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| Stefan Zweig [Autriche] | |
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Auteur | Message |
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tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Trois Maîtres : Balzac, Dickens, Dostoievski Mar 20 Juil 2010 - 7:26 | |
| Trois Maîtres : Balzac, Dickens, Dostoievski
Original: Drei Meister. Balzac, Dickens, Dostojewski (allemand, paru en complet en 1920) séparé le Balzac 1908, le Dickens 1910 et le Dostoievski en travail sur plusieurs années (sept?!) jusqu’à une première parution en 1919
En ces trois romanciers du XIXème siècle Zweig voyait un peu des génies encyclopédiques, le summum des possibilités, en ce qui concerne le premier pour aller le plus loin dans une analyse d’une société, le deuxième dans les rapports familiaux, et le troisième, visiblement choyé par Zweig, comme celui qui a le plus exploré le lien entre l’individu et les questions existentiels.
Les deux premiers „maîtres“ trouvent des essais plus courts que je n’ai pas lu pour l’instant, étant concentré sur Dostoievski.
Il ne s’agit PAS de biographies qui ne néccisitent pas un certain savoir de l’oeuvre littéraire de ces auteurs. Au contraire: même s’il présente certaines lignes fondamentales de la vie de Dosto, les références fusent, et on comprend aisement que Zweig a du travailler l’oeuvre de Dostoievski du début jusqu’à la fin, inclus le Journal de l’écrivain, et des oeuvres sécondaires. Sa capacité d’en former une vision de l’oeuvre, d’analyser des lignes essentielles m’a vraiment époustoufflé, et j’aimerais conseilller ces essais d’un total d’environ 120 pages pour tous les amateurs de l’auteur russe. Sensiblement il y a de l’admiration chez Zweig pour l’auteur russe. Il arrive si bien de montrer celui-ci dans ces tiraillement entre les différents pôles des questionnements existentiels: oui, il parle volontiers d’un certain dualisme. Vouloir réduire ce Russe à un pôle, à un coté de la balance, cela serait déjà enlèver quelque chose de la complexité de ce personnage et de son oeuvre, entre réalisme et rêve, entre doute et foi, extase et souffrance etc.
On retrouve – en ce qui concerne les amateurs de Zweig lui-même, son langage magnifique et riche, des fois légèrement pathétique (?). C’est bien de se rappeler que ce grand romancier a alors travaillé sur beaucoup de biographies sur les „génies“ de l’humanité.
Entreprise réussie!
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| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Lun 2 Aoû 2010 - 23:10 | |
| Vingt-quatre heures dans la vie d'une femmeDans une pension sur la côte d'Azur, Mme Henriette, mariée, mère de deux enfants, s'enfuie avec un jeune homme rencontré la veille. Mais il ne s'agit pas de cette femme-là, il ne s'agit pas de ces vingt-quatre heures là, il ne s'agit pas de cette époque. Le narrateur est le seul à "défendre", ou pour le moins à comprendre cette femme. Une vieille anglaise décide alors de le prendre pour confident. Mrs C. narra laors les vingt-quatre heures qui auraient pu boulverser sa vie... Dans l'ensemble, je suis resté sur ma faim avec ce roman, trouvant l'histoire de ces vingt-quatre heures banale, au mieux vaguement intéressante. Il y a quand même un passage passionnant, où le style de Zweig fait merveille : la description de l'observation des tables de joueurs par Mme C. qui ne regarde que les mains des joueurs, et le moment où Les mains entrent dans sa vie : - Citation :
- ...j'entendis donc juste en face de moi un bruit très singulier, un craquement et un claquement, comme provenant d'articulations qui se brisent. Malgré moi, je regardai étonnée de l'autre côté du tapis. Et je vis là (vraiment, j'en fus effrayée !) deux mains comme je n'en avais encore jamais vu, une main droite et une main gauche qui
