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| Ingmar Bergman | |
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Auteur | Message |
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Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 10 Aoû 2007 - 20:36 | |
| Oui, je comprends, je dois relativiser. De nombreuses personnes (dont les cinéastes eux-mêmes) ont été amenées au cinéma par une oeuvre de Bergman. Il y a quelque chose qui m'a échappé. Je recitue bien le propos de Mauvignier. L'image est plus directe que l'écriture car sans concession, notre attention n'est pas la même. Il m'est arrivé de lire un roman cruel où je ne me laissais emporter que par la surface et de n'en découvrir l'essentiel que lors de l'adaptation ciné. - J'aimerais revenir sur le film de Bergman que Coline nous présentait et dont les plans sont de véritables oeuvres photographiques. Je dois revenir en arrière... | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 10 Aoû 2007 - 20:54 | |
| mmmh une image me revient (en boucle) en vous lisant, vue dans le film l'autre soir, celle de l'homme qui pleure (et qui bave un peu) en tête à tête de profil avec une des deux femmes (je ne sais plus laquelle )... je me dis que sans doute c'est à des images comme celle là que vous faites référence ? il y a des lamentations et des souffrances souvent exposées mais ce genre d'épisode "à nu" se cache généralement, c'est vrai que ça met mal à l'aise un peu... c'est "beau" en même temps, c'est du cinéma mais c'est l'image de quelque chose de "pur" au sens où les artifices n'y sont pas (ou très peu associés)... ça ne me choque pas je crois, c'est compliqué quand même... le rapport entre le cinéma en terme de reconstitution et la chose montrée, l'idée d'utiliser l'un pour montrer l'autre... c'est mélangé. La façon de montrer est importante, essentielle pour savoir, percevoir si on doit se laisser aller ou se refermer. c'est une image que je garde. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Sam 11 Aoû 2007 - 1:42 | |
| - animal a écrit:
- mmmh une image me revient (en boucle) en vous lisant, vue dans le film l'autre soir, celle de l'homme qui pleure (et qui bave un peu) en tête à tête de profil avec une des deux femmes (je ne sais plus laquelle )... je me dis que sans doute c'est à des images comme celle là que vous faites référence ?
C'est l'image de Henrick, le père de Karin, face à sa fille et au désir de cette dernière ne plus envisager sa carrière musicale seulement auprès de lui... C'est une scène déchirante...et tellement humaine...La souffrance de cet homme! Le déchirement de cette jeune fille! A moi aussi, elle me fait mal mais trouver cette justesse-là des rapports humains et le donner à voir à l'image, c'est exceptionnel! Peu de réalisateurs seront arrivés aussi loin...Pour moi, c'est du grand Art! Je comprends que ce puisse être difficilement supportable à certains spectateurs...Je comprends qu'on puisse ne pas avoir de goût pour ce cinéma-là. C'est violent, encore une fois ça me fait mal aussi...Mais je réfute l'argument que Bergman fasse un cinéma sur Bergman et pour Bergman... Pour moi Bergman a traité avec un talent incomparable toutes les facettes de l'âme humaine. Et non seulement avec l'image, mais aussi avec les dialogues... Combien de films ont des dialogues aussi aboutis, aussi fouillés, que ceux des films de Bergman? Ceci dit, je trouve bien que nous puissions avoir ici cette discussion qui est assez révélatrice de ce qui se dit généralement autour de l'oeuvre de ce réalisateur. | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Sam 11 Aoû 2007 - 3:35 | |
| Littérature et cinéma Extrait d'un autre de mes petits guides Gallimard ( des mines, et en plus plein d'images!!) Ingmar Bergman, le magicien du nord.
En fait extrait d'un entretien avec Les Cahiers du Cinéma qui date de 1959.
