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| Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée | |
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+7FrançoisG krys domreader animal eXPie Chatperlipopette Arabella 11 participants | |
Auteur | Message |
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animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Lun 23 Nov 2009 - 23:46 | |
| j'en suis au départ du Félix. Sa Madame de Mortsauf en rajoute l'air de rien dans son rôle de mère bis, et comme elle voit un peu plus loin que lui, ça a un côté bizarre...
mystère ! | |
| | | krys Sage de la littérature
Messages : 2093 Inscription le : 06/09/2009 Age : 65 Localisation : sud ouest
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 13:49 | |
| oui, elle dit qu'elle a comme une vision le concernant.
ExPie j'ai la même édition que toi ! | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 16:40 | |
| la lettre de la madame pour lui expliquer la vie en société ça refroidit pas mal le tableau trouve-je. Mais je n'ai pas tout lu... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 20:10 | |
| Je suis à la bourre les amis. Si vous me dispensez de corrections et de conseils de classe tous les soirs ça ira mieux. |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 20:10 | |
| Les vendanges arrivent avec leurs plaisirs, les enfants même y semblent en meilleure santé. Félix est initié à la façon dont la comtesse gère les terres de la famille, malgré la mauvaise volonté du comte. Avec la prospérité, des jours plus heureux semblent venir, mais le comte est toujours malade et une crise peut surgir à tout instant. Dans une de celle-ci, le comte révèle à Félix que sa femme se refuse à lui, et qu’il souffre de cet état des choses. Mais les meilleures choses ont une fin, Félix doit partir. Henriette lui écrit une lettre avec ses recommandations pour orienter sa vie : - Citation :
- " Quel bonheur, mon ami, d'avoir à rassembler les éléments épars de mon expérience pour vous la transmettre et vous en armer contre les dangers du monde à travers lequel vous devrez vous conduire habilement ! J'ai ressenti les plaisirs permis de l'affection maternelle, en m'occupant de vous durant quelques nuits. Pendant que j'écrivais ceci, phrase à phrase, en me transportant par avance dans la vie que vous mènerez, j'allais parfois à ma fenêtre. En voyant de là les tours de Frapesle éclairées par la lune, souvent je me disais : " Il dort, et je veille pour lui !
Félix retrouve son frère à Paris, le retour de Napoléon chasse à nouveau les Bourbons, Félix les suit. Il est envoyé en mission secrète en France, et peut ainsi revenir en cachette à Clochegourde. Après le retour de Louis XVIII Félix occupe un poste éminent, dont il se sent redevable aux sages conseils d’Henriette. Il est donc fier de profiter d’un congé pour se montrer aux Mortsauf dans ses atours de la cour. Il constate que l’état mental du comte se dégrade : - Citation :
- Mes tristes conjectures étaient vraies. Les doux paysages, la tiède atmosphère, le beau ciel, l'enivrante poésie de cette vallée qui, pendant quinze ans, avait calmé les lancinantes fantaisies de ce malade, étaient impuissants aujourd'hui. A l'époque de la vie où chez les autres hommes les aspérités se fondent et les angles s'émoussent, le caractère du vieux gentilhomme était encore devenu plus agressif que par le passé. Depuis quelques mois, il contredisait pour contredire, sans raison, sans justifier ses opinions ; il demandait le pourquoi de toute chose, s'inquiétait d'un retard ou d'une commission, se mêlait à tout propos des affaires intérieures, et se faisait rendre compte des moindres minuties du ménage de manière à fatiguer sa femme ou ses gens, en ne leur laissant point leur libre arbitre. Jadis il ne s'irritait jamais sans quelque motif spécieux, maintenant son irritation était constante. Peut-être les soins de sa fortune, les spéculations de l'agriculture, une vie de mouvement avaient-ils jusqu'alors détourné son humeur atrabilaire en donnant une pâture à ses inquiétudes, en employant l'activité de son esprit ; et peut-être aujourd'hui le manque d'occupations mettait-il sa maladie aux prises avec elle-même ; ne s'exerçant plus au dehors, elle se produisait par des idées fixes, le moi moral s'était emparé du moi physique. Il était devenu son propre médecin ; il compulsait des livres de médecine, croyait avoir les maladies dont il lisait les descriptions et prenait alors pour sa santé des précautions inouïes, variables, impossibles à prévoir, partant impossibles à contenter. Tantôt il ne voulait pas de bruit, et quand la comtesse