étaient accrochées l'une à l'autre comme des animaux en train de se mordre, et qui s'affrontaient d'une manière si farouche et si convulsive que les articulations des phalanges craquaient avec le bruit sec d'une noix que l'on casse. C'étaient des mains d'une beauté très rare, extraordinairement longues, extraordinairement minces, et pourtant traversées de muscles très rigides - des mains très blanches, avec, au bout, des ongles pâles, nacrés et délicatement arrondis. Eh bien, je les ai regardées toute la soirée - oui, regardées avec une surprise toujours renouvelée, ces mains extraordinaires, vraiment uniques -, mais ce qui d'abord me surprit d'une manière si terrifiante, c'était leur fièvre, leur expression follement passionnée, cette façon convulsive de s'étreindre et de lutter entre elles. Ici, je le compris tout de suite, c'était un homme débordant de force qui concentrait toute sa passion dans les extrémités de ses doigts, pour qu'elle ne fit pas exploser son être tout entier. Et maintenant. .. à la seconde où la boule tomba dans le trou avec un bruit sec et mat, et où le croupier cria le numéro. .. à cette seconde les deux mains se séparèrent soudain l'une de l'autre, comme deux animaux frappés à mort par une même balle. Elles retombèrent toutes les deux, véritablement mortes et non pas seulement épuisées; elles retombèrent avec une expression si accusée d'abattement et de désillusion, comme foudroyées et à bout de course, que mes paroles sont impuissantes à le décrire. Pour ces passages forts, vivants, plus peut-être que tout le reste du livre, je crois qu'l faut lire ce court roman. | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Mer 29 Sep 2010 - 17:06 | |
| En postant de nouvelles éloges sur l'oeuvre de Zweig, j'ai l'impression de ne faire que répéter une nouvelle fois des louanges usées jusqu'à la corde tant elles sont légion sur ce fil. Je passe outre et vous dis encore une fois avoir été impressionné par l'écriture de cet homme. Lettre d'une inconnue.Une nouvelle tout à fait bouleversante qui pourrait avoir L'amour est cruel en sous-titre. Un célèbre écrivain reçoit une volumineuse lettre d'une inconnue qui lui déclare sa flamme. Lettre posthume car l'inconnue déclare en préambule que ce courrier ne lui parviendra qu'après sa disparition. Je me suis tout de suite demandé, mais pourquoi ?Pourquoi envoyer une telle lettre si ce n'est dans un but cruel, avec la volonté de faire du mal ? Pourtant, le début de la lettre est enflammé, passionné. La jeune défunte déclare ne croire qu'en lui, ne vivre qu'à travers lui. Pourquoi alors ? Je crois entrevoir un élément de réponse à la moitié du livre. Mais non. Ce serait d'une cruauté encore pire. Dès ce milieu de livre, j'en suis venu à me poser la question inverse : pourquoi s'être tu ? J'ai l'impression d'un gigantesque gâchis, d'une vie hachée, piétinée, détruite. Stefan Zweig, encore une fois parvient avec brio à décrire, à transmettre cette immense douleur. A nous la communiquer simplement, merveilleusement. Je suis sous le charme. ________________________ Amok. - Citation :
- Amok, nom masculin.
Pulsion homicide se produisant en Malaisie, en Inde, en Sibérie, qui consiste à courir avec une arme à la main et à tuer toutes les personnes rencontrées. Personne sous l'emprise de cette pulsion.
Si je fais l'impasse sur la biographie de Magellan que je mets à part, Amok est le 4e roman que je lis de Zweig. Et je retrouve avec bonheur son extraordinaire écriture et son thème favori qu'est la passion dévorante conférant à la folie. Comme dans les 3 autres livres, le narrateur est un personnage extérieur qui, grâce au hasard d'une rencontre, reçoit les confidences douloureuses du héros, de celui qui s'est laissé dévorer. Cette fois, c'est un médecin qui est au cœur de l'histoire. Un médecin allemand qui s'est placé au service des Pays-Bas pour partir exercer en Malaisie dans une station isolée. Sept années, il se tient à l'écart de la société coloniale. Sept années d'immersion dans le monde malais à ne côtoyer que les autochtones. Jusqu'au jour où une anglaise débarque, rompant sa paisible solitude et son équilibre mental. Si je vous dis que j'ai beaucoup aimé, j'aurais l'impression de me répéter. Et pourtant, je suis obligé de convenir que ce 4e opus est à nouveau un enchantement. Folie et douleur nous sont décrite avec une telle verve (et pourtant si simplement) qu'on a véritablement le sentiment de vivre nous aussi les tourments que connait le héros. Merveilleux ! | |
| | | FrançoisG Envolée postale
Messages : 281 Inscription le : 29/09/2009 Localisation : Au calme dans ma maison