..A cet égard, je voudrais signaler un autre aspect, souvent méconnu, de ce genre de travail. le film n'a rien à voir avec la littérature. Le film et l'oeuvre littéraire sont deux formes artistiques dont le caractère et la substance s'excluent mutuellement...La compréhension de l'oeuvre écrite suppose un acte de volonté consciente en même temps que l'intelligence; c'est ensuite seulement et peu à peu que notre imagination et nos sentiments s'éveillent. Au cinéma,le processus est inverse. Quand nous allons voir un film, nous nous installons délibérément dans un monde d'illusion, nous " débranchons" notre volonté et notre intellect. Nous ouvrons toutes larges les avenues de notre imagination... En ce qui me concerne, je n'ai jamais songé à devenir écrivain.Je ne peux écrire de romans,de nouvelles,d' essais, de biographies ni même de pièces de théâtre. Mon plaisir est de faire des films avec les états d'âme, les émotions, les images, les rythmes et les caractères que je porte en moi et qui, d'une manière ou d'une autre, me paraissent présenter de l'intérêt. Je suis un "faiseur de films", non un acteur, mon moyen d'expression est le film, non la parole écrite... | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Sam 11 Aoû 2007 - 11:27 | |
| - Marie a écrit:
- En fait extrait d'un entretien avec Les Cahiers du Cinéma qui date de 1959.
.."En ce qui me concerne, je n'ai jamais songé à devenir écrivain.Je ne peux écrire de romans,de nouvelles,d' essais, de biographies ni même de pièces de théâtre. Mon plaisir est de faire des films avec les états d'âme, les émotions, les images, les rythmes et les caractères que je porte en moi et qui, d'une manière ou d'une autre, me paraissent présenter de l'intérêt. Je suis un "faiseur de films", non un acteur, mon moyen d'expression est le film, non la parole écrite..." Réalisateur et metteur en scène de théâtre... non écrivain... Je ne sais pas qui écrivait les dialogues de ses films, mais lui savait y donner la part belle aux mots... | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Sam 11 Aoû 2007 - 12:12 | |
| Hommage à Bergman de quatre réalisateurs: (Télérama)
cliquez ici
Olivier Assayas "
«ce que je savais, de façon inarticulée et épidermique, était combien il parlait le langage de mon inconscient, pour ce que j'en saisissais. C'était la reconnaissance, l'identification de quelque chose de moi-même à travers le miroir d'une oeuvre. Mais à quoi d'autre servirait l'art ?
La grandeur de Bergman est tout entière dans sa compréhension vertigineuse de l'humain. Rien d'autre n'importe, parfois le style lui-même peut être superflu comme il le prouve avec cette admirable désinvolture qui peut être la forme la plus haute de l'art dans Scènes de la vie conjugale, sans doute son plus beau texte, et qu'il se contente de jeter sans apprêt, sans emballage, sans rien, avec cette violence crue et souveraine qui est sa signature.
Pour avancer, pour vivre, pour croire en ce qu'on fait, dans les doutes, dans la confusion, dans le découragement ou dans la clarté - elle est là aussi, parfois, heureusement -, il faut une conviction à laquelle se tenir, ou plutôt une idée, une image, où tout cohabiterait, le haut et le bas, la chair et l'esprit, la vie et la mort, les certitudes et les ténèbres : une seule oeuvre me l'a donnée, celle de Bergman. »
Patrice Chéreau
« Un film de Bergman n'a jamais cessé de m'obséder : Le Silence. Parce que, au-delà de l'éblouissement formel, de la construction des plans, de la lumière, il y a quelque chose qui résiste, que je comprends mal et donc qui me fascine. Ma fascination tient aussi, évidemment, aux deux actrices. A ces visages. Bergman sait tout du théâtre, et donc sait tout de l'acteur. Il a fait les plus beaux gros plans du monde, parce qu'il sait tout du visage de l'acteur. Ce qu'on y perçoit de vérité révélée est un état qui, pour qu'on l'atteigne, suppose un accord profond entre l'actrice et le cinéaste."
Arnaud Desplechin
«Chez lui, un personnage qui parle face à la caméra, cela devient une pure scène d'action.
Il met au point ce fameux « kammerspiel » [le théâtre filmé], qu'il pratiquera dans les années 70.
Pour prendre la mesure de Bergman, il faut penser que des cinéastes aussi singuliers que Godard, Truffaut ou Allen en sont profondément imprégnés... Bergman, comme un caillou dans l'eau, propage ses ondes à l'infini dans l'histoire du cinéma. »
Sélection de 7 films:
cliquez ici
Dernière édition par le Sam 11 Aoû 2007 - 16:58, édité 1 fois | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Sam 11 Aoû 2007 - 12:17 | |
| Pour écouter Dominique Blanc lire des extraits de Laterna Magica : cliquer ici | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Jeu 3 Jan 2008 - 18:08 | |
| Sarabande
J'ai toujours beaucoup de mal à me décider de visionner un film de Bergman. Je sais que je vais vivre une heure ou deux très éprouvantes et je me dis à chaque fois que je dois être un peu cinglée de m'infliger une telle souffrance. On sait que Bergman a souffert de grandir dans une famille rigoriste et très croyante mais j'ai toujours l'impression de faire pénitence en regardant ses films, un peu comme si j'allais subir une séance de flagellation consentante.