établissait autour de lui un silence absolu, tout à coup il se plaignait d'être comme dans une tombe, il disait qu'il y avait un milieu entre ne pas faire du bruit et le néant de la Trappe. Tantôt il affectait une parfaite indifférence des choses terrestres, la maison entière respirait ; ses enfants jouaient, les travaux ménagers s'accomplissaient sans aucune critique ; soudain au milieu du bruit, il s'écriait lamentablement : - " On veut me tuer ! " - Ma chère, s'il s'agissait de vos enfants, vous sauriez bien deviner ce qui les gêne, disait-il à sa femme en aggravant l'injustice de ces paroles par le ton aigre et froid dont il les accompagnait. Il se vêtait et se dévêtait à tout moment, en étudiant les plus légères variations de l'atmosphère, et ne faisait rien sans consulter le baromètre. Malgré les maternelles attentions de sa femme, il ne trouvait aucune nourriture à son goût, car il prétendait avoir un estomac délabré dont les douloureuses digestions lui causaient des insomnies continuelles ; et néanmoins il mangeait, buvait, digérait, dormait avec une perfection que le plus savant médecin aurait admirée. Ses volontés changeantes lassaient les gens de sa maison, qui, routiniers comme le sont tous les domestiques, étaient incapables de se conformer aux exigences de systèmes incessamment contraires. Le comte ordonnait-il de tenir les fenêtres ouvertes sous prétexte que le grand air était désormais nécessaire à sa santé ; quelques jours après, le grand air, ou trop humide ou trop chaud, devenait intolérable ; il grondait alors, il entamait une querelle, et, pour avoir raison, il niait souvent sa consigne antérieure. Ce défaut de mémoire ou cette mauvaise foi lui donnait gain de cause dans toutes les discussions où sa femme essayait de l'opposer à lui-même. L'habitation de Clochegourde était devenue si insupportable que l'abbé de Dominis, homme profondément instruit, avait pris le parti de chercher la résolution de quelques problèmes, et se retranchait dans une distraction affectée. La comtesse n'espérait plus, comme par le passé, pouvoir enfermer dans le cercle de la famille les accès de ces folles colères ; déjà les gens de la maison avaient été témoins de scènes où l'exaspération sans motif de ce vieillard prématuré passa les bornes ; ils étaient si dévoués à la comtesse qu'il n'en transpirait rien au dehors, mais elle redoutait chaque jour un éclat public de ce délire que le respect humain ne contenait plus.
Félix retourne à Paris. L’histoire de ses amours platoniques avec Henriette devient connue dans les salons, et lui attire de l’intérêt chez certaines femmes, dont la redoutable lady Dudley, qui se donne comme objectif de prendre Félix à Henriette. - Citation :
- Quoique gardé par ma passion, je n'étais pas à l'âge où l'on reste insensible aux triples séductions de l'orgueil, du dévouement et de la beauté. Quand lady Arabelle mettait à mes pieds, au milieu d'un bal dont elle était la reine, les hommages qu'elle y recueillait, et qu'elle épiait mon regard pour savoir si sa toilette était de mon goût, et qu'elle frissonnait de volupté lorsqu'elle me plaisait, j'étais ému de son émotion. Elle se tenait d'ailleurs sur un terrain où je ne pouvais pas la fuir, il m'était difficile de refuser certaines invitations parties du cercle diplomatique ; sa qualité lui ouvrait tous les salons, et avec cette adresse que les femmes déploient pour obtenir ce qui leur plaît, elle se faisait placer à table par la maîtresse de la maison auprès de moi ; puis elle me parlait à l'oreille. - " Si j'étais aimée comme l'est madame de Mortsauf, me disait-elle, je vous sacrifierais tout. " Elle me soumettait en riant les conditions les plus humbles, elle me promettait une discrétion à toute épreuve, ou me demandait de souffrir seulement qu'elle m'aimât. Elle me disait un jour ces mots qui satisfaisaient toutes les capitulations d'une conscience timorée et les effrénés désirs du jeune homme : " - Votre amie toujours, et votre maîtresse quand vous le voudrez ! " Enfin elle médita de faire servir à ma perte la loyauté même de mon caractère, elle gagna mon valet de chambre, et après une soirée où elle s'était montrée si belle qu'elle était sûre d'avoir excité mes désirs, je la trouvai chez moi. Cet éclat retentit dans l'Angleterre, et son aristocratie se consterna comme le ciel à la chute de son plus bel ange. Lady Dudley quitta son nuage dans l'empyrée britannique, se réduisit à sa fortune, et voulut éclipser par ses sacrifices celle dont la vertu causa ce célèbre désastre. Lady Arabelle prit plaisir, comme le démon sur le faîte du temple, à me montrer les plus riches pays de son ardent royaume.
