Que lisez vous en septembre?

La mise à nu des époux Ransome, de Alan Bennett.
Je suis horrible, je me le suis acheté à moi plutôt qu'en faire cadeau à ma môman.

odrey a écrit:

Maline a écrit:

darkanny a écrit:

odrey a écrit:

aériale a écrit:

darkanny a écrit:

Mon "Netherland " de Joseph o'Neill me tombe des mains , je suis déçue car j'en attendais beaucoup

Entendu la même réflexion, parait il que le début est très prometteur et puis plouf...ça retombe comme un soufflé. Alors je l'a zappé celui-ci...A tort?

Re-ha mince.

oulà , même le début , avec ses explications sur le cricket qui n'en finissent pas , faut s'accrocher .

J'ai été fasciné par cette histoire d'un expat à New York, une bonne représentation de l'atmosphère de la grande pomme après 9/11 et tout ce que j'ai appris sur le cricket grâce à Joseph O'Neill, mais je connais aussi pas mal de lecteurs de " Netherland " qui ont été terriblement déçus.

Bon, je vais attendre un peu avant de le lire. je viens de me rendre compte qu'en fait c'est Neverwhere de Neil Gaiman que je voulais acheter. Ne me demandez pas comment j'ai pu les confondre (j'étais étonnée aussi qu"il soit pas dans le rayon SF).

Ahahahahahahaah !

Nezumi a écrit:

La mise à nu des époux Ransome, de Alan Bennett.
Je suis horrible, je me le suis acheté à moi plutôt qu'en faire cadeau à ma môman.

ah mais non.. tu vas adorer et en faire cadeau par après à ta mère

J'ai repris à peu près sérieusement la lecture de Winesburg Ohio de Sherwood Anderson. On peut dire que je l'aurais fait durer celui là. Attaqué il y a au moins 3 mois, reposé, repris, reposé. Pourtant il est loin d'être inintéressant. Mais il s'est fait doublé par d'autres bouquins.

Queenie a écrit:

colimasson a écrit:

Marko a écrit:

Moins que Zéro de Bret Easton Ellis

C'est la suite d'un autre roman de Bret Easton Ellis à ce qu'il paraît ? Il faut avoir lu le début pour mieux profiter de Moins que zéro ?

Non, c'est Suite(s) Impériale(s) qui est la suite de Moins que zéro.

Hum... Je m'y perds un peu il faut croire...

Apus a écrit:

pierre de jade a écrit:

je vient de commencer swing de Jean-Yves Chaperon, je traine toujours a lire un livre après en avoir finis un autres, j'en suis a la page 30 depuis 4/5 jours, le temps m'attacher au personnage

Il faut toujours un peu de temps pour entrer dans un nouveau livre. Ca me paraît normal.
Je suis comme toi : au début, je ne lis pas très vite, pose le bouquin plus fréquemment, m'y replonge moins facilement. Et au fil des pages, le rythme s'accélère.

Comme en voiture : on démarre, première, seconde (un coup d'oeil dans le retro), troisième... puis atteinte de la vitesse de croisière au bout de quelques kilomètres.

Je suis d'accord et pour moi aussi, le pire moment, dans la lecture, c'est le début. Se détacher du style du précédent auteur, des personnages et des impressions laissées par l'histoire est très difficile. Le cap des 30 pages est un cap très difficile à surmonter.

Moi c'est l'inverse, souvent je démarre vite, je me laisse embarquer, et petit à petit je me mets à repérer les insuffisances du livre, et j'ai de plus en plus de mal à continuer. Sauf évidemment pour les livres qui arrivent à me convaincre totalement du début jusqu'à la fin. Mais ce ne sont pas les plus nombreux

L'incendie de Los Angeles de Nathanaël West

darkanny a écrit:

L'incendie de Los Angeles de Nathanaël West

Je serais curieux d'avoir ton avis sur cet écrivain. Apparemment il est considéré comme un écrivain majeur du 20ème siècle en Californie, mais je ne sais à peu près rien sur lui.

Hank a écrit:

darkanny a écrit:

L'incendie de Los Angeles de Nathanaël West

Je serais curieux d'avoir ton avis sur cet écrivain. Apparemment il est considéré comme un écrivain majeur du 20ème siècle en Californie, mais je ne sais à peu près rien sur lui.

ah mais c'est fabuleux ce qu'il a écrit, tu trouves son fil ici

Hank a écrit:

darkanny a écrit:

L'incendie de Los Angeles de Nathanaël West

Je serais curieux d'avoir ton avis sur cet écrivain. Apparemment il est considéré comme un écrivain majeur du 20ème siècle en Californie, mais je ne sais à peu près rien sur lui.

Pour l'instant je peux te dire que ça commence très , très bien .

Oui, le fil existe, et il y a plein de commentaires déjà

Et je savais que cela plairait forcement à Darkanny.

Je vais commencer L'insomnie des étoiles de Marc Dugain...Premier livre que je lis de cet auteur...

coline a écrit:

Je vais commencer L'insomnie des étoiles de Marc Dugain...Premier livre que je lis de cet auteur...

Que j'avais aussi prévu de commencer ce soir. Mais ma voisine, bibliothécaire, l'a oublié. Alors, j'attaque Un autre amour de Kate O'Riordan.

Je termine Moins que Zéro et je vais lire un essai sur le cinéma:

Citation :

La magie, c'est les tours de passe-passe des champs de foire et les numéros de music-hall, mais d'abord c'est la " pensée magique ". Venue de loin et secrète, elle reste parmi nous comme une " science " des mystères : le désir y est plus fort que les contraintes du réel. Or le cinéma a été et reste proche de la magie sur ces deux registres, et il en tire une grande partie de sa puissance et de son " évidence " culturelles. Ce livre propose une exploration magistrale de ces profondeurs méconnues. Bien au-delà des liens qui unissent avec Méliès le septième art naissant et la prestidigitation, la magie, entre effets spéciaux et création de personnages (vampires, femmes panthères...), ne cesse d'occuper cette toile où viennent nous piéger, pour notre plus grand délice, ces modes de pensée dits " archaïques " auxquels nous sommes supposés avoir renoncé. Cette empreinte du magique qui colore passé et présent du cinéma, d'Epstein, Murnau, Dreyer, Welles et Cocteau à Resnais, Oshii, Lynch, Chabrol, Van Sant, ou Weerasethakul, en oriente aussi l'avenir, avec toutes les ressources offertes par les évolutions technologiques.

Odrey, si tu veux dis-moi quand tu commences le Seigneur des porcheries, je le lirais volontiers en même temps que toi.

et sinon j'entame Un si tendre vampire de Linda Lê (son premier roman..., je n'avais pas trop accroché avec Les Aubes, on verra bien).