Visionner un film de Bergman, c'est me retrouver plongée dans une eau noire, me noyer jusqu'aux profondeurs pour taper de temps de temps du pied afin de retrouver la surface et de reprendre un peu de respiration pour me laisser à nouveau emporter par les fonds.
J'ai eu ces impressions avec Cris et Chuchotements, Sonate d'automne. Sarabande n'a pas fait exception à la règle.
Comme souvent, je me retrouve un peu comme dans une pièce de théâtre filmée, avec de gros plans sur le visage des acteurs, visages qui trahissent toutes une gamme d'émotions.
Le contenu est dense, il est question de vieillesse, mort, famille, difficultés relationnelles – les rapports père et fils, mari et femme, belle-fille et beau-père, ex-femme et ex-mari, il est question de bilan, d'inceste, de chantages affectifs, d'humiliations, de culpabilité, de suicide, d'amour et haine et surtout de rupture et de perte, perte de l'innocence, perte d'un être cher, perte de ses illusions.
J'imagine toujours chaque personnage déambulant péniblement en portant sur le dos un énorme baluchon contenant tous les petites et grandes souffrances, rancoeurs, bassesses, hontes, vexations… Le baluchon ne se vidant jamais, la déambulation se fait forcément de plus en plus difficilement, on s'enlise, on n'avance plus, on doit s'arrêter et peut-être même revenir sur ses pas et défaire le cordon du bagage pour se confronter à ses démons et l'alléger un peu mais la démarche est difficile et la tentation est grande de vite refermer le tout et de reprendre son chemin de croix.
Deux scènes m'ont particulièrement touchée dans Sarabande : la mise à nu des deux protagonistes au crépuscule de leur vie (la beauté de ces corps vieux, corps qu'on ne voit jamais au cinéma qui est souvent une apologie de la jeunesse et de la beauté) et la dernière scène où Marianne, joué par Liv Ullmann, vient rendre visite à sa fille dans une sorte d'hôpital de santé ou psychiatrique. Le visage figé de sa fille qui l'espace de quelques secondes s'illumine de vie lorsqu'elle ouvre les yeux pour replonger peu après dans sa léthargie habituelle est très émouvant.
Voilà pourquoi je ne peux pas dire que j'aime Bergman. C'est trop douloureux que pour aimer visionner ses films mais ils me touchent, forcément et inéluctablement.
Liv Ullmann est lumineuse, comme toujours.
Je remercie Marie pour le cerclage de ce film. |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Jeu 3 Jan 2008 - 21:42 | |
| - sentinelle a écrit:
- Sarabande
Comme souvent, je me retrouve un peu comme dans une pièce de théâtre filmée, avec de gros plans sur le visage des acteurs, visages qui trahissent toutes une gamme d'émotions.
Le contenu est dense, il est question de vieillesse, mort, famille, difficultés relationnelles – les rapports père et fils, mari et femme, belle-fille et beau-père, ex-femme et ex-mari, il est question de bilan, d'inceste, de chantages affectifs, d'humiliations, de culpabilité, de suicide, d'amour et haine et surtout de rupture et de perte, perte de l'innocence, perte d'un être cher, perte de ses illusions.
Bergman fut tout autant metteur en scène que réalisateur...Il est évident que cela se voit dans ses films. Et peut-être est-ce pour cette raison que je les aime. Je suis tellement fascinée toujours par le travail de ses acteurs (actrices surtout). Quant à l'univers, il est assez proche de celui que j'apprécie au théâtre, celui sur lequel j'ai travaillé (très éloigné de la comédie de boulevard): l'intime , les sentiments, les émotions, que les mots dévoilent au plus juste. Les dialogues dans ses films sont exceptionnels. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 14:06 | |
| - coline a écrit:
- Oui, cela fait mal...mais c'est criant de vérité...