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Mar 16 Nov 2010 - 19:05 | |
| Titre : Balzac Auteur : Stefan Zweig Editeur : Le livre de poche Nombre de pages : 506 Quatrième de couverture : La vie de Balzac est un prodigieux roman. Accablé de dettes, immergé dans un titanesque labeur d'écriture, mort à cinquante et un ans, juste après son mariage avec celle qu'il avait si longtemps attendue, le romancier de La Comédie humaine incarne un mythe, celui du créateur rivalisant avec Dieu, et foudroyé comme Prométhée. Loin d'être secondaire dans l' oeuvre de Stefan Zweig, cette biographie, publiée après sa mort, l'occupa dix années durant. Et c'est toute son expérience d'homme et d'écrivain que résume l'auteur, d'Ivresse de la métamorphose dans cette passionnante évocation de Balzac, en qui il voyait l'un des phares de la littérature européenne. Mon ressenti : Ce roman est un souffle. Le souffle de Balzac, l'homme, l'écrivain endetté, l'arriviste, l'intéressé, l'être pur et génial... Balzac, c'est LE talent à l'état pur. Passionné d'éciture, il devra lutter tout au long de sa vie pour se faire une place dans la société, pour s'ouvrir des portes, pour porter son oeuvre au plus haut. Il va demander des avances sur recettes, puis des avances sur les avances. Et Balzac sera pris dans le piège du surendettement. Il se ruinera pour son oeuvre et son oeuvre lui permettra d'éponger ses dettes, en partie, jamais complétement. Et le Balzac artisan de l'écriture deviendra assez vite - tout va toujours vite avec Balzac - le Balzac esclave de son écriture, de son train de vie, de ses dépenses, de ses dettes, de son oeuvre. Balzac passera ses journées à connaître le tout Paris pour se faire un nom et ses nuits à écrire en ingurgitant des torrents de café pour tenir le rythme de la course folle qu'il s'impose encore et encore. Et que vient faire Stefan Zweig dans tout ça ? On se le demande ! Car ce livre est plus qu'un livre, il est un témoignage. Tout porte à croire que c'est Balzac lui-même qui l'a écrit. Au fil des pages, le lecteur voit Balzac évoluer et se débattre dans ses problèmes matériels alors qu'il attache si peu d'importance à l'argent, alors qu'il ne pense qu'à la création littéraire. Le lecteur partage ses doutes, ses angoisses, veille à ses côtés chaque nuit et sent l'odeur du café chaud, fidèle compagnon et seul ami de celui qui vivait pour créer et devait créer toujours plus vite pour vivre. Ce livre est à l'image de son sujet, à l'image de Balzac, ce livre est immense, un chef d'oeuvre dont on se souvient encore des années après sa lecture. MA NOTE : 10/10 | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Mer 17 Nov 2010 - 9:05 | |
| Une nouvelle confirmation s'il en est besoin du talent de Stefan Zweig. Je pensais revenir à cet auteur au travers d'une biographie. Je pensais davantage à celle de Marie-Antoinette mais avec ton commentaire sur Balzac tu me fais envie. | |
| | | Onuphrius Main aguerrie
Messages : 551 Inscription le : 29/10/2010 Age : 35 Localisation : Seine-Maritime
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Mer 17 Nov 2010 - 11:04 | |
| - Harelde a écrit:
- En postant de nouvelles éloges sur l'œuvre de Zweig, j'ai l'impression de ne faire que répéter une nouvelle fois des louanges usées jusqu'à la corde tant elles sont légion sur ce fil.
Je passe outre et vous dis encore une fois avoir été impressionné par l'écriture de cet homme. Rassure-toi, on ressent tous ça. Biographie, récit, portrait, essai... Zweig excelle dans tous les domaines. Je serais curieux de lire ses pièces de théâtre. Mon meilleur souvenir est tout de même Le Monde d'hier, auquel je trouve une puissance assez fascinante. Cette nostalgie d'Européen qui voit son monde s'effondrer sous l'effet de la violence et des haines nationalistes, le sentiment d'impuissance d'un pacifiste acharné désarmé devant la folie des hommes... Un grand moment de lecture. | |
| | | Camille19 Main aguerrie
Messages : 484 Inscription le : 24/06/2009 Age : 34
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Mer 17 Nov 2010 - 20:28 | |
| - Harelde a écrit:
- Une nouvelle confirmation s'il en est besoin du talent de Stefan Zweig.