Félix succombe donc, les deux femmes représentent à elles deux la femme idéale : - Citation :
- Eh ! bien, lady Arabelle contente les instincts, les organes, les appétits, les vices et les vertus de la matière subtile dont nous sommes faits ; elle était la maîtresse du corps. Madame de Mortsauf était l'épouse de l'âme.
Félix s’abandonne aux joies de la chair dans les bras d’Arabelle, tout en continuant de rêver à Henriette. Mais les lettres de Clochegourde s’arrêtent, Félix a peur d’avoir été découvert. Il fait donc le voyage, mais Arabelle vient aussi dans les environs de Tours en même temps. Henriette se montre très froide, elle est au courant de l’aventure de Félix et lui en veut, tout en se demandant si ce n’est pas lady Dudley qui a fait le bon choix. Elle semble avoir par ailleurs de gros problèmes de santé. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 20:11 | |
| - Nezumi a écrit:
- Je suis à la bourre les amis. Si vous me dispensez de corrections et de conseils de classe tous les soirs ça ira mieux.
Nous on peut te dispenser de tout ce que tu veux, mais je ne suis pas sûre que cela suffise. Je m'arrête pour ce soir, pour que tu puisses rattrapper | |
| | | Invité Invité
| | | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:04 | |
| J'en suis au retour de Félix, mandaté par le Roi, en France.
A la poësie des bouquets de fleurs offerts à la Comtesse, qui disent en silence les émois de Félix répond, de son aveu, le jeu de la tapisserie.
La terrible attaque du Comte avec la Comtesse à laquelle Félix assiste confirme la cruauté, l'hypocrisie, la lâcheté et la folie du Comte et dévoile en partie l'intimité du couple.
"Cette femme reprit-il en faisant la réponse à sa demande, elle me sèvre de tout bonheur, elle est autant à moi quà vous, et prétend être ma femme ! Elle porte mon nom et ne remplit aucun des devoirs que les lois divines et humaines lui imposent, elle ment ainsi aux hommes et à Dieu. Elle m'excède de courses et me lasse pour que je la laisse seule ; je lui déplais, elle me hait et met tout son art à rester jeune fille ; elle me rend fou par les privations qu'elle me cause, car tout se porte alors à ma pauvre tête ; elle me tue à petit feu, et se croit une sainte, ça communie tous les mois."
Félix soutient la Comtesse alors qu'elle s'écroule ; il ose plus tard la défendre auprès du Comte :
"Au nom du ciel, monsieur le Comte, laissez-lui diriger votre maison, si cela peut lui plaire, et ne la tourmentez plus."
L'emploi du pronom "on" pour nommer son mari par la Comtesse met en évidence ce qu'il est pour elle, l'homme, le maître, qu'elle ne supporte que pour préserver ses enfants et par sa vertu.
Félix reçoit la lettre qu'Henriette lui adresse comme celle d'une mère attentive, mais la fin est tout de même de nature à rassurer le coeur du jeune homme.
"Cette secrète coopération est le seul plaisir que je puisse me permettre. J'attendrai. Je ne vous dis pas adieu. Nous sommes séparés. vous ne pouvez avoir ma main sous vos lèvres, mais vous devez bien avoir entrevu quelle place vous occupez dans le coeur de Votre Henriette".