Est-ce "obscène"?...Je ne donnerais pas ce qualificatif à l'oeuvre de Bergman. Moi non plus. J'aime beaucoup ce qu'en dit Jeanne Moreau : Bergman n'est pas obscène, il est indécent. - coline a écrit:
- Bergman fut tout autant metteur en scène que réalisateur...Il est évident que cela se voit dans ses films. Et peut-être est-ce pour cette raison que je les aime. Je suis tellement fascinée toujours par le travail de ses acteurs (actrices surtout).
Dans le Making off du film, Bergman nous dit qu'il savait que Sarabande serait sa dernière création et qu'il n'en ferait pas d'autres, qu'il avait prévenu les acteurs qu'il serait très exigeant envers eux comme il le serait envers lui-même et que cette dernière aventure serait très éprouvante pour tout le monde. : il mettrait toute autre considération de côté et ne serait loyal qu'envers son œuvre. Je reviens à Jeanne Moreau lorsqu'elle nous dit que pour être bergmanienne, il faut accepter de se laisser guider tel un spéléologue pour aller dans les grandes profondeurs. Je trouvais la métaphore très juste. |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 18:59 | |
| Je suis resté longtemps émerveillé par le souvenir de films comme Le 7e sceau ou Les fraises sauvages. Un peu moins par d'autres... Mais je me suis vraiment faché avec Bergman après avoir vu Sonate d'automne. Je me disais qu'il allait trop loin avec ses actrices (Ingrid Bergman était alors gravement malade). Que c'était un démiurge pervers, et dans la vie, un Don Juan capricieux et tyrannique, meme si ses actrices -et souvent ex épouses- ne se plaignaient jamais de lui (je crois bien que j'étais jaloux de lui !)... Et puis il y a eu ce film qu'il a tourné pour la télévision après un très long silence (2OO3-2OO4 ?) et qui m'a rappelé quel metteur en scène immense et fascinant il était... Entre temps, j'avais lu Laterna Magica et j'avais été retourné en sa faveur et de la meilleure façon. Non seulement l'image négative et réductrice que j'avais eu de lui s'effaçait, mais je réalisais aussi que Bergman était aussi un grand écrivain. Plus humain, plus proche, plus émouvant parfois aussi que dans ses films. En lisant ce livre je me suis dit curieusement que ce type était immortel. Tout simplement il ne pouvait pas mourir... Et pourtant, ce grand séducteur, était tombé amoureux fou de sa dernière épouse, et il écrivait avec angoisse dans Lanterna magica, que la mort de l'un deux serait tragique pour l'autre. Or, elle mourut en 1995, et Bergman déclara alors qu'il n'aspirait plus qu'à mourir à son tour... | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 20:08 | |
| - coline a écrit:
- Bergman fut tout autant metteur en scène que réalisateur...Il est évident que cela se voit dans ses films. Et peut-être est-ce pour cette raison que je les aime. Je suis tellement fascinée toujours par le travail de ses acteurs (actrices surtout).
Quant à l'univers, il est assez proche de celui que j'apprécie au théâtre, celui sur lequel j'ai travaillé (très éloigné de la comédie de boulevard): l'intime , les sentiments, les émotions, que les mots dévoilent au plus juste. Les dialogues dans ses films sont exceptionnels. Avec le recul, j'ai l'impression que j'aimerais beaucoup revenir sur Bergman, non à travers les scenarii écrits de ses films, mais par le biais de véritables pièces de théâtre (en a-t-il écrites?). Car en effet, tout se joue dans l'échange (dialogues, paroles, silences). | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 21:16 | |
| Sur wikipedia, on peut lire à propos du 7° Sceau : - Citation :
- Le film, plus grave, est adapté de l’une de ses propres pièces en un seul acte (Peinture sur bois)
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| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 21:31 | |
| - eXPie a écrit:
- Sur wikipedia, on peut lire à propos du 7° Sceau :
- Citation :
- Le film, plus grave, est adapté de l’une de ses propres pièces en un seul acte (Peinture sur bois)
Je vais voir ça. J'aimerais bien me replonger dans son univers mais en lecture. Finalement, il me semble que Bergman est un cinéaste à lire... | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ingmar Bergman Ven 4 Jan 2008 - 21:57 | |
| Ca tombe bien, il y a plusieurs de ses textes qui sont disponibles en poche.
Et puis, il y a son "fameux" livre Laterna Magica, sorte de mémoires (en poche, également). | |
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| Sujet: Re: Ingmar Bergman | |
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