Je pensais revenir à cet auteur au travers d'une biographie. Je pensais davantage à celle de Marie-Antoinette mais avec ton commentaire sur Balzac tu me fais envie. En effet, commentaire très réussi FrançoisG, d'ailleurs je note moi aussi le livre pour la suite Par contre, ce serait dommage de se priver de Marie-Antoinette, je l'ai lu il y a un bon bout de temps donc je ne saurais pas en parler avec précision mais j'en garde vraiment un très bon souvenir et l'idée qu'on a l'impression de connaître le personnage par coeur en refermant le bouquin ! Donc je pense que tu devrais lire les deux, Harelde (dure dure la vie d'un parfumé...) | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 9:07 | |
| - Camille19 a écrit:
- Donc je pense que tu devrais lire les deux, Harelde (dure dure la vie d'un parfumé...)
Zweig est sur ma LAL sans précision quant au titre. Car j'ai l'intention de lire jusqu'à plus soif, encore et encore. Lire les deux donc. Oui, et plus encore ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 12:24 | |
| J'avais loupé le post de FrançoisG concernant la biographie de Balzac par Zweig ! Ayant lu deux romans de Balzac ce mois-ci, je ne vais très certainement pas tarder à la lire, merci du conseil |
| | | FrançoisG Envolée postale
Messages : 281 Inscription le : 29/09/2009 Localisation : Au calme dans ma maison
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 13:18 | |
| - Onuphrius a écrit:
Mon meilleur souvenir est tout de même Le Monde d'hier, auquel je trouve une puissance assez fascinante. Cette nostalgie d'Européen qui voit son monde s'effondrer sous l'effet de la violence et des haines nationalistes, le sentiment d'impuissance d'un pacifiste acharné désarmé devant la folie des hommes... Un grand moment de lecture. Je le note. Merci Onuphrius. | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 13:29 | |
| Mais oui N'empêche, je ne me manifeste pas sur tous les fils mais franchement, nous aurions de quoi remplir notre calendrier en LC pour plusieurs années |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 13:32 | |
| - FrançoisG a écrit:
- Onuphrius a écrit:
Mon meilleur souvenir est tout de même Le Monde d'hier, auquel je trouve une puissance assez fascinante. Cette nostalgie d'Européen qui voit son monde s'effondrer sous l'effet de la violence et des haines nationalistes, le sentiment d'impuissance d'un pacifiste acharné désarmé devant la folie des hommes... Un grand moment de lecture. Je le note. Merci Onuphrius. Encore un livre qui est dans ma PAL depuis des années ! Faut que je me décide à le lire un jour ou l'autre, d'autant plus lorsque je lis les commentaires élogieux d'Onuphrius. |
| | | Onuphrius Main aguerrie
Messages : 551 Inscription le : 29/10/2010 Age : 35 Localisation : Seine-Maritime
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Jeu 18 Nov 2010 - 19:51 | |
| - sentinelle a écrit:
- Encore un livre qui est dans ma PAL depuis des années ! Faut que je me décide à le lire un jour ou l'autre, d'autant plus lorsque je lis les commentaires élogieux d'Onuphrius.
Au début, la grosseur (500p.) m'effrayait un peu, mais finalement il se lit très vite. On y trouve des réflexions sur le monde d'enfance de Zweig, le milieu culturel et la littérature, le pacifisme, la guerre... C'est un très beau témoignage! | |
| | | Harelde Zen littéraire
Messages : 6465 Inscription le : 28/04/2010 Age : 49 Localisation : Yvelines
| Sujet: Re: Stefan Zweig [Autriche] Ven 19 Nov 2010 - 9:05 | |
| - Onuphrius a écrit:
- sentinelle a écrit:
- Encore un livre qui est dans ma PAL depuis des années ! Faut que je me décide à le lire un jour ou l'autre, d'autant plus lorsque je lis les commentaires élogieux d'Onuphrius.
Au début, la grosseur (500p.) m'effrayait un peu, mais finalement il se lit très vite. On y trouve des réflexions sur le monde d'enfance de Zweig, le milieu culturel et la littérature, le pacifisme, la guerre... C'est un très beau témoignage! Je l'ai aussi sur ma LAL depuis longtemps. Sentinelle, on se fera une petite cure de Zweig en 2011 si tu le veux. Je ne crois pas que ce livre soit réellement un roman, non ? Plus du genre essai sur la société contemporaine de l'auteur, je crois. | |
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