A son retour Félix - en mission - découvre une Henriette pâle, amaigrie meurtrie par la maladie de son fils et les aigreurs, les accusations du Comte. Sa présence va raviver Henriette et la rendre heureuse pour quelque temps.
Je continue un peu la lecture ce soir mais demain en principe je ne pourrais lire dans la journée.
à plus tard. | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:08 | |
| C'est vraiment génial de pouvoir lire les extraits que vous mettez ici, je me régale et je me demande maintenant pourquoi ce livre m'avait moyennement plu. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:26 | |
| - Epi a écrit:
- C'est vraiment génial de pouvoir lire les extraits que vous mettez ici, je me régale et je me demande maintenant pourquoi ce livre m'avait moyennement plu.
C'est que les extraits sont soigneusement choisis pour vous donner des regrets | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:36 | |
| - Epi a écrit:
- C'est vraiment génial de pouvoir lire les extraits que vous mettez ici, je me régale et je me demande maintenant pourquoi ce livre m'avait moyennement plu.
Parfois, la somme des morceaux est supérieure au tout. Ou bien encore, les Parfumés ont choisi les meilleurs passages. Je suis moins charitable, j'ai tendance à citer des trucs comme : - Citation :
- "Ses cheveux fins et cendrés la faisaient souvent souffrir, et ces souffrances étaient sans doute causées par de subites réactions du sang vers la tête."
ce qui m'avait fait beaucoup rire. Animal, le passage dont tu parles ("la lettre de la madame") est un des (rares) passages que j'ai vraiment appréciés. | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:41 | |
| C'est comme les BA des films nazes en fait, c'est de la triche ça
Dernière édition par Epi le Mar 24 Nov 2009 - 22:14, édité 1 fois | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mar 24 Nov 2009 - 21:47 | |
| mouarf, il y a un effet d'ensemble qui berce dans ce texte, qui berce sans endormir, évidemment les petites tournures de cheveux cendrés ça peut amuser puis agacer comme une surdose de dorures... mais ne boudons pas notre plaisir cette lettre c'est à la fois pragmatique, actuel et un véritable engagement raisonné, ce qui tranche beaucoup avec le côté passionné un peu barré du Félix, ça implique, malgré l'argument chevaleresque, de façon significative un jeu d'apparences et de calcul. A la suite on retombe (surtout avec les réalisation, la carrière de Félix) dans du connu mais avec un rapport de force (on a le droit de dire ça dans ce contexte ?) plus en faveur du zozo. ça fait tout un jeu autour de la limité de cette relation, suspens ! Je dirai pas forcément si caricatural que ça... d'autant moins casse gueule que le point d'entrée pour le lecteur est réduit. je kiffe | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mer 25 Nov 2009 - 10:38 | |
| la Comtesse, dit connaître le monde au travers de ce que lui ont conté sa tante aimée et le Comte dans son émigration, on peut le croire étant donné la vie éloignée de la société - de la cour notamment - qui est la sienne. Et malgré celà sa lettre est un document d'information et d'initiation assez complet et précis (je ne sais si vous comprenez ma pensée).
J'ai hâte d'être à ce soir pour pouvoir continuer ma lecture.
J'aime beaucoup aussi la contemplation de la Nature et la communion des âmes avec. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée Mer 25 Nov 2009 - 21:53 | |
| Le retour à Clochegourde avec la lady pas loin, c'est intéressant, avec une forme de doute et un choix, presque alibi de la religion impressionnant. Je crois qu'un des bons points de l'ouvrage c'est d'en expliquer long sans forcer de jugement (au moins pour l'instant), garder le point de vue de Félix le permet sans doute, et ce n'est pas moche.
Étrange sentiment d'une grande uniformité à cette lecture, sans lassitude cependant.
me suis arrêté juste avant ce qui devrait être la rencontre des deux femmes, huhu.
Surprise aussi avec les descriptions des anglaises et anglais... re-huhu... | |
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| Sujet: Re: Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée | |
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| | | | Lecture en commun - Balzac : Le lys dans la vallée | |
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