cesse d’apparaître/disparaître dans la vie du commissaire, et qui se trouve être compositrice de musique mais également plombière à ses heures perdues, ne trouvant le réconfort qu’à la lecture du catalogue d’outillages professionnels…

Certains se demanderont peut-être ce que peut bien cacher ce titre accrocheur « L’homme à l’envers ». Je ne pense pas dévoiler grand-chose de l’intrigue en vous racontant la croyance selon laquelle le loup-garou serait un homme reconnaissable par son absence totale de pilosité à la surface de sa peau, cette pilosité se retrouvant en fait à l’intérieur du corps, en dedans, d’où la conviction de détenir la preuve d’être en présence d’un loup-garou en lui ouvrant le corps de haut en bas pour y découvrir toute la pilosité interne utile à sa transformation en loup. Evidemment, le tout est de ne pas se tromper de bonhomme, la démarche inverse étant nettement plus délicate :)

En conclusion, ce fut une lecture plaisante, un roman qui se lit d’une traite, une délicieuse friandise qui se déguste avec gourmandise, je ne boude pas vraiment mon plaisir d'être en compagnie du commissaire Adamsberg et compte bien entamer rapidement le suivant sur ma liste !

Un lieu incertain : formidable !

Alors je vais me laisser tenter par son petit dernier

Mordicus a écrit:

Achats du matin :



Je commence petit avec Salut et Liberté suivi de La nuit des brutes. En édition de Librio à 2€ et 50 pages.
Et j'oublie pas que c'est une fille.

Je viens de le terminer. Pas enthousiasmée, pas vraiment déçue. Un peu, peut-être.

Un lieu incertain

Je voulais suivre les enquêtes du commissaire Adamsberg dans l’ordre de publication des tomes composant la série mais après avoir lu le premier et deuxième tome, respectivement « L’homme aux cercles bleus » et « L’homme à l’envers », ne voilà-t-il pas que je tombe sur son petit dernier à la bibliothèque ! Je n’ai évidement pas résisté à l’appel et me suis jetée dessus goulûment … d’autant plus qu’on y parle de vampires et que j’aime bien cette thématique en général.

Un fameux saut dans le temps, puisque je suis passée de « L’homme à l’envers » écrit en 1999 à « Un lieu incertain » écrit en 2008, soit neuf années, et il s’en est sans nul doute passer des choses dans la vie du commissaire pendant ces neuf années. Mais ce n’est pas cette inconnue qui m’a le plus dérangée, car finalement, après avoir pris connaissance de l’un ou l’autre des éléments, on s’y retrouve très bien. Non, ce qui m’a le plus déroutée est le changement opéré dans l’écriture de Fred Vargas. Ce qui faisait avant tout le charme des romans de Vargas, à savoir une écriture aérée, l'importance des personnages secondaires succulents, une certaine légèreté et un humour décalé, font ici défaut. Ecriture plus resserrée, propos concentré avant tout sur une intrigue emberlificotée comme jamais, personnages trop nombreux ont fait que j’ai avant tout subi ce qui me séduit le moins chez Vargas. Du coup, j’ai un peu peiné à la lecture, j’ai parfois trouvé le temps long, je me suis un peu perdue en cours de route par inattention, bref je suis restée un peu sur les quais. Ce roman manque de souffle, de respiration, je n’y ai pas retrouvé avec autant de plaisir la patte de l’auteur . Je vais donc reprendre mes bonnes résolutions initiales et continuer les aventures du commissaire dans l’ordre d’apparition des romans en oubliant un peu ce dernier tome, qui je l’espère, n’inaugure pas un passage à vide ou un manque d’inspiration pour la continuité…

Je me suis mis récemment à Vargas, et je ne suis pas déçu. J'ai commencé par

Un peu plus loin sur la droite

Une phalange humaine est retrouvée dans une merde de chien à Paris. C'est la première pièce d'un puzzle criminel assez délirant. Le personnage qui mène l'enquête est solidement épaulé par un crapaud fidèle, et un médiéviste au chômage qui hait les crapauds. C'est un délire construit, on y croit presque. C'est merveilleux.